Author: | Frédérique Molay | ISBN: | 9782213665580 |
Publisher: | Fayard | Publication: | May 4, 2011 |
Imprint: | Fayard | Language: | French |
Author: | Frédérique Molay |
ISBN: | 9782213665580 |
Publisher: | Fayard |
Publication: | May 4, 2011 |
Imprint: | Fayard |
Language: | French |
Le commissaire Nico Sirsky, chef de groupe au 36, quai des Orfèvres, se remet de sa blessure par balle, intervenue trois mois plus tôt alors qu'il arrêtait un terrible tueur en série (Cf. La 7eFemme). Aux côtés de Caroline, son nouvel amour, et de son fils Dimitri, il connaît enfin le bonheur d’une vie équilibrée. Tandis qu’il rejoint le 36, un groupe de dentistes se réunit à l’Université Descartes-Paris 5, pour une séance de dissection. Dans la bouche parfaitement entretenue de son sujet, l’un d’eux remarque un plombage grossier, sous lequel on découvre bientôt un étrange message : « On m’a tué. » Appelée sur place, l’équipe de Nico Sirsky relève d’emblée une incohérence : l’homme, un ancien pharmacien nommé Bruno Guedj, mort par arme à feu d'après le rapport de police, n’a pu que se suicider, puisque le meurtre interdit tout don de corps à la science. Que signifie dès lors ce message? Canular, ou meurtre déguisé ? Le procureur de la République décide de confier l’affaire au juge Alexandre Becker, qui forme un tandem performant avec Nico Sirsky. Lorsqu'ils comprennent que le pharmacien était harcelé jusque dans son officine, les deux hommes acquièrent une certitude : le message dans sa dent était une bouteille à la mer... Mais pourquoi cette mise en scène ? De révélation en révélation, ils vont mettre au jour une terrible machination au coeur de l'Hôpital Saint-Louis, un des plus performants pour le traitement du cancer...
Le commissaire Nico Sirsky, chef de groupe au 36, quai des Orfèvres, se remet de sa blessure par balle, intervenue trois mois plus tôt alors qu'il arrêtait un terrible tueur en série (Cf. La 7eFemme). Aux côtés de Caroline, son nouvel amour, et de son fils Dimitri, il connaît enfin le bonheur d’une vie équilibrée. Tandis qu’il rejoint le 36, un groupe de dentistes se réunit à l’Université Descartes-Paris 5, pour une séance de dissection. Dans la bouche parfaitement entretenue de son sujet, l’un d’eux remarque un plombage grossier, sous lequel on découvre bientôt un étrange message : « On m’a tué. » Appelée sur place, l’équipe de Nico Sirsky relève d’emblée une incohérence : l’homme, un ancien pharmacien nommé Bruno Guedj, mort par arme à feu d'après le rapport de police, n’a pu que se suicider, puisque le meurtre interdit tout don de corps à la science. Que signifie dès lors ce message? Canular, ou meurtre déguisé ? Le procureur de la République décide de confier l’affaire au juge Alexandre Becker, qui forme un tandem performant avec Nico Sirsky. Lorsqu'ils comprennent que le pharmacien était harcelé jusque dans son officine, les deux hommes acquièrent une certitude : le message dans sa dent était une bouteille à la mer... Mais pourquoi cette mise en scène ? De révélation en révélation, ils vont mettre au jour une terrible machination au coeur de l'Hôpital Saint-Louis, un des plus performants pour le traitement du cancer...