Author: | Isabelle Fruchart, Zabou Breitman | ISBN: | 9782823900811 |
Publisher: | Emoticourt | Publication: | February 6, 2018 |
Imprint: | Emoticourt | Language: | French |
Author: | Isabelle Fruchart, Zabou Breitman |
ISBN: | 9782823900811 |
Publisher: | Emoticourt |
Publication: | February 6, 2018 |
Imprint: | Emoticourt |
Language: | French |
Le récit sensible d'une redécouverte sonore du monde...
Que comprend-on quand on n'entend pas ? Comment vit-on et vous écoute-t-on ? Et que ressent-on quand toutes sortes de bruits, de l'eau sur la vaisselle à la sonnerie de porte, reviennent dans le quotidien ?
Isabelle Fruchart, comédienne, a consigné avec finesse et humour l'histoire de ses oreilles, de la perte quasi-totale de l'ouïe à 14 ans à l'appareillage, à 37 ans. On se laisse emporter et toucher par cette odyssée autobiographique qui mène à la redécouverte des sons – à commencer par sa propre voix – comme à la redécouverte de soi.
Le texte, adapté et mis en scène par Zabou Breitman, a été créé au Théâtre du Chêne Noir à Avignon en 2013. Il a reçu le prix Agir pour l'Audition en 2014 et a été joué en juin et juillet 2015 par Isabelle Fruchart au Théâtre du Rond-Point à Paris.
Un parcours initiatique pétri d'humour et d'émotion.
EXTRAIT
À l'âge de 14 ans, j'ai cessé de comprendre les paroles des chansons et je me suis mise à copier sur ma voisine pendant les cours, non que je sois devenue subitement nulle en orthographe mais je ne comprenais plus ce que dictait la prof. Ma sœur partageait ma chambre et quand le soir à table elle racontait à nos parents ce que je comprenais quand nous parlions dans le noir, c'était si drôle qu'ils étaient persuadés que je faisais le clown pour me faire remarqué.
CE QU'EN PENSE LA CRITIQUE
Le monologue d'Isabelle Fruchart bruisse de vie et de tendresse. De réalisme aussi - grâce à un subtil jeu sonore, elle nous fait revivre son expérience. - Philippe Chevilley, Les Échos
La singularité de ce parcours se double d'une grande qualite d'écriture, sensible et pleine de malice. À travers plusieurs anecdotes cocasses (irrésistible directeur de casting qui croit que la comédienne le drague alors qu'elle tente juste de lire sur ses lèvres), Isabelle Fruchart, seule en scène, raconte sa renaissance, ses progrès comme ses déceptions, avec légèreté et fantaisie. - Charlotte Lipinska, Têtu
Un texte sincère, précis, scientifique, truffé de notations cocasses de faits et de sentiments. - Armelle Héliot, Le Quotidien du Médecin
À PROPOS DES AUTEURES
Née à Paris, Isabelle Fruchart s'est formée à la musique (en famille), ainsi qu'à la danse et au théâtre.
Après un DEA de lettres modernes consacré à Paul Claudel, elle a choisi la scène. Elle a joué, depuis 1996, au sein de la compagnie Opaline, en solo –notamment à travers son personnage Divine Devine qui pratique la magie mentale – et sous la direction, entre autres, d'Antoine Campo, Sophie Akrich, Hélène Cinque, Serge Noyelle. En parallèle, elle a écrit et co-écrit des spectacles. Journal de ma nouvelle oreille est sa deuxième pièce.
Zabou Breitman tourne au cinéma sous la direction, entre autres, de Gérard Mordillat, Diane Kurys, Pierre Schoeller, Rémi Besançon, Michel Deville et Coline Serreau. En 2001, elle réalise son premier long métrage Se souvenir des belles choses, pour lequel elle remporte trois Césars en 2003. En 2006, elle réalise son second long métrage L’Homme de sa vie puis, en 2009, Je l’aimais, adapté du roman d’Anna Gavalda. En 2010, elle adapte le roman de Delphine de Vigan, No et moi.
Le récit sensible d'une redécouverte sonore du monde...
Que comprend-on quand on n'entend pas ? Comment vit-on et vous écoute-t-on ? Et que ressent-on quand toutes sortes de bruits, de l'eau sur la vaisselle à la sonnerie de porte, reviennent dans le quotidien ?
Isabelle Fruchart, comédienne, a consigné avec finesse et humour l'histoire de ses oreilles, de la perte quasi-totale de l'ouïe à 14 ans à l'appareillage, à 37 ans. On se laisse emporter et toucher par cette odyssée autobiographique qui mène à la redécouverte des sons – à commencer par sa propre voix – comme à la redécouverte de soi.
Le texte, adapté et mis en scène par Zabou Breitman, a été créé au Théâtre du Chêne Noir à Avignon en 2013. Il a reçu le prix Agir pour l'Audition en 2014 et a été joué en juin et juillet 2015 par Isabelle Fruchart au Théâtre du Rond-Point à Paris.
Un parcours initiatique pétri d'humour et d'émotion.
EXTRAIT
À l'âge de 14 ans, j'ai cessé de comprendre les paroles des chansons et je me suis mise à copier sur ma voisine pendant les cours, non que je sois devenue subitement nulle en orthographe mais je ne comprenais plus ce que dictait la prof. Ma sœur partageait ma chambre et quand le soir à table elle racontait à nos parents ce que je comprenais quand nous parlions dans le noir, c'était si drôle qu'ils étaient persuadés que je faisais le clown pour me faire remarqué.
CE QU'EN PENSE LA CRITIQUE
Le monologue d'Isabelle Fruchart bruisse de vie et de tendresse. De réalisme aussi - grâce à un subtil jeu sonore, elle nous fait revivre son expérience. - Philippe Chevilley, Les Échos
La singularité de ce parcours se double d'une grande qualite d'écriture, sensible et pleine de malice. À travers plusieurs anecdotes cocasses (irrésistible directeur de casting qui croit que la comédienne le drague alors qu'elle tente juste de lire sur ses lèvres), Isabelle Fruchart, seule en scène, raconte sa renaissance, ses progrès comme ses déceptions, avec légèreté et fantaisie. - Charlotte Lipinska, Têtu
Un texte sincère, précis, scientifique, truffé de notations cocasses de faits et de sentiments. - Armelle Héliot, Le Quotidien du Médecin
À PROPOS DES AUTEURES
Née à Paris, Isabelle Fruchart s'est formée à la musique (en famille), ainsi qu'à la danse et au théâtre.
Après un DEA de lettres modernes consacré à Paul Claudel, elle a choisi la scène. Elle a joué, depuis 1996, au sein de la compagnie Opaline, en solo –notamment à travers son personnage Divine Devine qui pratique la magie mentale – et sous la direction, entre autres, d'Antoine Campo, Sophie Akrich, Hélène Cinque, Serge Noyelle. En parallèle, elle a écrit et co-écrit des spectacles. Journal de ma nouvelle oreille est sa deuxième pièce.
Zabou Breitman tourne au cinéma sous la direction, entre autres, de Gérard Mordillat, Diane Kurys, Pierre Schoeller, Rémi Besançon, Michel Deville et Coline Serreau. En 2001, elle réalise son premier long métrage Se souvenir des belles choses, pour lequel elle remporte trois Césars en 2003. En 2006, elle réalise son second long métrage L’Homme de sa vie puis, en 2009, Je l’aimais, adapté du roman d’Anna Gavalda. En 2010, elle adapte le roman de Delphine de Vigan, No et moi.