Author: | Henry GRÉVILLE | ISBN: | 1230001059304 |
Publisher: | Editions MARQUES | Publication: | May 2, 2016 |
Imprint: | Language: | French |
Author: | Henry GRÉVILLE |
ISBN: | 1230001059304 |
Publisher: | Editions MARQUES |
Publication: | May 2, 2016 |
Imprint: | |
Language: | French |
Avec les Editions MARQUES, venez découvrir ou redécouvrir les grands classiques optimisés pour vos liseuses et applications électroniques. Une publication de qualité par des professionnels de l'édition.
Les éditions MARQUES présentent "La seconde mère", d’Henry Gréville édité en texte intégral.
Présentation de l'éditeur
Henry Gréville, pseudonyme de Alice Marie Céleste Durand née Fleury (1842-1902), a publié de nombreux romans, des nouvelles, des pièces, de la poésie ; elle a été à son époque un écrivain à succès.
Extrait :
Un peu injuste, répéta-t-il. Ne comprenez-vous pas que ma vie est très occupée, très austère, souvent triste ; que le barreau est une profession où l'on devient aisément misanthrope, à force de voir les mauvais côtés de la nature humaine ; que la politique est toujours pénible, souvent écœurante, et que j'ai besoin d'avoir dans ma maison une belle fleur épanouie, comme vous en avez sans cesse près de vous, dans un vase, pour reposer ma vue et mon cœur ? Voudriez-vous vraiment me condamner à rentrer toujours seul dans un logis toujours désert ? à ne jamais voir que des visages d'hommes autour de ma table, à vivre seul, ma mère aimée, et à mourir seul ?
Avec les Editions MARQUES, venez découvrir ou redécouvrir les grands classiques optimisés pour vos liseuses et applications électroniques. Une publication de qualité par des professionnels de l'édition.
Les éditions MARQUES présentent "La seconde mère", d’Henry Gréville édité en texte intégral.
Présentation de l'éditeur
Henry Gréville, pseudonyme de Alice Marie Céleste Durand née Fleury (1842-1902), a publié de nombreux romans, des nouvelles, des pièces, de la poésie ; elle a été à son époque un écrivain à succès.
Extrait :
Un peu injuste, répéta-t-il. Ne comprenez-vous pas que ma vie est très occupée, très austère, souvent triste ; que le barreau est une profession où l'on devient aisément misanthrope, à force de voir les mauvais côtés de la nature humaine ; que la politique est toujours pénible, souvent écœurante, et que j'ai besoin d'avoir dans ma maison une belle fleur épanouie, comme vous en avez sans cesse près de vous, dans un vase, pour reposer ma vue et mon cœur ? Voudriez-vous vraiment me condamner à rentrer toujours seul dans un logis toujours désert ? à ne jamais voir que des visages d'hommes autour de ma table, à vivre seul, ma mère aimée, et à mourir seul ?