Author: | Alexandre Abbo A Beyeck | ISBN: | 9781311910196 |
Publisher: | Alexandre Abbo A Beyeck | Publication: | November 26, 2013 |
Imprint: | Smashwords Edition | Language: | French |
Author: | Alexandre Abbo A Beyeck |
ISBN: | 9781311910196 |
Publisher: | Alexandre Abbo A Beyeck |
Publication: | November 26, 2013 |
Imprint: | Smashwords Edition |
Language: | French |
La menace la plus grave à laquelle l’humanité de notre temps est confrontée se présente sous les traits des Etats-Unis d’Amérique. Depuis 1945, ce pays est le cœur central de la mondialisation réelle, c’est à dire du capitalisme, un processus impérialiste par essence et mondial par vocation. Il agit en tant qu’instrument politique global, pour le compte de l’oligarchie du complexe militaro-financier anglo-saxon. La logique même de fonctionnement du capitalisme impose comme but à son oligarchie un pouvoir planétaire de nature nécessairement totalitaire aux fins d’accumulation sans limites. La guerre mondiale en deux actes 1914-1918 / 1939-1945 a été le débouché inévitable des rivalités d’ambitions hégémoniques entre la Grande Bretagne, la puissance mondiale du XIXème siècle, déclinante au début du XXème, et la montée en puissance de Allemagne. La Grande Bretagne ne pouvait se satisfaire de ne plus être dominante, l’Allemagne aspirait à une présence maritime digne de son rang, mondial. La décision de la guerre a eu pour effet principal l’affirmation depuis 1945 des Etats-Unis d’Amérique comme centre unificateur du capitalisme et instrument politique global de l’oligarchie bancaire et financière qui avait financé chacun des deux camps rivaux dans la guerre. L’enjeu pour l’humanité aujourd’hui consiste à sortir de l’ordre international né en 1945 et s’engager vers une logique de respect de l’altérite et de la pluralité des fins légitimes. Il s’agit de promouvoir la pluralité des modes de production sociale et une logique de coopération, de solidarité et de meilleur respect des grands équilibres de la biosphère. Ce choix suppose la création d’une monnaie internationale dénationalisée et dé-privatisée et d’une Banque Centrale Internationale sous statut ONU en charge de sa gestion et des compensations entre Banques Centrales des différentes zones monétaires. Il implique parallèlement l’inscription de la Charte de la Havane en tant que partie intégrante de la Charte fondamentale de l’ONU, la démocratisation institutionnelle du système ONU, et le respect par tous du Droit International.
La menace la plus grave à laquelle l’humanité de notre temps est confrontée se présente sous les traits des Etats-Unis d’Amérique. Depuis 1945, ce pays est le cœur central de la mondialisation réelle, c’est à dire du capitalisme, un processus impérialiste par essence et mondial par vocation. Il agit en tant qu’instrument politique global, pour le compte de l’oligarchie du complexe militaro-financier anglo-saxon. La logique même de fonctionnement du capitalisme impose comme but à son oligarchie un pouvoir planétaire de nature nécessairement totalitaire aux fins d’accumulation sans limites. La guerre mondiale en deux actes 1914-1918 / 1939-1945 a été le débouché inévitable des rivalités d’ambitions hégémoniques entre la Grande Bretagne, la puissance mondiale du XIXème siècle, déclinante au début du XXème, et la montée en puissance de Allemagne. La Grande Bretagne ne pouvait se satisfaire de ne plus être dominante, l’Allemagne aspirait à une présence maritime digne de son rang, mondial. La décision de la guerre a eu pour effet principal l’affirmation depuis 1945 des Etats-Unis d’Amérique comme centre unificateur du capitalisme et instrument politique global de l’oligarchie bancaire et financière qui avait financé chacun des deux camps rivaux dans la guerre. L’enjeu pour l’humanité aujourd’hui consiste à sortir de l’ordre international né en 1945 et s’engager vers une logique de respect de l’altérite et de la pluralité des fins légitimes. Il s’agit de promouvoir la pluralité des modes de production sociale et une logique de coopération, de solidarité et de meilleur respect des grands équilibres de la biosphère. Ce choix suppose la création d’une monnaie internationale dénationalisée et dé-privatisée et d’une Banque Centrale Internationale sous statut ONU en charge de sa gestion et des compensations entre Banques Centrales des différentes zones monétaires. Il implique parallèlement l’inscription de la Charte de la Havane en tant que partie intégrante de la Charte fondamentale de l’ONU, la démocratisation institutionnelle du système ONU, et le respect par tous du Droit International.