Author: | Anonyme | ISBN: | 9782259257022 |
Publisher: | Plon (réédition numérique FeniXX) | Publication: | January 1, 1985 |
Imprint: | Plon (réédition numérique FeniXX) | Language: | French |
Author: | Anonyme |
ISBN: | 9782259257022 |
Publisher: | Plon (réédition numérique FeniXX) |
Publication: | January 1, 1985 |
Imprint: | Plon (réédition numérique FeniXX) |
Language: | French |
La comtesse Alexandra, avant d'être la fiancée de Son Altesse Sérénissime le prince Malko Linge, a vécu. Elle a même fort bien vécu... Forte de son rang et de sa beauté, féminine, possessive et animale, goûtant avec avidité aux joies de la chair, dès son plus jeune âge. Avec une candeur frisant parfois la perversité. Ce torrent d'aventures sensuelles et impertinentes, de fantasmes brûlants et de passions débridées commence au Château. « Au moment où je collais mes yeux au trou de la serrure, le lieutenant Halder collait sa langue dans l'oreille de sa fiancée, ma cousine. Elle frissonna : je découvris par elle les mystères de l'oreille. J'entendis ensuite des mots d'une rare grossièreté sortir de sa bouche : - Salaud ! Oui, baise-moi ! Ecartelée sous le lieutenant, elle se mit à crier à chacun de ses coups. Il la fourrageait, la labourait de ce pieu puissant que j'avais deviné avant même la couleur de ses yeux. »
La comtesse Alexandra, avant d'être la fiancée de Son Altesse Sérénissime le prince Malko Linge, a vécu. Elle a même fort bien vécu... Forte de son rang et de sa beauté, féminine, possessive et animale, goûtant avec avidité aux joies de la chair, dès son plus jeune âge. Avec une candeur frisant parfois la perversité. Ce torrent d'aventures sensuelles et impertinentes, de fantasmes brûlants et de passions débridées commence au Château. « Au moment où je collais mes yeux au trou de la serrure, le lieutenant Halder collait sa langue dans l'oreille de sa fiancée, ma cousine. Elle frissonna : je découvris par elle les mystères de l'oreille. J'entendis ensuite des mots d'une rare grossièreté sortir de sa bouche : - Salaud ! Oui, baise-moi ! Ecartelée sous le lieutenant, elle se mit à crier à chacun de ses coups. Il la fourrageait, la labourait de ce pieu puissant que j'avais deviné avant même la couleur de ses yeux. »