Author: | Stephen Cleveland Blyth. Alain Blondy Traducteur | ISBN: | 9782356760999 |
Publisher: | Editions Bouchène | Publication: | March 15, 2009 |
Imprint: | Editions Bouchène | Language: | French |
Author: | Stephen Cleveland Blyth. Alain Blondy Traducteur |
ISBN: | 9782356760999 |
Publisher: | Editions Bouchène |
Publication: | March 15, 2009 |
Imprint: | Editions Bouchène |
Language: | French |
Cet ouvrage fut publié pour la première fois en 1806 à Salem (Massachusetts), par le Salem Gazette Office sous la forme d’un opuscule de 144 pages. L’auteur en était Stephen Cleveland Blyth, connu aussi sous le nom d’Etienne Hegginson Blyth, né en 1771. Si la Bibliothèque du Congrès possède plusieurs copies de cet ouvrage, la Bibliothèque nationale de France n’en a aucun exemplaire. En effet, il est très généralement utilisé par les historiens américains qui s’intéressent à l’histoire des Régences barbaresques et, principalement à leurs relations avec les jeunes États-Unis d’Amérique du Nord. En revanche, il n’a été que très peu utilisé par les historiens européens et surtout les Français, d’aucuns semblant même ignorer jusqu’à son existence. L’ouvrage de Blyth n’est pas une œuvre d’historien. Il n’en a jamais eu la prétention, d’autant qu’il écrit à chaud. Il le publie en effet en 1806, l’année même de la ratification par le Président du traité de paix entre les États-Unis et Tripoli. Il s’agit donc d’une œuvre de circonstance, rédigée dans une relative urgence, pour informer plus que pour analyser.
Cet ouvrage fut publié pour la première fois en 1806 à Salem (Massachusetts), par le Salem Gazette Office sous la forme d’un opuscule de 144 pages. L’auteur en était Stephen Cleveland Blyth, connu aussi sous le nom d’Etienne Hegginson Blyth, né en 1771. Si la Bibliothèque du Congrès possède plusieurs copies de cet ouvrage, la Bibliothèque nationale de France n’en a aucun exemplaire. En effet, il est très généralement utilisé par les historiens américains qui s’intéressent à l’histoire des Régences barbaresques et, principalement à leurs relations avec les jeunes États-Unis d’Amérique du Nord. En revanche, il n’a été que très peu utilisé par les historiens européens et surtout les Français, d’aucuns semblant même ignorer jusqu’à son existence. L’ouvrage de Blyth n’est pas une œuvre d’historien. Il n’en a jamais eu la prétention, d’autant qu’il écrit à chaud. Il le publie en effet en 1806, l’année même de la ratification par le Président du traité de paix entre les États-Unis et Tripoli. Il s’agit donc d’une œuvre de circonstance, rédigée dans une relative urgence, pour informer plus que pour analyser.