Author: | Kill Me Sarah dit KMS | ISBN: | 9782814556249 |
Publisher: | publie.net | Publication: | May 24, 2012 |
Imprint: | publie.net | Language: | French |
Author: | Kill Me Sarah dit KMS |
ISBN: | 9782814556249 |
Publisher: | publie.net |
Publication: | May 24, 2012 |
Imprint: | publie.net |
Language: | French |
KMS est en France une légende du web. Pseudonyme, évidemment. Un blog qui vous secoue l'écoute, vous emporte sur des chemins où on ne serait jamais risqué seul. Comme une encyclopédie vivante de la musique électrique (et encore : pas seulement – et il vous dirait que la musique ne se divise pas).
Mais c'est le rock qu'on explore : ses grands morts, ses figures tragiques, ses impasses et ses dieux – majeurs ou mineurs. Des légendes, des mythes. Et ça, comment en parler sans descendre au plus profond de sa vie même, des étés en caravane, des amours brèves, de souvenirs d'auto-stop ou de guitare désaccordée ?
Et c'est cela qui fait le bonheur de la lecture du blog Kill Me Sarah , 10 ans d'existence.
Textes "remixés, remastérisés": ici, il ne s'agit pas d'un blog compilé. Mais de prendre cette matière à bras-le-corps, dans sa force de langue, et ses rires, et ses fuites, et ses émotions. Alors, dans cette suite de chroniques où on croisera Gainsbourg, Dylan (souvent), les Stones à Nellcote, comme Neil Young, Coltrane, Tom Waits ou Supertramp, The Cure comme Leonard Cohen, c'est l'inconscient qui surgit, ce qu'on cherche de rêve en soi-même, d'où on l'extorque et comment – dans le monde qui nous est offert, dans ce qu'on appelle la vie adulte – on tâche cependant à le préserver.
C'est beau, grave, tragique, comique comme la vie – juste : un peu excessive (mais c'est ce qu'on leur demande). On rit, on pleure, ça cogne, mais c'est bien de littérature qu'il s'agit, autant que de musique.
FB
KMS est en France une légende du web. Pseudonyme, évidemment. Un blog qui vous secoue l'écoute, vous emporte sur des chemins où on ne serait jamais risqué seul. Comme une encyclopédie vivante de la musique électrique (et encore : pas seulement – et il vous dirait que la musique ne se divise pas).
Mais c'est le rock qu'on explore : ses grands morts, ses figures tragiques, ses impasses et ses dieux – majeurs ou mineurs. Des légendes, des mythes. Et ça, comment en parler sans descendre au plus profond de sa vie même, des étés en caravane, des amours brèves, de souvenirs d'auto-stop ou de guitare désaccordée ?
Et c'est cela qui fait le bonheur de la lecture du blog Kill Me Sarah , 10 ans d'existence.
Textes "remixés, remastérisés": ici, il ne s'agit pas d'un blog compilé. Mais de prendre cette matière à bras-le-corps, dans sa force de langue, et ses rires, et ses fuites, et ses émotions. Alors, dans cette suite de chroniques où on croisera Gainsbourg, Dylan (souvent), les Stones à Nellcote, comme Neil Young, Coltrane, Tom Waits ou Supertramp, The Cure comme Leonard Cohen, c'est l'inconscient qui surgit, ce qu'on cherche de rêve en soi-même, d'où on l'extorque et comment – dans le monde qui nous est offert, dans ce qu'on appelle la vie adulte – on tâche cependant à le préserver.
C'est beau, grave, tragique, comique comme la vie – juste : un peu excessive (mais c'est ce qu'on leur demande). On rit, on pleure, ça cogne, mais c'est bien de littérature qu'il s'agit, autant que de musique.
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