Author: | Sigmund Freud | ISBN: | 9782130642374 |
Publisher: | Presses Universitaires de France | Publication: | June 8, 2011 |
Imprint: | Presses Universitaires de France | Language: | French |
Author: | Sigmund Freud |
ISBN: | 9782130642374 |
Publisher: | Presses Universitaires de France |
Publication: | June 8, 2011 |
Imprint: | Presses Universitaires de France |
Language: | French |
« Publié en février 1926, Inhibition, symptôme et angoisse a été écrit au début de l'été 1925, avant d'être revu et corrigé en décembre : le déséquilibre du titre est un indice des difficultés rencontrées par Freud dans l'unification de son ouvrage. Inhibition, symptôme et angoisse est un texte sur l'angoisse, sur la théorie de l'angoisse ; le symptôme et surtout l'inhibition n'y occupent qu'une place réduite. Le recours aux « suppléments » – lesquels remettent à chaque fois en cause la totalité – ajoute à cette impression d'une insatisfaction au moins partielle devant les conclusions. Ce sentiment mitigé devant l'ouvrage, Freud le confie à Jones : “Il contient plusieurs choses nouvelles et d'importance, annule et corrige de nombreuses conclusions antérieures, et de façon générale n'est pas bon.” Sans doute faut-il faire dans ce jugement la part, courante chez Freud, de l'autodépréciation ; elle ne supprime cependant pas l'insatisfaction. » (J. André, Préface)
« Publié en février 1926, Inhibition, symptôme et angoisse a été écrit au début de l'été 1925, avant d'être revu et corrigé en décembre : le déséquilibre du titre est un indice des difficultés rencontrées par Freud dans l'unification de son ouvrage. Inhibition, symptôme et angoisse est un texte sur l'angoisse, sur la théorie de l'angoisse ; le symptôme et surtout l'inhibition n'y occupent qu'une place réduite. Le recours aux « suppléments » – lesquels remettent à chaque fois en cause la totalité – ajoute à cette impression d'une insatisfaction au moins partielle devant les conclusions. Ce sentiment mitigé devant l'ouvrage, Freud le confie à Jones : “Il contient plusieurs choses nouvelles et d'importance, annule et corrige de nombreuses conclusions antérieures, et de façon générale n'est pas bon.” Sans doute faut-il faire dans ce jugement la part, courante chez Freud, de l'autodépréciation ; elle ne supprime cependant pas l'insatisfaction. » (J. André, Préface)