Le Parc aux cerfs

Tome I - II - III ( Edition intégrale ) annoté

Mystery & Suspense, Espionage, Fiction & Literature, Thrillers, Romance
Cover of the book Le Parc aux cerfs by Albert Blanquet, Paris : A. Degorce-Cadot, 1876
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Author: Albert Blanquet ISBN: 1230002367651
Publisher: Paris : A. Degorce-Cadot, 1876 Publication: June 9, 2018
Imprint: Language: French
Author: Albert Blanquet
ISBN: 1230002367651
Publisher: Paris : A. Degorce-Cadot, 1876
Publication: June 9, 2018
Imprint:
Language: French

L’auteur de ce livre a l’habitude – certains de ses confrères disent la manie – d’étudier l’histoire dont il veut retracer une page intime, non-seulement dans les écrits ou mémoires des contemporains, mais encore dans les localités mêmes qui doivent servir de cadre à ses récits.
Lorsqu’il étudiait Versailles, recherchant patiemment les traces de ce sérail de Louis XV qu’on ne désigne plus aujourd’hui que par le nom du quartier où il était situé, le Parc aux Cerfs, les indications des personnes obligeantes qui l’aidèrent dans son travail d’exhumation lui signalèrent un vieux gentilhomme, ancien officier des gardes du corps du roi Louis XVI, lequel consentirait peut-être à révéler des faits que la tradition affirmait être connus de lui.
L’auteur se rendit chez M. de F… Il habitait un petit hôtel de la rue… dans le quartier Saint-Louis. C’était un gentilhomme dans toute l’acception du mot ; ses manières, sa tenue, son élégance, et jusqu’aux ailes de pigeon qu’il avait conservées, accusaient le vieux serviteur d’une royauté qui s’en est allée avec les derniers vestiges de la galanterie française. Seulement, M. de F…, presque centenaire, extrêmement dur d’oreille, avait la vue si basse qu’il portait des lunettes à double cristal.
Il consentit à satisfaire l’auteur, mais à une condition : c’est qu’il lui garderait un secret absolu, touchant son nom et sa demeure, sa vie durant.
L’auteur promit.
Voici ce que M. de F... lui raconta :
– Il y a quelques années, je crus m’apercevoir qu’un de mes domestiques me volait mon vin, et j’eus tout lieu de craindre que ses préférences ne se fussent étendues sur quelques bouteilles d’un précieux crû du Rhin que j’avais rapportées de l’émigration. Pour m’en assurer, j’eus l’idée de descendre dans ma cave. Je ne la connaissais qu’imparfaitement, et je cherchais mes bouteilles, lorsque tout à coup j’aperçus une partie du mur écroulée et présentant une ouverture assez large pour le passage d’un homme. J’eus l’idée que cette issue donnait dans la cave d’un de mes voisins ; mais en m’orientant, je reconnus qu’elle se dirigeait vers le potager du roi. Vous comprenez que ma curiosité fut vivement excitée.
Le lecteur s’imagine quelle dut être aussitôt celle de l’auteur.
– Je m’aventurai dans le souterrain, continua M. de F..., et je marchai ainsi l’espace d’environ deux cents pas ; puis je m’arrêtai, n’osant aller plus loin. Ce n’était point par peur ; mais je suis vieux, un peu dur d’oreille et presque aveugle, et il pouvait arriver que je m’égarasse ou que je vinsse à tomber dans quelque trou. Du diable si j’aurais pu m’en tirer ! Je remontai à la lumière, et mon premier soin fut de faire reboucher l’ouverture par un maçon qui travaillait précisément chez moi ce jour-là.
– Et vous n’avez parlé à personne de votre découverte ?. demanda l’auteur au comble de l’étonnement,
– Je m’en serais bien gardé ! pour voir arriver aussitôt chez moi les visiteurs : gens de la ville, gens du château, gens du fisc, archéologues et tant d’autres importuns, sans compter les philosophes, qui n’auraient pas manqué de s’égayer sur le compte de nos rois !.
– Convenez cependant, monsieur, que les royalistes les plus chauds et les plus convaincus font bon marché de la réputation du roi Louis XV.
