Author: | Friedrich Nietzsche | ISBN: | 1230001799842 |
Publisher: | EnvikaBook | Publication: | August 15, 2017 |
Imprint: | Language: | French |
Author: | Friedrich Nietzsche |
ISBN: | 1230001799842 |
Publisher: | EnvikaBook |
Publication: | August 15, 2017 |
Imprint: | |
Language: | French |
Le Gai Savoir est un ouvrage de Friedrich Nietzsche, publié en 1882, sous le titre original Die fröhliche Wissenschaft, la gaya scienza. Le titre fait référence aux troubadours, l'expression Gai Saber de laquelle dérive la gaya scienza étant une façon de dénommer en occitan l'art de composer des poésies lyriques.
Dans sa préface, Nietzsche contextualise son projet. Il parle de ses provenances, toutes des soupçons et des souffrances morales, faisant explicitement référence à une certaine appréhension de la psychologie en tant que libératrice des affres de la maladie. De l'antiquité grecque, qu'il affectionne particulièrement pour ce que les Grecs anciens auraient été, de son avis philologique, « superficiels... par profondeurs ! ». Il passe également par la conjecture que les personnes de sa trempe sont destinées à vivre une existence tragique, ressentie comme une délivrance, se mettant en opposition « au troupeau », qui se nourrirait de certitudes satisfaites.
Le Gai Savoir est un ouvrage de Friedrich Nietzsche, publié en 1882, sous le titre original Die fröhliche Wissenschaft, la gaya scienza. Le titre fait référence aux troubadours, l'expression Gai Saber de laquelle dérive la gaya scienza étant une façon de dénommer en occitan l'art de composer des poésies lyriques.
Dans sa préface, Nietzsche contextualise son projet. Il parle de ses provenances, toutes des soupçons et des souffrances morales, faisant explicitement référence à une certaine appréhension de la psychologie en tant que libératrice des affres de la maladie. De l'antiquité grecque, qu'il affectionne particulièrement pour ce que les Grecs anciens auraient été, de son avis philologique, « superficiels... par profondeurs ! ». Il passe également par la conjecture que les personnes de sa trempe sont destinées à vivre une existence tragique, ressentie comme une délivrance, se mettant en opposition « au troupeau », qui se nourrirait de certitudes satisfaites.