Author: | Stéphane Ternoise | ISBN: | 9782365411844 |
Publisher: | Jean-Luc PETIT Editions | Publication: | May 18, 2012 |
Imprint: | Jean-Luc PETIT Editions | Language: | French |
Author: | Stéphane Ternoise |
ISBN: | 9782365411844 |
Publisher: | Jean-Luc PETIT Editions |
Publication: | May 18, 2012 |
Imprint: | Jean-Luc PETIT Editions |
Language: | French |
51 Photos. Des tableaux du musée de Cahors mais aussi des villages de Labastide-du-Vert et Saint-Cirq-Lapopie où le peintre a vécu... par Stéphane Ternoise...le lotois - http://www.lotois.fr
Présentation du projet par l'écrivain photographe :
J'ai profité des journées du patrimoine, pour revisiter, dimanche 18 septembre 2011, le musée Henri-Martin de Cahors. Avec l'intention de réaliser ce livre.
Doit-on classer l’impressionniste parmi les peintres majeurs ? Ou uniquement à Cahors ? Où il n'est pas né, où il n'est pas mort ! Mais en 1942 il légua 17 de ses toiles à la Ville. Sûrement par amitié pour Anatole de Monzie, maire de 1919 à 1942 justement. Précédemment, à la fin des années 1920, il avait réalisé, pour la ville, sous forme d'un triptyque, un Monument aux morts que monsieur le maire souhaitait original.
Henri Martin est né à Toulouse en 1860, décédé, en 1943, à La Bastide du Vert où il installa son atelier, à 21 kilomètres de la préfecture du Lot, sur la route de Fumel, 7 kilomètres avant Prayssac.
Ces 18 toiles ornèrent la salle du Conseil municipal. Face à la mise en danger de ce "décor", les jours d'affluence aux séances du Conseil, il fut décide, en 1966, de leur trouver une place dans l'aile nord du musée... durant la restauration de salles de l'Hôtel de Ville...
Son oeuvre a résisté au temps : le musée de Cahors porte désormais son nom et la municipalité a cassé sa tirelire (en obtenant une participation à hauteur de 75% de partenaires, l'État, la Région, le conseil général) pour obtenir 15 nouvelles toiles lors d'une vente aux enchères le 1er avril 2012 ; la publicité autour de cette volonté d'acquisition ayant entraîné une hausse substantielle des niveaux de transactions...
Il n'est sûrement pas surprenant qu'après une longue "traversé du désert", ce peintre très populaire durant la IIIe République, plaise de nouveau : son oeuvre est décrite comme l’expression apaisée d'un monde idéalisé.
Stéphane Ternoise mai 2012
51 Photos. Des tableaux du musée de Cahors mais aussi des villages de Labastide-du-Vert et Saint-Cirq-Lapopie où le peintre a vécu... par Stéphane Ternoise...le lotois - http://www.lotois.fr
Présentation du projet par l'écrivain photographe :
J'ai profité des journées du patrimoine, pour revisiter, dimanche 18 septembre 2011, le musée Henri-Martin de Cahors. Avec l'intention de réaliser ce livre.
Doit-on classer l’impressionniste parmi les peintres majeurs ? Ou uniquement à Cahors ? Où il n'est pas né, où il n'est pas mort ! Mais en 1942 il légua 17 de ses toiles à la Ville. Sûrement par amitié pour Anatole de Monzie, maire de 1919 à 1942 justement. Précédemment, à la fin des années 1920, il avait réalisé, pour la ville, sous forme d'un triptyque, un Monument aux morts que monsieur le maire souhaitait original.
Henri Martin est né à Toulouse en 1860, décédé, en 1943, à La Bastide du Vert où il installa son atelier, à 21 kilomètres de la préfecture du Lot, sur la route de Fumel, 7 kilomètres avant Prayssac.
Ces 18 toiles ornèrent la salle du Conseil municipal. Face à la mise en danger de ce "décor", les jours d'affluence aux séances du Conseil, il fut décide, en 1966, de leur trouver une place dans l'aile nord du musée... durant la restauration de salles de l'Hôtel de Ville...
Son oeuvre a résisté au temps : le musée de Cahors porte désormais son nom et la municipalité a cassé sa tirelire (en obtenant une participation à hauteur de 75% de partenaires, l'État, la Région, le conseil général) pour obtenir 15 nouvelles toiles lors d'une vente aux enchères le 1er avril 2012 ; la publicité autour de cette volonté d'acquisition ayant entraîné une hausse substantielle des niveaux de transactions...
Il n'est sûrement pas surprenant qu'après une longue "traversé du désert", ce peintre très populaire durant la IIIe République, plaise de nouveau : son oeuvre est décrite comme l’expression apaisée d'un monde idéalisé.
Stéphane Ternoise mai 2012