La face cachée de l'ONU

Nonfiction, Social & Cultural Studies, Political Science, International, International Relations
Cover of the book La face cachée de l'ONU by Michel Schooyans, FeniXX réédition numérique
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Author: Michel Schooyans ISBN: 9782402161046
Publisher: FeniXX réédition numérique Publication: January 1, 2000
Imprint: FeniXX réédition numérique (Sarment) Language: French
Author: Michel Schooyans
ISBN: 9782402161046
Publisher: FeniXX réédition numérique
Publication: January 1, 2000
Imprint: FeniXX réédition numérique (Sarment)
Language: French

Ce livre brise un tabou : en matière de droits de l’homme, l’ONU inquiète. Elle est en train d’enterrer la conception réaliste des droits de l’homme : celle des déclarations de 1789 et de 1948, selon lesquelles tous les hommes naissent avec les mêmes droits – droit à la vie, à la liberté, à l’association, etc. Créée au lendemain de la Seconde Guerre mondiale, avec la mission de promouvoir ces droits et de les faire respecter, l’ONU s’éloigne de plus en plus de sa référence fondatrice qui l’appelait à édifier de nouvelles relations internationales. Fortement influencée par la pensée anglo-saxonne, l’ONU tend désormais à considérer les droits de l’homme comme le produit de conventions qui, une fois ratifiées, acquièrent force de loi. Ici, la recherche de la vérité n’a pas sa place. Le mot consensus est le nouveau talisman, la source du droit ; c’est lui qui définit le « politiquement correct ». Ainsi, en utilisant le droit international positif, l’ONU procède à une concentration pyramidale du pouvoir. Rognant la juste souveraineté des nations, elle se pose de plus en plus en super-État mondial. Elle exerce un contrôle de plus en plus centralisé sur l’information, la santé et les populations, les ressources du sol et du sous-sol, le commerce mondial et les organisations syndicales, enfin – et surtout – sur le droit et la politique. Exaltant le culte néopaïen de la Terre mère, elle prive l’homme de la place centrale que lui reconnaissent les grandes traditions philosophiques, juridiques et religieuses. Face à cette globalisation pleine d’ambiguïtés, il est temps que les États se ressaisissent, car s’ils se laissent dissoudre, les hommes seront sans défense devant une bureaucratie supranationale qui se sera arrogé le monopole de définir le vrai et le faux, le bien et le mal, le juste et l’injuste. L’auteur analyse cette dérive de l’ONU, tout en montrant qu’elle n’a rien de fatal : elle appelle cependant la réaffirmation vigoureuse et urgente du rôle de la société civile et de ce capital prodigieux qu’est la personne humaine. Un livre non conformiste, unique en son genre et dérangeant.

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Ce livre brise un tabou : en matière de droits de l’homme, l’ONU inquiète. Elle est en train d’enterrer la conception réaliste des droits de l’homme : celle des déclarations de 1789 et de 1948, selon lesquelles tous les hommes naissent avec les mêmes droits – droit à la vie, à la liberté, à l’association, etc. Créée au lendemain de la Seconde Guerre mondiale, avec la mission de promouvoir ces droits et de les faire respecter, l’ONU s’éloigne de plus en plus de sa référence fondatrice qui l’appelait à édifier de nouvelles relations internationales. Fortement influencée par la pensée anglo-saxonne, l’ONU tend désormais à considérer les droits de l’homme comme le produit de conventions qui, une fois ratifiées, acquièrent force de loi. Ici, la recherche de la vérité n’a pas sa place. Le mot consensus est le nouveau talisman, la source du droit ; c’est lui qui définit le « politiquement correct ». Ainsi, en utilisant le droit international positif, l’ONU procède à une concentration pyramidale du pouvoir. Rognant la juste souveraineté des nations, elle se pose de plus en plus en super-État mondial. Elle exerce un contrôle de plus en plus centralisé sur l’information, la santé et les populations, les ressources du sol et du sous-sol, le commerce mondial et les organisations syndicales, enfin – et surtout – sur le droit et la politique. Exaltant le culte néopaïen de la Terre mère, elle prive l’homme de la place centrale que lui reconnaissent les grandes traditions philosophiques, juridiques et religieuses. Face à cette globalisation pleine d’ambiguïtés, il est temps que les États se ressaisissent, car s’ils se laissent dissoudre, les hommes seront sans défense devant une bureaucratie supranationale qui se sera arrogé le monopole de définir le vrai et le faux, le bien et le mal, le juste et l’injuste. L’auteur analyse cette dérive de l’ONU, tout en montrant qu’elle n’a rien de fatal : elle appelle cependant la réaffirmation vigoureuse et urgente du rôle de la société civile et de ce capital prodigieux qu’est la personne humaine. Un livre non conformiste, unique en son genre et dérangeant.

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