– C’est vrai, répondit le vieillard avec un sourire plein de malice et d’indulgence ; mais je craignais surtout les visiteurs, et quand on a mon âge, on a bien un peu le droit d’être égoïste et d’aimer à vivre tranquille.
– Monsieur, répliqua l’auteur, je vous avoue que je n’ai pas eu la force de respecter votre tranquillité, à l’exemple de vos concitoyens.
– Je vois que ce coquin de maçon a bavardé ! s’écria le vieux gentilhomme.
L’auteur obtint, non sans un grand et long combat, de descendre dans la cave de l’hôtel.
Là il fit le maçon, démolit une partie de la muraille avec les précautions les plus minutieuses, et parvint à se glisser dans le souterrain, dans les profondeurs duquel il s’aventura, une bougie à la main.
C’était un boyau d’une largeur de quatre pieds à peu près, allant tantôt en droite ligne et tantôt suivant de légères courbes, solidement maçonné, car les murs et la voûte en étaient presque intacts ; ils étaient percés, çà et là, de soupiraux à travers lesquels on ne voyait aucune lumière.
L’auteur marcha longtemps ainsi et se réserva de compter, au retour, le temps et la distance.
Enfin il arriva au pied d’un petit escalier, aux marches effondrées, qu’il n’hésita pas à monter d’un pied résolu, mais mal assuré. Il compta trente-sept marches, et à la dernière se trouvait une porte à la serrure presque invisible ; elle était couverte de moisissures. Au moyen de la hachette de maçon qu’il avait conservée, l’auteur écarta la gâche de la serrure, et la porte tourna péniblement sur ses gonds, en faisant entendre un grondement presque semblable à celui du tonnerre.
Ce ne pouvait être que le gémissement des ombres de Louis XV et de madame de Pompadour, désolées de voir pénétrer, peut-être, un de leurs plus mystérieux secrets.
L’auteur se trouvait dans une petite pièce circulaire, aux lambris vermoulus, au sol pavé de marbre, et dont le plafond offrait quelques parties moisies d’une peinture écaillée.
Aucune autre porte dans ce salon circulaire ; mais l’auteur ne s’arrêta point pour si peu, il frappa sur les murs, et l’un des panneaux offrant une sonorité plus grande que les autres, il l’attaqua de sa hachette, tout doucement, et de manière à n’y pas pratiquer un trou plus grand que celui d’une vrille.
Une fois le trou achevé, il y appliqua l’œil et découvrit une statue sur le piédestal de laquelle se lisait un nom...
Cette statue, l’auteur le devina facilement, se trouvait dans l’une des salles du Musée de Versailles.
Il ne crut pas devoir pousser plus loin sa découverte, et rebroussa chemin.
Il compta dix-sept cent quatre vingt-deux pas. Il avait marché durant l’espace de vingt-huit minutes, un bon tiers de lieue.
Et encore dut-il s’arrêter à dix pas en deçà de l’ouverture pratiquée par lui, devant la voûte et la muraille effondrées : ce qui autorisait à supposer que ce souterrain se prolongeait bien au delà de l’hôtel de M. de F...
Une fois rentré auprès de M. de F... et le trou bouché aussi parfaitement que le pouvait faire un maçon improvisé, l’auteur fut encore obligé de s’engager à ne pas révéler le nom de la statue qu’il avait aperçue.
La découverte de ce souterrain venait d’éclaircir, pour l’auteur, un de ces points mystérieux de l’histoire secrète de Louis XV, qui trouvera sa place dans le récit qui va suivre.

LE PARC AUX CERFS
LA CAVE DE M. DE F...
I LA SURINTENDANTE DES PLAISIRS DU ROI.
II CE QUE VOULAIT LE COMTE DE SAINT-GERMAIN.
III ROSE PICARD.
IV LES DEUX MAISONS DE LA RUE SAINT-LOUIS.
V LES BATTERIES DU CHEVALIER DE RANCHOLLES.
VI DES ÉVOLUTIONS D’UN DOMINO ROSE, ET DE L’INFLUENCE D’UNE LETTRE DE CACHET.
