L’Europe voudra-t-elle jouer son rôle à partir des éclairages acquis au long des quatre à six millénaires écoulés inscrits dans sa longue route ?
Sa renaissance récente est due à une volonté d’apprendre à vivre en paix après avoir été au bout du désastre des deux dernières guerres mondiales. L’Europe des peuples, chacun à l’abri de ses frontières sécurisées par celles des autres, cherche à mettre en place de nouveaux systèmes pour y parvenir.
« Le chant des séries » qui date des 3ème-4ème siècles fait partie de la tradition orale celtique vivante dans toute l’Europe jusqu’au début du 20ème siècle. Ce chant décrit une apocalypse dans une synthèse saisissante, comme une maquette pour comprendre notre époque, elle aussi soumise à des bouleversements.
Sur la base de ce chant, Colette Trublet s’interroge sur la condition humaine dont le destin est en charge d’une PAROLE qui, seule, semble avoir parfum d’immortalité.
Nous sommes à un moment de l’histoire où la mondialisation impose un ordre organisé par la financiarisation prédatrice de l’économie. « Ordre Mondial, Désordre Moral » dit Boris Alexandre Spasov dans un petit essai visionnaire percutant.
L’humanité s’est désormais rassemblée par continents entiers sous la bannière de grands mouvements d’idées qui nous conduisent à la constatation d’insuffisances insupportables et mortifères qui génèrent une nouvelle apocalypse.
La prétention de ce court essai, consiste à dégager les mêmes constantes que toujours : La Mort en tant qu’unique nécessité pour chacun et pour tous, les cycles vie-mort-vie avec l’attelage homme-femme duquel la vie triomphe, et la série des nombres jusqu’au nombre douze qui mettent à notre disposition douze « signes », douze constantes comme autant de phares pour nous éclairer : La mort, le fardeau d’amour, le savoir, l’éthique, la solidarité, la genèse, la science, la fraternité, l’éducation, le chaos, la métamorphose, l’apocalypse.
La FRATERNITÉ est dans ce texte de Colette Trublet la valeur ultime. Les peuples en sont les écoles premières, le seul lieu où elle peut être apprise, vécue, expérimentée, et devenir contagieuse, pourquoi pas ?
La découverte, au CERN, de la particule immortelle « le boson » qui constitue tout ce qui existe va renverser l’ordre de nos croyances. Nous sommes à nouveau en période d’apocalypse et un autre monde renait de la « forêt des dépouilles ».
Cet essai pourrait bien alors avoir utilité de tremplin ? En espoir de cause !
EXTRAIT
Constat
Nous vivons actuellement une manière d’apocalypse. Nous invoquons des convictions qui se dérobent sous les dangers que nous font courir les terroristes et leurs commanditaires. Le droit de se défendre contre leurs attaques prend le pas sur nos valeurs de liberté d’égalité et de fraternité.
Nos progrès dans le domaine de l’automatisation, de la mécanisation et de la robotisation des outils de production, provoquent un chômage de masse, et la pauvreté qui en découle.
Les besoins et gourmandises en énergies fossiles, détruisent l’écosystème à un niveau planétaire jamais atteint. Les bouleversements dus aux nouvelles techniques et aux nouvelles découvertes scientifiques, particulièrement dans le domaine de la génétique, embrouillent nos certitudes, et plus rien ne vient apaiser nos craintes, ni nos terreurs.
Nous n’avons plus le choix. Il faut trouver des solutions nouvelles. C’est cela, l’apocalypse. Et elle s’est reproduite à chaque fois qu’un système de références s’est montré insuffisant pour orienter ce travail têtu de l’humanité désireuse de prendre en charge sa condition.
Nous restons, comme depuis toujours, tributaires des cycles vie-mort-vie, toile de fond immuable de nos épopées et aventures.
L’Europe voudra-t-elle jouer son rôle à partir des éclairages acquis au long des quatre à six millénaires écoulés inscrits dans sa longue route ?
Sa renaissance récente est due à une volonté d’apprendre à vivre en paix après avoir été au bout du désastre des deux dernières guerres mondiales. L’Europe des peuples, chacun à l’abri de ses frontières sécurisées par celles des autres, cherche à mettre en place de nouveaux systèmes pour y parvenir.
« Le chant des séries » qui date des 3ème-4ème siècles fait partie de la tradition orale celtique vivante dans toute l’Europe jusqu’au début du 20ème siècle. Ce chant décrit une apocalypse dans une synthèse saisissante, comme une maquette pour comprendre notre époque, elle aussi soumise à des bouleversements.
Sur la base de ce chant, Colette Trublet s’interroge sur la condition humaine dont le destin est en charge d’une PAROLE qui, seule, semble avoir parfum d’immortalité.
Nous sommes à un moment de l’histoire où la mondialisation impose un ordre organisé par la financiarisation prédatrice de l’économie. « Ordre Mondial, Désordre Moral » dit Boris Alexandre Spasov dans un petit essai visionnaire percutant.
L’humanité s’est désormais rassemblée par continents entiers sous la bannière de grands mouvements d’idées qui nous conduisent à la constatation d’insuffisances insupportables et mortifères qui génèrent une nouvelle apocalypse.
La prétention de ce court essai, consiste à dégager les mêmes constantes que toujours : La Mort en tant qu’unique nécessité pour chacun et pour tous, les cycles vie-mort-vie avec l’attelage homme-femme duquel la vie triomphe, et la série des nombres jusqu’au nombre douze qui mettent à notre disposition douze « signes », douze constantes comme autant de phares pour nous éclairer : La mort, le fardeau d’amour, le savoir, l’éthique, la solidarité, la genèse, la science, la fraternité, l’éducation, le chaos, la métamorphose, l’apocalypse.
La FRATERNITÉ est dans ce texte de Colette Trublet la valeur ultime. Les peuples en sont les écoles premières, le seul lieu où elle peut être apprise, vécue, expérimentée, et devenir contagieuse, pourquoi pas ?
La découverte, au CERN, de la particule immortelle « le boson » qui constitue tout ce qui existe va renverser l’ordre de nos croyances. Nous sommes à nouveau en période d’apocalypse et un autre monde renait de la « forêt des dépouilles ».
Cet essai pourrait bien alors avoir utilité de tremplin ? En espoir de cause !
EXTRAIT
Constat
Nous vivons actuellement une manière d’apocalypse. Nous invoquons des convictions qui se dérobent sous les dangers que nous font courir les terroristes et leurs commanditaires. Le droit de se défendre contre leurs attaques prend le pas sur nos valeurs de liberté d’égalité et de fraternité.
Nos progrès dans le domaine de l’automatisation, de la mécanisation et de la robotisation des outils de production, provoquent un chômage de masse, et la pauvreté qui en découle.
Les besoins et gourmandises en énergies fossiles, détruisent l’écosystème à un niveau planétaire jamais atteint. Les bouleversements dus aux nouvelles techniques et aux nouvelles découvertes scientifiques, particulièrement dans le domaine de la génétique, embrouillent nos certitudes, et plus rien ne vient apaiser nos craintes, ni nos terreurs.
Nous n’avons plus le choix. Il faut trouver des solutions nouvelles. C’est cela, l’apocalypse. Et elle s’est reproduite à chaque fois qu’un système de références s’est montré insuffisant pour orienter ce travail têtu de l’humanité désireuse de prendre en charge sa condition.
Nous restons, comme depuis toujours, tributaires des cycles vie-mort-vie, toile de fond immuable de nos épopées et aventures.