Author: | Joséphine Laturlutte | ISBN: | 1230001726930 |
Publisher: | éditions de la Sirène | Publication: | January 12, 2018 |
Imprint: | Language: | French |
Author: | Joséphine Laturlutte |
ISBN: | 1230001726930 |
Publisher: | éditions de la Sirène |
Publication: | January 12, 2018 |
Imprint: | |
Language: | French |
Ce n'était pas mon premier voyage en Thaïlande.
Le premier, je l'avais effectué avec ma joyeuse bande de copains de Montrouge. Il m'avait propulsé, comme des milliers d'autres touristes occidentaux assoiffés de soleil, de plages de sable blanc, dans un quatre étoiles, élégant et plaisant, situé sur une des plus belles plages de Phuket, la célèbre station balnéaire du sud.
Le deuxième nous avait vu investir l'un des hôtels les plus modernes et élevés de Banglok, qui bénéficiait d'un superbe bar panoramique situé au soixante-quatrième étage, avec une vue époustouflante sur le fleuve Chao Praya. Il nous avait permis de découvrir les merveilleuses plages de Pattaya ainsi que son ambiance nocturne particulièrement débridée.
Ces escapades avaient été organisées et gérées par la petite agence réceptive tenue par Sha et son épouse, un jeune couple de Thaïlandais dont nous avions fait la connaissance à Montrouge, à l'occasion de leurs vacances parisiennes et d'un pépin mécanique tout bête sur leur voiture de location qui les avait amenés à s'arrêter à la station-service de mon ami Ange.
Sha, qui employait un géant chinois aussi glabre qu'un couteau comme chauffeur de son minibus et homme à tout faire, était un garçon charmant, fin lettré et polyglotte.
Mais cette fois, faisant foin des lieux bêtement touristiques, Sha nous avait conseillé de consacrer ce nouveau séjour, qui avait lieu au mois d'avril, à la découverte de la rose du nord, Chiang Mai, l'éternelle, cette importante ville située au coeur des montagnes occupant le septentrion du pays, et qui sont traversées par l'ancienne et mythique route de la soie.
C'est à l'occasion de notre premier séjour à Phuket que nous avons fait connaissance avec les célèbres salons de massage. Rien de particulier à dire sur les salons dédiés au massage dit médical, dans lesquels des jeunes gens, filles ou garçons, vous étirent dans tous les sens, vous triturent, vous piétinent, pour votre plus grand plaisir, et au passage pour agir favorablement sur votre santé et sur vos états d'âme. Là où l'affaire devenait plus intéressante, du moins pour nous, joyeux obsédés devant l'éternel, c'était dans l'ambiance feutrée des salons voués au massage dit « amical ».
Oh qu'il porte bien son nom, celui-là ! En effet, des amies comme ça, on aimerait en rencontrer tous les jours, pendant nos loisirs ou au travail. Après avoir choisi ma masseuse, qui se tenait assise derrière une vitre en demi-cercle parmi ses copines à demi nues, puis payé les quelques baths réclamés par l’hôtesse de caisse, la jeune fille me demanda : « Your name ? » et elle me prit gentiment par la main pour m'entraîner, le long d'un couloir peint en bleu roi, jusqu'à une petite pièce au centre de laquelle, dans un creux ménagé dans le sol carrelé, reposait un matelas plastifié manifestement gonflé à l'eau. Là elle me demanda, arborant toujours son délicieux sourire : « a drink ? », aimable question à laquelle je répondis : « Yes, please, a beer ».
La masseuse m'indiqua une patère accrochée au mur, je compris alors que je devais me déshabiller et y accrocher mes vêtements, ce que je fis après qu'elle se soit éclipsée.
Deux ou trois minutes plus tard, alors que je trônais en caleçon près du matelas, elle revint porteuse d'une canette très fraîche, elle me sourit et se déshabilla à son tour. Oh ce ne fut pas bien long, parce que la ravissante petite ne portait qu'une légère combinaison très très courte et...rien dessous. Elle me sourit et me fit signe d'ôter mon caleçon. C'était ma première fois dans ce genre d'établissement et je savais pas très bien ce qu'elle se préparait à me faire. Mon expérience se limitait au massage médical, acte pendant lequel les filles restent habillées, légèrement, certes, mais quand même, cela faisait une sacrée différence ! D'autant plus que je trouvais celle-ci fort mignonne.
Cette fois, je me trouvais nu avec une jeune personne ravissante qui l'était tout autant. Elle me fit comprendre que je devais m'allonger sur le matelas et elle se dirigea vers un robinet qui émergeait du mur près duquel reposaient un petit seau et une boite en fer blanc.
Elle se baissa pour ramasser l'un et l'autre, ce qui lui permit de m'offrir la plus jolie vue qui soit sur son délicieux postérieur, velouté et bronzé. Elle remplit le seau d'eau et saisit dans la boite une poignée de paillettes qu'elle y jeta avant de battre le tout énergiquement. Quand elle eût fini elle s'aspergea le corps de ce mélange qui m'apparut comme étant de l'eau savonneuse. C'était un enchantement de la voir ainsi s'enduire les seins, les cuisses, le ventre et tout le reste, et si je ne bandais pas encore, je ressentis tout de même les prémices d'une vigoureuse érection qui s'installait...