VII DE LA MANIÈRE DONT ÉTAIENT TRAITÉS CERTAINS PRISONNIERS DANS CERTAINES PRISONS D’ÉTAT.
VIII AMOUR QUI FUIT, AMOUR QUI VIENT.
IX LA FIANCÉE DE M. PINSON.
X LA SECONDE VUE.
XI LE SECRET DE MADAME DE NÉRIS.
XII LE NID DES AMOUREUX.
XIII LA RÉSIGNATION DE JEANNE.
XIV L’ÉLIXIR DE LONGUE VIE.
XV L’AGATE.
XVI LE GENTILHOMME POURVOYEUR.
XVII LE JUDAS.
XVIII CE QUE C’ÉTAIT QUE LA PRINCESSE TADOLINI.
XIX OU PAONESE ET SAINT-GERMAIN ONT A LUTTER CONTRE DEUX AMOURS.
XX DU MADEMOISELLE ROSE EST BIEN PRÈS DE DEVENIR UNE REINE DE LA MAIN GAUCHE.
XXI OU LA POLITIQUE CÈDE A L’AMOUR.
XXII LA VERTU DE ROSE PICARD.
XXIII LA VERTU DE MADEMOISELLE DIANE DE ROMANS.
XXIV LE TRESOR DES EMPEREURS D’ORIENT.
XXV OU IL EST QUESTION DE CHANGER LA FACE DU MONDE.
XXVI DES AVANTAGES DUN SERMON ET DES INCONVÉNIENT D’UN BÉNITIER.
XXVII LES VOYANTS.
XXVIII LA TRANSFIGURATION DU SULTAN DU PARC-AUX-CERFS.
XXIX L’AMOUR, L’AMBITION, LA JALOUSIE, L’AVARICE.
XXX MADAME HENRIETTE.
XXXI OU LA POMPADOLR A PEUR DE SON OEUVRE, ET JALOUSE LE PARC AUX CERFS.
XXXII JEANINE CHEZ SA MÈRE.
XXXIII L’ULTIMATUM DE MADEMOISELLE DIANE.
XXXIV LA FLEUR DE LYS.
XXXV LE TRAVAIL DU PORTEFEUILLE DU ROI.
XXXVI A FOLLE.
XXXVII OU DIANE DE ROMANS VOIT ENFIN SE LEVER LE JOUR DU TRIOMPHE.
XXXVIII LA TEMPÊTE.
XXXIX CONCLUSION
Notes

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L’auteur de ce livre a l’habitude – certains de ses confrères disent la manie – d’étudier l’histoire dont il veut retracer une page intime, non-seulement dans les écrits ou mémoires des contemporains, mais encore dans les localités mêmes qui doivent servir de cadre à ses récits.
Lorsqu’il étudiait Versailles, recherchant patiemment les traces de ce sérail de Louis XV qu’on ne désigne plus aujourd’hui que par le nom du quartier où il était situé, le Parc aux Cerfs, les indications des personnes obligeantes qui l’aidèrent dans son travail d’exhumation lui signalèrent un vieux gentilhomme, ancien officier des gardes du corps du roi Louis XVI, lequel consentirait peut-être à révéler des faits que la tradition affirmait être connus de lui.
L’auteur se rendit chez M. de F… Il habitait un petit hôtel de la rue… dans le quartier Saint-Louis. C’était un gentilhomme dans toute l’acception du mot ; ses manières, sa tenue, son élégance, et jusqu’aux ailes de pigeon qu’il avait conservées, accusaient le vieux serviteur d’une royauté qui s’en est allée avec les derniers vestiges de la galanterie française. Seulement, M. de F…, presque centenaire, extrêmement dur d’oreille, avait la vue si basse qu’il portait des lunettes à double cristal.
Il consentit à satisfaire l’auteur, mais à une condition : c’est qu’il lui garderait un secret absolu, touchant son nom et sa demeure, sa vie durant.
L’auteur promit.
