Author: | Catherine Rambert | ISBN: | 9782402158312 |
Publisher: | FeniXX réédition numérique | Publication: | January 1, 1997 |
Imprint: | FeniXX réédition numérique (Édition°1) | Language: | French |
Author: | Catherine Rambert |
ISBN: | 9782402158312 |
Publisher: | FeniXX réédition numérique |
Publication: | January 1, 1997 |
Imprint: | FeniXX réédition numérique (Édition°1) |
Language: | French |
Et si les femmes en avaient assez d’être les éternelles laissées-pour-compte d’une société qui continue d’être pensée et régie par des hommes ? Assez d’être moins bien rémunérées, moins bien formées, moins reconnues ? Assez d’être exclues du pouvoir, qu’il soit politique ou économique, alors qu’elles représentent la moitié de la population française ? À situation catastrophique, réponse radicale. Le pouvoir masculin s’obstine à boycotter les femmes ? Que les femmes boycottent le pouvoir masculin. En s’abstenant de voter pour les candidats, de droite ou de gauche, opposés à la parité, qui refusent de partager le pouvoir. En boycottant les entreprises qui bloquent l’accession des femmes aux postes à responsabilité et les sous-paient. Agir, ou plutôt réagir, tel est le propos de cet essai enlevé et incisif qui plaide pour que l’on puisse un jour dire « la présidente ».
Et si les femmes en avaient assez d’être les éternelles laissées-pour-compte d’une société qui continue d’être pensée et régie par des hommes ? Assez d’être moins bien rémunérées, moins bien formées, moins reconnues ? Assez d’être exclues du pouvoir, qu’il soit politique ou économique, alors qu’elles représentent la moitié de la population française ? À situation catastrophique, réponse radicale. Le pouvoir masculin s’obstine à boycotter les femmes ? Que les femmes boycottent le pouvoir masculin. En s’abstenant de voter pour les candidats, de droite ou de gauche, opposés à la parité, qui refusent de partager le pouvoir. En boycottant les entreprises qui bloquent l’accession des femmes aux postes à responsabilité et les sous-paient. Agir, ou plutôt réagir, tel est le propos de cet essai enlevé et incisif qui plaide pour que l’on puisse un jour dire « la présidente ».