Ce n'était pas mon premier voyage en Thaïlande.
Le premier, je l'avais effectué avec ma joyeuse bande de copains de Montrouge. Il m'avait propulsé, comme des milliers d'autres touristes occidentaux assoiffés de soleil, de plages de sable blanc, dans un quatre étoiles, élégant et plaisant, situé sur une des plus belles plages de Phuket, la célèbre station balnéaire du sud.
Le deuxième nous avait vu investir l'un des hôtels les plus modernes et élevés de Banglok, qui bénéficiait d'un superbe bar panoramique situé au soixante-quatrième étage, avec une vue époustouflante sur le fleuve Chao Praya. Il nous avait permis de découvrir les merveilleuses plages de Pattaya ainsi que son ambiance nocturne particulièrement débridée.
Ces escapades avaient été organisées et gérées par la petite agence réceptive tenue par Sha et son épouse, un jeune couple de Thaïlandais dont nous avions fait la connaissance à Montrouge, à l'occasion de leurs vacances parisiennes et d'un pépin mécanique tout bête sur leur voiture de location qui les avait amenés à s'arrêter à la station-service de mon ami Ange.
Sha, qui employait un géant chinois aussi glabre qu'un couteau comme chauffeur de son minibus et homme à tout faire, était un garçon charmant, fin lettré et polyglotte.
Mais cette fois, faisant foin des lieux bêtement touristiques, Sha nous avait conseillé de consacrer ce nouveau séjour, qui avait lieu au mois d'avril, à la découverte de la rose du nord, Chiang Mai, l'éternelle, cette importante ville située au coeur des montagnes occupant le septentrion du pays, et qui sont traversées par l'ancienne et mythique route de la soie.
C'est à l'occasion de notre premier séjour à Phuket que nous avons fait connaissance avec les célèbres salons de massage. Rien de particulier à dire sur les salons dédiés au massage dit médical, dans lesquels des jeunes gens, filles ou garçons, vous étirent dans tous les sens, vous triturent, vous piétinent, pour votre plus grand plaisir, et au passage pour agir favorablement sur votre santé et sur vos états d'âme. Là où l'affaire devenait plus intéressante, du moins pour nous, joyeux obsédés devant l'éternel, c'était dans l'ambiance feutrée des salons voués au massage dit « amical ».
Oh qu'il porte bien son nom, celui-là ! En effet, des amies comme ça, on aimerait en rencontrer tous les jours, pendant nos loisirs ou au travail. Après avoir choisi ma masseuse, qui se tenait assise derrière une vitre en demi-cercle parmi ses copines à demi nues, puis payé les quelques baths réclamés par l’hôtesse de caisse, la jeune fille me demanda : « Your name ? » et elle me prit gentiment par la main pour m'entraîner, le long d'un couloir peint en bleu roi, jusqu'à une petite pièce au centre de laquelle, dans un creux ménagé dans le sol carrelé, reposait un matelas plastifié manifestement gonflé à l'eau. Là elle me demanda, arborant toujours son délicieux sourire : « a drink ? », aimable question à laquelle je répondis : « Yes, please, a beer ».
La masseuse m'indiqua une patère accrochée au mur, je compris alors que je devais me déshabiller et y accrocher mes vêtements, ce que je fis après qu'elle se soit éclipsée.
Deux ou trois minutes plus tard, alors que je trônais en caleçon près du matelas, elle revint porteuse d'une canette très fraîche, elle me sourit et se déshabilla à son tour. Oh ce ne fut pas bien long, parce que la ravissante petite ne portait qu'une légère combinaison très très courte et...rien dessous. Elle me sourit et me fit signe d'ôter mon caleçon. C'était ma première fois dans ce genre d'établissement et je savais pas très bien ce qu'elle se préparait à me faire. Mon expérience se limitait au massage médical, acte pendant lequel les filles restent habillées, légèrement, certes, mais quand même, cela faisait une sacrée différence ! D'autant plus que je trouvais celle-ci fort mignonne.
Cette fois, je me trouvais nu avec une jeune personne ravissante qui l'était tout autant. Elle me fit comprendre que je devais m'allonger sur le matelas et elle se dirigea vers un robinet qui émergeait du mur près duquel reposaient un petit seau et une boite en fer blanc.
Elle se baissa pour ramasser l'un et l'autre, ce qui lui permit de m'offrir la plus jolie vue qui soit sur son délicieux postérieur, velouté et bronzé. Elle remplit le seau d'eau et saisit dans la boite une poignée de paillettes qu'elle y jeta avant de battre le tout énergiquement. Quand elle eût fini elle s'aspergea le corps de ce mélange qui m'apparut comme étant de l'eau savonneuse. C'était un enchantement de la voir ainsi s'enduire les seins, les cuisses, le ventre et tout le reste, et si je ne bandais pas encore, je ressentis tout de même les prémices d'une vigoureuse érection qui s'installait...