Author: | Bruno M, Philippe Durant | ISBN: | 9782364780996 |
Publisher: | Ipanema | Publication: | November 13, 2014 |
Imprint: | Les éditions Ipanema | Language: | French |
Author: | Bruno M, Philippe Durant |
ISBN: | 9782364780996 |
Publisher: | Ipanema |
Publication: | November 13, 2014 |
Imprint: | Les éditions Ipanema |
Language: | French |
Bruno M., fils de Michel Audiard, a commis un polar qui transcende autant qu'il rend hommage à l'œuvre et au style de son père.
Stanislas Rojinski est un ancien flic devenu détective. Renvoyé de la police pour trop bons états de service, il a conservé une certaine aigreur sans rien changer à ses méthodes d'investigation. Le voici chargé par la puissante société Agréus de retrouver la fille d'une éminente relation.
Stan dispose de peu de pistes, la seule un peu valable étant celle d'un dénommé Marc, avec qui la jeune femme aurait entretenu une relation, et qui pratique un sens suspect de la discrétion. Stan finit par découvrir que ledit Marc a mené Bérénice à La Chartreuse, un domaine du Larzac occupé par une secte. Stan organise l'évasion de Bérénice, non sans provoquer moult dégâts. Mission accomplie.
Pourtant il n'est pas entièrement satisfait. Quelque chose le chiffonne. Et si cette histoire en cachait une autre ? Et si Bérénice n'était qu'un pion permettant d'atteindre la société Agréus et, par son intermédiaire, une cible encore plus importante ?
Stan veut savoir. Il va se rendre compte que le temps lui est compté car les enjeux prennent une envergure internationale...
Il est très difficile d'attraper un chat dans une pièce sombre, surtout s'il n'y est pas offre aux lecteurs un polar à l'ancienne, enrubanné " façon maison " par un fils de qui a l'élégance de ne pas renier son nom et qui porte, jusqu'au bout des doigts, l'héritage des raconteurs d'histoire, gouailleurs, roublards et authentiques. Gueules à faire peur, force tranquille, belles pépé et bonhommes vieille école, son roman n'est pas truffé de références à l'oeuvre de son père, il lui succède, tant la musique d'un certain genre y résonne. On se régale de l'intrigue tordue évidemment, on s'en délecte parce qu'elle baigne dans l'acide caustique le plus jouissif, dans l'humour vache maîtrisé et dans une atmosphère qui a très largement fait école. Faut r'connaître... c'est du brutal !
Bruno M., fils de Michel Audiard, a commis un polar qui transcende autant qu'il rend hommage à l'œuvre et au style de son père.
Stanislas Rojinski est un ancien flic devenu détective. Renvoyé de la police pour trop bons états de service, il a conservé une certaine aigreur sans rien changer à ses méthodes d'investigation. Le voici chargé par la puissante société Agréus de retrouver la fille d'une éminente relation.
Stan dispose de peu de pistes, la seule un peu valable étant celle d'un dénommé Marc, avec qui la jeune femme aurait entretenu une relation, et qui pratique un sens suspect de la discrétion. Stan finit par découvrir que ledit Marc a mené Bérénice à La Chartreuse, un domaine du Larzac occupé par une secte. Stan organise l'évasion de Bérénice, non sans provoquer moult dégâts. Mission accomplie.
Pourtant il n'est pas entièrement satisfait. Quelque chose le chiffonne. Et si cette histoire en cachait une autre ? Et si Bérénice n'était qu'un pion permettant d'atteindre la société Agréus et, par son intermédiaire, une cible encore plus importante ?
Stan veut savoir. Il va se rendre compte que le temps lui est compté car les enjeux prennent une envergure internationale...
Il est très difficile d'attraper un chat dans une pièce sombre, surtout s'il n'y est pas offre aux lecteurs un polar à l'ancienne, enrubanné " façon maison " par un fils de qui a l'élégance de ne pas renier son nom et qui porte, jusqu'au bout des doigts, l'héritage des raconteurs d'histoire, gouailleurs, roublards et authentiques. Gueules à faire peur, force tranquille, belles pépé et bonhommes vieille école, son roman n'est pas truffé de références à l'oeuvre de son père, il lui succède, tant la musique d'un certain genre y résonne. On se régale de l'intrigue tordue évidemment, on s'en délecte parce qu'elle baigne dans l'acide caustique le plus jouissif, dans l'humour vache maîtrisé et dans une atmosphère qui a très largement fait école. Faut r'connaître... c'est du brutal !