Une psychanalyse qui a du chat !
Une jeune chatte malicieuse et égocentrique nommée Cerise entreprend sa « P’titchatnalyse » avec le bon Docteur Fremd. Dans un langage alerte et peu châtié dont elle a le secret, elle fait montre de son caractère bien trempé, de sa mauvaise foi évidente et son ingéniosité parfois féroce, même si elle sait aussi être tendre avec ses parents adoptifs, qu’elle appelle affectueusement ses « harengs »…
Amateurs de chats (de 7 à 97 ans), attendez-vous au pire !
Un roman délirant et joyeusement illustré qui n'a pas fini de vous surprendre !
EXTRAIT
Qu’est-ce qu’elle a, ma tête ?
— Eh ba Docteur, figurez-vous que ma tête, encore, c’est rien. Rien à côté de ce nom ridicule ! Patapoute, Patapoute, est-ce que j’ai une tête de patapoute ? ? Bon, c’est vrai, j’en rajoute un peu, parce que « Patapoute », c’est juste mon nom quand je descends l’escalier de la maison. En vrai, ils ne m’appellent pas comme ça le reste du temps. Mais bon, quand-même, faut pas pousser. Quoi que « Patapoute », en y regardant de près, ça évoque bien le doux martellement que je fais dans ces cas-là, sauf si je suis en train de courir à tout berzingue pour dévaler cette curieuse invention humaine (ça, c’est plutôt rigolo : je leur fais de ces frayeurs parfois !)
En fait, je m’appelle Cerise pour de bon (c’était avant que la pub des assurances, vous savez, me vole mon nom pour le donner à cette blondasse ridicule à pois jaunes ou verts qu’a pas un neurone sous son écorce crânienne, mais restons zen.)
Une psychanalyse qui a du chat !
Une jeune chatte malicieuse et égocentrique nommée Cerise entreprend sa « P’titchatnalyse » avec le bon Docteur Fremd. Dans un langage alerte et peu châtié dont elle a le secret, elle fait montre de son caractère bien trempé, de sa mauvaise foi évidente et son ingéniosité parfois féroce, même si elle sait aussi être tendre avec ses parents adoptifs, qu’elle appelle affectueusement ses « harengs »…
Amateurs de chats (de 7 à 97 ans), attendez-vous au pire !
Un roman délirant et joyeusement illustré qui n'a pas fini de vous surprendre !
EXTRAIT
Qu’est-ce qu’elle a, ma tête ?
— Eh ba Docteur, figurez-vous que ma tête, encore, c’est rien. Rien à côté de ce nom ridicule ! Patapoute, Patapoute, est-ce que j’ai une tête de patapoute ? ? Bon, c’est vrai, j’en rajoute un peu, parce que « Patapoute », c’est juste mon nom quand je descends l’escalier de la maison. En vrai, ils ne m’appellent pas comme ça le reste du temps. Mais bon, quand-même, faut pas pousser. Quoi que « Patapoute », en y regardant de près, ça évoque bien le doux martellement que je fais dans ces cas-là, sauf si je suis en train de courir à tout berzingue pour dévaler cette curieuse invention humaine (ça, c’est plutôt rigolo : je leur fais de ces frayeurs parfois !)
En fait, je m’appelle Cerise pour de bon (c’était avant que la pub des assurances, vous savez, me vole mon nom pour le donner à cette blondasse ridicule à pois jaunes ou verts qu’a pas un neurone sous son écorce crânienne, mais restons zen.)