Author: | Anonyme, Guillaume Tulède | ISBN: | 9781910628041 |
Publisher: | Les Editions de Londres | Publication: | December 16, 2014 |
Imprint: | Les Editions de Londres | Language: | French |
Author: | Anonyme, Guillaume Tulède |
ISBN: | 9781910628041 |
Publisher: | Les Editions de Londres |
Publication: | December 16, 2014 |
Imprint: | Les Editions de Londres |
Language: | French |
« La Chanson de la Croisade des Albigeois » est une chanson de geste telle que les racontaient dans les châteaux les troubadours du Moyen Âge. Elle a été composée par deux troubadours : la première partie a été faite par un certain Guillaume qui prétendait avoir vécu à l’abbaye de Tulède en Navarre comme il le dit lui-même au début de la chanson. La deuxième partie a été faite par un troubadour anonyme vraisemblablement toulousain. Guillaume de Tulède était favorable aux Croisés, alors que l’auteur anonyme y est hostile et particulièrement admiratif des Toulousains. La chanson a été écrite en langue provençale du Moyen Âge, nous en publions la version originale et la traduction en français moderne des Éditions de Londres. Notre traduction s’appuie sur celles faites par M. C. Fauriel, publiée en 1837 et sur celle de Paul Meyer publiée en 1875.
« La Chanson de la Croisade des Albigeois » est une chanson de geste telle que les racontaient dans les châteaux les troubadours du Moyen Âge. Elle a été composée par deux troubadours : la première partie a été faite par un certain Guillaume qui prétendait avoir vécu à l’abbaye de Tulède en Navarre comme il le dit lui-même au début de la chanson. La deuxième partie a été faite par un troubadour anonyme vraisemblablement toulousain. Guillaume de Tulède était favorable aux Croisés, alors que l’auteur anonyme y est hostile et particulièrement admiratif des Toulousains. La chanson a été écrite en langue provençale du Moyen Âge, nous en publions la version originale et la traduction en français moderne des Éditions de Londres. Notre traduction s’appuie sur celles faites par M. C. Fauriel, publiée en 1837 et sur celle de Paul Meyer publiée en 1875.