Author: | Collectif | ISBN: | 9782869065680 |
Publisher: | Presses universitaires François-Rabelais | Publication: | October 17, 2018 |
Imprint: | Presses universitaires François-Rabelais | Language: | French |
Author: | Collectif |
ISBN: | 9782869065680 |
Publisher: | Presses universitaires François-Rabelais |
Publication: | October 17, 2018 |
Imprint: | Presses universitaires François-Rabelais |
Language: | French |
Dans les lettres que nous a léguées l’Antiquité gréco-romaine comme dans les correspondances plus récentes, l’histoire est présente sous différents aspects, liés à l’ambiguïté du mot « histoire », qui désigne la connaissance du passé humain aussi bien que ce passé lui-même. La présence de l’histoire dans l’épistolaire est donc celle des historiens et du genre historique, mais aussi celle des événements : événements du passé, qui constituent une source inépuisable d’exempla ; événements contemporains, dont l’épistolier se fait, volontairement ou non, le témoin. Cette présence est étudiée ici, selon des approches diverses, mais souvent convergentes, chez plus de vingt auteurs, surtout grecs et latins, avec des prolongements médiévaux, renaissants et modernes. Mieux que tout autre document historique, les lettres ne favorisent-elles pas cette « rencontre fraternelle avec des hommes », que Marc Bloch situait au cœur du « métier d’historien » ?
Dans les lettres que nous a léguées l’Antiquité gréco-romaine comme dans les correspondances plus récentes, l’histoire est présente sous différents aspects, liés à l’ambiguïté du mot « histoire », qui désigne la connaissance du passé humain aussi bien que ce passé lui-même. La présence de l’histoire dans l’épistolaire est donc celle des historiens et du genre historique, mais aussi celle des événements : événements du passé, qui constituent une source inépuisable d’exempla ; événements contemporains, dont l’épistolier se fait, volontairement ou non, le témoin. Cette présence est étudiée ici, selon des approches diverses, mais souvent convergentes, chez plus de vingt auteurs, surtout grecs et latins, avec des prolongements médiévaux, renaissants et modernes. Mieux que tout autre document historique, les lettres ne favorisent-elles pas cette « rencontre fraternelle avec des hommes », que Marc Bloch situait au cœur du « métier d’historien » ?