Author: | Paul Féval | ISBN: | 1230002915494 |
Publisher: | Paris, France : 1866 | Publication: | November 24, 2018 |
Imprint: | Language: | French |
Author: | Paul Féval |
ISBN: | 1230002915494 |
Publisher: | Paris, France : 1866 |
Publication: | November 24, 2018 |
Imprint: | |
Language: | French |
« C’est pourquoi, plein de confiance, nous proclamons dès le début de cette oeuvre extraordinaire qu’on n’ira pas plus loin désormais dans la voie du crime à bon marché. Nous avons rigoureusement établi nos calculs : la concurrence est impossible. Nous avons fait table rase de tout ce qui embarrasse un livre ; l’esprit, l’observation, l’originalité, l’orthographe même ; et ne voilà que du crime. »
Voici un Objet Littéraire Non Identifié. Dans cette l’histoire abracadabrante à l’excès, l’auteur se moque de la littérature populaire « à un sou », déplore le goût de ses contemporains pour le crime - tout en garantissant 73 morts par chapitre - multiplie les retrouvailles familiales invraisemblables, présentes dans tous les feuilletons de l’époque. Certains y voient le testament littéraire d’un Paul Féval, écrivain populaire, qui, vers la fin de sa carrière, s’est tourné vers une littérature plus « sérieuse ».
« C’est pourquoi, plein de confiance, nous proclamons dès le début de cette oeuvre extraordinaire qu’on n’ira pas plus loin désormais dans la voie du crime à bon marché. Nous avons rigoureusement établi nos calculs : la concurrence est impossible. Nous avons fait table rase de tout ce qui embarrasse un livre ; l’esprit, l’observation, l’originalité, l’orthographe même ; et ne voilà que du crime. »
Voici un Objet Littéraire Non Identifié. Dans cette l’histoire abracadabrante à l’excès, l’auteur se moque de la littérature populaire « à un sou », déplore le goût de ses contemporains pour le crime - tout en garantissant 73 morts par chapitre - multiplie les retrouvailles familiales invraisemblables, présentes dans tous les feuilletons de l’époque. Certains y voient le testament littéraire d’un Paul Féval, écrivain populaire, qui, vers la fin de sa carrière, s’est tourné vers une littérature plus « sérieuse ».