Plus d’un demi-siècle que l’on se bat pour des objets en relation avec Johnny. Lorsqu’il s’agit de disques, c’est normal, puisqu’il est chanteur. Quoi que l’on puisse se demander s’il est bien raisonnable de payer 100€ pour un faux disque ou le triple pour un pressage sud-américain qui gratte comme c’est pas possible alors qu’on peut l’écouter en CD ou MP3. Mais la question n’est pas là ! Du premier article de journal dans lequel on nous présente un jeune chanteur américain (sic) nommé « Halliday » (avec un « i » au milieu !) à la coque de téléphone portable, Johnny fut et reste à toutes les sauces. Ses fans sont-ils de grands enfants qui refusent de grandir... et que l’on exploite à des fins commerciales ? Non, ce sont des collectionneurs, comme on se rendra compte à la lecture de ce livre qui recense un millier d’objets qu’ils vénèrent et conservent pieusement pour la raison qu’ils ont accompagné leurs vies et émaillé celle du plus grand artiste francophone : journaux, porte-clés, badges, magnets, bustes, briquets, mugs, plaques émaillées, tapis de souris, etc. De l’objet le plus petit (le pin’s) à la statue haute de quatre mètres, tout y passe. C’est un temple, qu’il faudrait ériger, pour adorer les reliques amassées depuis 1960 !
Plus d’un demi-siècle que l’on se bat pour des objets en relation avec Johnny. Lorsqu’il s’agit de disques, c’est normal, puisqu’il est chanteur. Quoi que l’on puisse se demander s’il est bien raisonnable de payer 100€ pour un faux disque ou le triple pour un pressage sud-américain qui gratte comme c’est pas possible alors qu’on peut l’écouter en CD ou MP3. Mais la question n’est pas là ! Du premier article de journal dans lequel on nous présente un jeune chanteur américain (sic) nommé « Halliday » (avec un « i » au milieu !) à la coque de téléphone portable, Johnny fut et reste à toutes les sauces. Ses fans sont-ils de grands enfants qui refusent de grandir... et que l’on exploite à des fins commerciales ? Non, ce sont des collectionneurs, comme on se rendra compte à la lecture de ce livre qui recense un millier d’objets qu’ils vénèrent et conservent pieusement pour la raison qu’ils ont accompagné leurs vies et émaillé celle du plus grand artiste francophone : journaux, porte-clés, badges, magnets, bustes, briquets, mugs, plaques émaillées, tapis de souris, etc. De l’objet le plus petit (le pin’s) à la statue haute de quatre mètres, tout y passe. C’est un temple, qu’il faudrait ériger, pour adorer les reliques amassées depuis 1960 !