Beaucoup considèrent « Helter Skelter » des Beatles (1968) comme le premier titre de hard rock. Au printemps 1970, lorsque le grand groupe anglais annonça officiellement sa séparation, une autre formation, anglaise elle aussi, avait déjà pris la relève : l’album Led Zeppelin 2 était au sommet des hit-parades du monde entier. Dans un déferlement de solos de guitare ravageurs et de roulements de batterie propres à assommer un éléphant, les kids de 1970 balançaient leur argent de poche dans les juke-boxes pour s’éclater aux sons de « Whole Lotta Love » du Zep déjà cité, de « Black Night » de Deep Purple et de « Paranoid » de Black Sabbath. La Sainte-Trinité du riff qui tue ! Au total, en moins de dix minutes, le hard rock était rentré dans les mœurs. Et cela fait près d’un demi-siècle que ça dure ! Une fois en terrain conquis, les p’tits gars aux cheveux longs comme un jour sans pain allaient pouvoir se lâcher sur des morceaux beaucoup plus élaborés : le même trio infernal publiera « Kashmir », « Child In Time » et « Sleeping Village ». Thierry Aznar, discothéquaire, développe dans le présent volume sa passion et sa ferveur pour le hard rock et le heavy metal en nous proposant d’innombrables chroniques d’albums, connus ou moins connus, à emporter sur une île déserte… Question valises, c’est du lourd. Du heavy, le terme s’impose !
Beaucoup considèrent « Helter Skelter » des Beatles (1968) comme le premier titre de hard rock. Au printemps 1970, lorsque le grand groupe anglais annonça officiellement sa séparation, une autre formation, anglaise elle aussi, avait déjà pris la relève : l’album Led Zeppelin 2 était au sommet des hit-parades du monde entier. Dans un déferlement de solos de guitare ravageurs et de roulements de batterie propres à assommer un éléphant, les kids de 1970 balançaient leur argent de poche dans les juke-boxes pour s’éclater aux sons de « Whole Lotta Love » du Zep déjà cité, de « Black Night » de Deep Purple et de « Paranoid » de Black Sabbath. La Sainte-Trinité du riff qui tue ! Au total, en moins de dix minutes, le hard rock était rentré dans les mœurs. Et cela fait près d’un demi-siècle que ça dure ! Une fois en terrain conquis, les p’tits gars aux cheveux longs comme un jour sans pain allaient pouvoir se lâcher sur des morceaux beaucoup plus élaborés : le même trio infernal publiera « Kashmir », « Child In Time » et « Sleeping Village ». Thierry Aznar, discothéquaire, développe dans le présent volume sa passion et sa ferveur pour le hard rock et le heavy metal en nous proposant d’innombrables chroniques d’albums, connus ou moins connus, à emporter sur une île déserte… Question valises, c’est du lourd. Du heavy, le terme s’impose !