Dans les entreprises, à travail égal, les femmes gagnent toujours moins que les hommes. Il n’en va pas de même dans le monde de la musique populaire, un milieu pourtant horriblement macho à ses débuts. "Sexe, drogue, vitesse, violence et toutes formes d’excès…" Elles n’allaient tout de même pas se priver de tels plaisirs, laisser à l’homme de tels privilèges. Via la scène, le disque et enfin le clip, le sexe dit faible a investi le monde du jazz, du blues, du rock, de la soul et du rap. Et cela s’est fait sans revendications, sans manifestations, sans la moindre intervention d’un quelconque syndicat de rockeuses, avec panache (Kate Bush) ou avec un érotisme agressif (Madonna), en douceur (Diana Ross) ou dans la violence (la vie de Tina Turner fut longtemps un calvaire). Certaines y ont perdu la vie, d’Edith Piaf à Whitney Houston, de Janis Joplin à Amy Winehouse. Perdu la vie, mais laissé un nom et une œuvre… Place aux suffragettes de la chanson !
Dans les entreprises, à travail égal, les femmes gagnent toujours moins que les hommes. Il n’en va pas de même dans le monde de la musique populaire, un milieu pourtant horriblement macho à ses débuts. "Sexe, drogue, vitesse, violence et toutes formes d’excès…" Elles n’allaient tout de même pas se priver de tels plaisirs, laisser à l’homme de tels privilèges. Via la scène, le disque et enfin le clip, le sexe dit faible a investi le monde du jazz, du blues, du rock, de la soul et du rap. Et cela s’est fait sans revendications, sans manifestations, sans la moindre intervention d’un quelconque syndicat de rockeuses, avec panache (Kate Bush) ou avec un érotisme agressif (Madonna), en douceur (Diana Ross) ou dans la violence (la vie de Tina Turner fut longtemps un calvaire). Certaines y ont perdu la vie, d’Edith Piaf à Whitney Houston, de Janis Joplin à Amy Winehouse. Perdu la vie, mais laissé un nom et une œuvre… Place aux suffragettes de la chanson !