Voici ce que M. de F... lui raconta :
– Il y a quelques années, je crus m’apercevoir qu’un de mes domestiques me volait mon vin, et j’eus tout lieu de craindre que ses préférences ne se fussent étendues sur quelques bouteilles d’un précieux crû du Rhin que j’avais rapportées de l’émigration. Pour m’en assurer, j’eus l’idée de descendre dans ma cave. Je ne la connaissais qu’imparfaitement, et je cherchais mes bouteilles, lorsque tout à coup j’aperçus une partie du mur écroulée et présentant une ouverture assez large pour le passage d’un homme. J’eus l’idée que cette issue donnait dans la cave d’un de mes voisins ; mais en m’orientant, je reconnus qu’elle se dirigeait vers le potager du roi. Vous comprenez que ma curiosité fut vivement excitée.
Le lecteur s’imagine quelle dut être aussitôt celle de l’auteur.
– Je m’aventurai dans le souterrain, continua M. de F..., et je marchai ainsi l’espace d’environ deux cents pas ; puis je m’arrêtai, n’osant aller plus loin. Ce n’était point par peur ; mais je suis vieux, un peu dur d’oreille et presque aveugle, et il pouvait arriver que je m’égarasse ou que je vinsse à tomber dans quelque trou. Du diable si j’aurais pu m’en tirer ! Je remontai à la lumière, et mon premier soin fut de faire reboucher l’ouverture par un maçon qui travaillait précisément chez moi ce jour-là.
– Et vous n’avez parlé à personne de votre découverte ?. demanda l’auteur au comble de l’étonnement,
– Je m’en serais bien gardé ! pour voir arriver aussitôt chez moi les visiteurs : gens de la ville, gens du château, gens du fisc, archéologues et tant d’autres importuns, sans compter les philosophes, qui n’auraient pas manqué de s’égayer sur le compte de nos rois !.
– Convenez cependant, monsieur, que les royalistes les plus chauds et les plus convaincus font bon marché de la réputation du roi Louis XV.
– C’est vrai, répondit le vieillard avec un sourire plein de malice et d’indulgence ; mais je craignais surtout les visiteurs, et quand on a mon âge, on a bien un peu le droit d’être égoïste et d’aimer à vivre tranquille.
– Monsieur, répliqua l’auteur, je vous avoue que je n’ai pas eu la force de respecter votre tranquillité, à l’exemple de vos concitoyens.
– Je vois que ce coquin de maçon a bavardé ! s’écria le vieux gentilhomme.
L’auteur obtint, non sans un grand et long combat, de descendre dans la cave de l’hôtel.
Là il fit le maçon, démolit une partie de la muraille avec les précautions les plus minutieuses, et parvint à se glisser dans le souterrain, dans les profondeurs duquel il s’aventura, une bougie à la main.
C’était un boyau d’une largeur de quatre pieds à peu près, allant tantôt en droite ligne et tantôt suivant de légères courbes, solidement maçonné, car les murs et la voûte en étaient presque intacts ; ils étaient percés, çà et là, de soupiraux à travers lesquels on ne voyait aucune lumière.
L’auteur marcha longtemps ainsi et se réserva de compter, au retour, le temps et la distance.
Enfin il arriva au pied d’un petit escalier, aux marches effondrées, qu’il n’hésita pas à monter d’un pied résolu, mais mal assuré. Il compta trente-sept marches, et à la dernière se trouvait une porte à la serrure presque invisible ; elle était couverte de moisissures. Au moyen de la hachette de maçon qu’il avait conservée, l’auteur écarta la gâche de la serrure, et la porte tourna péniblement sur ses gonds, en faisant entendre un grondement presque semblable à celui du tonnerre.
Ce ne pouvait être que le gémissement des ombres de Louis XV et de madame de Pompadour, désolées de voir pénétrer, peut-être, un de leurs plus mystérieux secrets.
L’auteur se trouvait dans une petite pièce circulaire, aux lambris vermoulus, au sol pavé de marbre, et dont le plafond offrait quelques parties moisies d’une peinture écaillée.
Aucune autre porte dans ce salon circulaire ; mais l’auteur ne s’arrêta point pour si peu, il frappa sur les murs, et l’un des panneaux offrant une sonorité plus grande que les autres, il l’attaqua de sa hachette, tout doucement, et de manière à n’y pas pratiquer un trou plus grand que celui d’une vrille.
