Author: | David Coulon | ISBN: | 9791023402728 |
Publisher: | SKA | Publication: | January 1, 2014 |
Imprint: | SKA | Language: | French |
Author: | David Coulon |
ISBN: | 9791023402728 |
Publisher: | SKA |
Publication: | January 1, 2014 |
Imprint: | SKA |
Language: | French |
Où il est question d’une mule qui pète, d’une purée de fayots et du cartel de Medellin... Un régal pour les amateurs d’histoires incroyables ainsi que pour les pétomanes scatophiles trop souvent oubliés ! Dégoûté par avance ou odorat sensible s’abstenir !
LEDFORD POINTE LE DOIGT VERS LA PUREE de haricots rouges. Une mouche rouge, sans doute une Tseramba y batifole, toute imprégnée des effluves intestinaux de l’Américain et du goût salé enivrant du repas. Alvarez fait une moue de dégoût. La mouche semble joyeuse. Mais lente. C’est le problème de cette espèce. Elle n’a pas les réflexes qu’ont ses consœurs. Absorbée par les odeurs formidablement pestilentielles, elle ne voit pas le gros doigt qui l’enfonce profondément dans le plat de purée. Engloutie par l’amas spongieux et rougeâtre, la mouche Tseramba ne comprend ce qui lui arrive qu’au moment où le doigt qui la pousse, atteint le fond le plat. Elle éclate alors, pressée qu’elle est contre la céramique brûlante, au milieu de ces odeurs qui l’ont perdue.
Voici une révélation ! Cet auteur ne recule devant aucune espèce d’excès pour le plus grand bonheur des lecteurs désirant de l’inattendu, du bien barré, un choc au foie pour zygomatiques en délire...
Où il est question d’une mule qui pète, d’une purée de fayots et du cartel de Medellin... Un régal pour les amateurs d’histoires incroyables ainsi que pour les pétomanes scatophiles trop souvent oubliés ! Dégoûté par avance ou odorat sensible s’abstenir !
LEDFORD POINTE LE DOIGT VERS LA PUREE de haricots rouges. Une mouche rouge, sans doute une Tseramba y batifole, toute imprégnée des effluves intestinaux de l’Américain et du goût salé enivrant du repas. Alvarez fait une moue de dégoût. La mouche semble joyeuse. Mais lente. C’est le problème de cette espèce. Elle n’a pas les réflexes qu’ont ses consœurs. Absorbée par les odeurs formidablement pestilentielles, elle ne voit pas le gros doigt qui l’enfonce profondément dans le plat de purée. Engloutie par l’amas spongieux et rougeâtre, la mouche Tseramba ne comprend ce qui lui arrive qu’au moment où le doigt qui la pousse, atteint le fond le plat. Elle éclate alors, pressée qu’elle est contre la céramique brûlante, au milieu de ces odeurs qui l’ont perdue.
Voici une révélation ! Cet auteur ne recule devant aucune espèce d’excès pour le plus grand bonheur des lecteurs désirant de l’inattendu, du bien barré, un choc au foie pour zygomatiques en délire...