Une fois le trou achevé, il y appliqua l’œil et découvrit une statue sur le piédestal de laquelle se lisait un nom...
Cette statue, l’auteur le devina facilement, se trouvait dans l’une des salles du Musée de Versailles.
Il ne crut pas devoir pousser plus loin sa découverte, et rebroussa chemin.
Il compta dix-sept cent quatre vingt-deux pas. Il avait marché durant l’espace de vingt-huit minutes, un bon tiers de lieue.
Et encore dut-il s’arrêter à dix pas en deçà de l’ouverture pratiquée par lui, devant la voûte et la muraille effondrées : ce qui autorisait à supposer que ce souterrain se prolongeait bien au delà de l’hôtel de M. de F...
Une fois rentré auprès de M. de F... et le trou bouché aussi parfaitement que le pouvait faire un maçon improvisé, l’auteur fut encore obligé de s’engager à ne pas révéler le nom de la statue qu’il avait aperçue.
La découverte de ce souterrain venait d’éclaircir, pour l’auteur, un de ces points mystérieux de l’histoire secrète de Louis XV, qui trouvera sa place dans le récit qui va suivre.

LE PARC AUX CERFS
LA CAVE DE M. DE F...
I LA SURINTENDANTE DES PLAISIRS DU ROI.
II CE QUE VOULAIT LE COMTE DE SAINT-GERMAIN.
III ROSE PICARD.
IV LES DEUX MAISONS DE LA RUE SAINT-LOUIS.
V LES BATTERIES DU CHEVALIER DE RANCHOLLES.
VI DES ÉVOLUTIONS D’UN DOMINO ROSE, ET DE L’INFLUENCE D’UNE LETTRE DE CACHET.
VII DE LA MANIÈRE DONT ÉTAIENT TRAITÉS CERTAINS PRISONNIERS DANS CERTAINES PRISONS D’ÉTAT.
VIII AMOUR QUI FUIT, AMOUR QUI VIENT.
IX LA FIANCÉE DE M. PINSON.
X LA SECONDE VUE.
XI LE SECRET DE MADAME DE NÉRIS.
XII LE NID DES AMOUREUX.
XIII LA RÉSIGNATION DE JEANNE.
XIV L’ÉLIXIR DE LONGUE VIE.
XV L’AGATE.
XVI LE GENTILHOMME POURVOYEUR.
XVII LE JUDAS.
XVIII CE QUE C’ÉTAIT QUE LA PRINCESSE TADOLINI.
XIX OU PAONESE ET SAINT-GERMAIN ONT A LUTTER CONTRE DEUX AMOURS.
XX DU MADEMOISELLE ROSE EST BIEN PRÈS DE DEVENIR UNE REINE DE LA MAIN GAUCHE.
XXI OU LA POLITIQUE CÈDE A L’AMOUR.
XXII LA VERTU DE ROSE PICARD.
XXIII LA VERTU DE MADEMOISELLE DIANE DE ROMANS.
XXIV LE TRESOR DES EMPEREURS D’ORIENT.
XXV OU IL EST QUESTION DE CHANGER LA FACE DU MONDE.
XXVI DES AVANTAGES DUN SERMON ET DES INCONVÉNIENT D’UN BÉNITIER.
XXVII LES VOYANTS.
XXVIII LA TRANSFIGURATION DU SULTAN DU PARC-AUX-CERFS.
XXIX L’AMOUR, L’AMBITION, LA JALOUSIE, L’AVARICE.
XXX MADAME HENRIETTE.
XXXI OU LA POMPADOLR A PEUR DE SON OEUVRE, ET JALOUSE LE PARC AUX CERFS.
XXXII JEANINE CHEZ SA MÈRE.
XXXIII L’ULTIMATUM DE MADEMOISELLE DIANE.
XXXIV LA FLEUR DE LYS.
XXXV LE TRAVAIL DU PORTEFEUILLE DU ROI.
XXXVI A FOLLE.
XXXVII OU DIANE DE ROMANS VOIT ENFIN SE LEVER LE JOUR DU TRIOMPHE.
XXXVIII LA TEMPÊTE.
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