Le Pater de Fénélon

Fiction & Literature, Religious, Short Stories, Romance
Cover of the book Le Pater de Fénélon by Samuel-Henry Berthoud, (zero papel)
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Author: Samuel-Henry Berthoud ISBN: 1230000026494
Publisher: (zero papel) Publication: September 12, 2012
Imprint: Language: French
Author: Samuel-Henry Berthoud
ISBN: 1230000026494
Publisher: (zero papel)
Publication: September 12, 2012
Imprint:
Language: French

« Le temps, les progrès de l'industrie et la facilité des rapports, effacent, chaque jour, le peu de physionomie particulière qu'il reste encore à la vie de province. Bientôt, cette grande et noble figure disparaîtra tout-à-fait, sous un aspect banal pour toute la France. Il en sera des habitudes provinciales comme des costumes dont l'originalité pittoresque devient de plus en plus rare, et qui cède la place, même dans les villages les plus reculés, à nos habits mesquins, sans grâce et sans dignité.

Mais ce n'est là qu'une perte pour l'art et pour les artistes, tandis que la transformation des habitudes de la province exerce, par malheur, une influence directe sur la morale et sur le bonheur d'une partie du pays. Où trouver maintenant, par exemple, les grandes familles qui vivaient, dans leurs terres, exerçaient une sorte de royauté bienfaisante sur tout ce qui les entourait, et préféraient une existence pieuse et utile, loin de Paris, à l'éclat et aux plaisirs qui les attendaient à la cour. Protéger les vassaux et les fermiers, les aider dans les années de mauvaise récolte, soigner leurs pères et leurs femmes malades, faire donner aux enfants une instruction élémentaire qui les instruisait de ce que l'on doit à Dieu et aux hommes, qui n'allumait pas en eux une funeste ambition par la fausse clarté de lumières menteuses; voilà quelles étaient les occupations des grandes familles nobles! voilà les devoirs qu'accomplissait, en chrétien, vers l'année 1658, M. le marquis de Salignac de la Motte de Fénélon. » Mais Mais ce n'est là qu'une perte pour l'art et pour les artistes, tandis que la transformation des habitudes de la province exerce, par malheur, une influence directe sur la morale et sur le bonheur d'une partie du pays. Où trouver maintenant, par exemple, les grandes familles qui vivaient, dans leurs terres, exerçaient une sorte de royauté bienfaisante sur tout ce qui les entourait, et préféraient une existence pieuse et utile, loin de Paris, à l'éclat et aux plaisirs qui les attendaient à la cour. Protéger les vassaux et les fermiers, les aider dans les années de mauvaise récolte, soigner leurs pères et leurs femmes malades, faire donner aux enfants une instruction élémentaire qui les instruisait de ce que l'on doit à Dieu et aux hommes, qui n'allumait pas en eux une funeste ambition par la fausse clarté de lumières menteuses; voilà quelles étaient les occupations des grandes familles nobles! voilà les devoirs qu'accomplissait, en chrétien, vers l'année 1658, M. le marquis de Salignac de la Motte de Fénélon. » Mais Mais ce n'est là qu'une perte pour l'art et pour les artistes, tandis que la transformation des habitudes de la province exerce, par malheur, une influence directe sur la morale et sur le bonheur d'une partie du pays. Où trouver maintenant, par exemple, les grandes familles qui vivaient, dans leurs terres, exerçaient une sorte de royauté bienfaisante sur tout ce qui les entourait, et préféraient une existence pieuse et utile, loin de Paris, à l'éclat et aux plaisirs qui les attendaient à la cour. Protéger les vassaux et les fermiers, les aider dans les années de mauvaise récolte, soigner leurs pères et leurs femmes malades, faire donner aux enfants une instruction élémentaire qui les instruisait de ce que l'on doit à Dieu et aux hommes, qui n'allumait pas en eux une funeste ambition par la fausse clarté de lumières menteuses; voilà quelles étaient les occupations des grandes familles nobles! voilà les devoirs qu'accomplissait, en chrétien, vers l'année 1658, M. le marquis de Salignac de la Motte de Fénélon. » Mais Mais ce n'est là qu'une perte pour l'art et pour les artistes, tandis que la transformation des habitudes de la province exerce, par malheur, une influence directe sur la morale et sur le bonheur d'une partie du pays. Où trouver maintenant, par exemple, les grandes familles qui vivaient, dans leurs terres, exerçaient une sorte de royauté bienfaisante sur tout ce qui les entourait, et préféraient une existence pieuse et utile, loin de Paris, à l'éclat et aux plaisirs qui les attendaient à la cour. Protéger les vassaux et les fermiers, les aider dans les années de mauvaise récolte, soigner leurs pères et leurs femmes malades, faire donner aux enfants une instruction élémentaire qui les instruisait de ce que l'on doit à Dieu et aux hommes, qui n'allumait pas en eux une funeste ambition par la fausse clarté de lumières menteuses; voilà quelles étaient les occupations des grandes familles nobles! voilà les devoirs qu'accomplissait, en chrétien, vers l'année 1658, M. le marquis de Salignac de la Motte de Fénélon. » Mais Mais ce n'est là qu'une perte pour l'art et pour les artistes, tandis que la transformation des habitudes de la province exerce, par malheur, une influence directe sur la morale et sur le bonheur d'une partie du pays. Où trouver maintenant, par exemple, les grandes familles qui vivaient, dans leurs terres, exerçaient une sorte de royauté bienfaisante sur tout ce qui les entourait, et préféraient une existence pieuse et utile, loin de Paris, à l'éclat et aux plaisirs qui les attendaient à la cour. Protéger les vassaux et les fermiers, les aider dans les années de mauvaise récolte, soigner leurs pères et leurs femmes malades, faire donner aux enfants une instruction élémentaire qui les instruisait de ce que l'on doit à Dieu et aux hommes, qui n'allumait pas en eux une funeste ambition par la fausse clarté de lumières menteuses; voilà quelles étaient les occupations des grandes familles nobles! voilà les devoirs qu'accomplissait, en chrétien, vers l'année 1658, M. le marquis de Salignac de la Motte de Fénélon. » Mais Mais ce n'est là qu'une perte pour l'art et pour les artistes, tandis que la transformation des habitudes de la province exerce, par malheur, une influence directe sur la morale et sur le bonheur d'une partie du pays. Où trouver maintenant, par exemple, les grandes familles qui vivaient, dans leurs terres, exerçaient une sorte de royauté bienfaisante sur tout ce qui les entourait, et préféraient une existence pieuse et utile, loin de Paris, à l'éclat et aux plaisirs qui les attendaient à la cour. Protéger les vassaux et les fermiers, les aider dans les années de mauvaise récolte, soigner leurs pères et leurs femmes malades, faire donner aux enfants une instruction élémentaire qui les instruisait de ce que l'on doit à Dieu et aux hommes, qui n'allumait pas en eux une funeste ambition par la fausse clarté de lumières menteuses; voilà quelles étaient les occupations des grandes familles nobles! voilà les devoirs qu'accomplissait, en chrétien, vers l'année 1658, M. le marquis de Salignac de la Motte de Fénélon. » Mais Mais ce n'est là qu'une perte pour l'art et pour les artistes, tandis que la transformation des habitudes de la province exerce, par malheur, une influence directe sur la morale et sur le bonheur d'une partie du pays. Où trouver maintenant, par exemple, les grandes familles qui vivaient, dans leurs terres, exerçaient une sorte de royauté bienfaisante sur tout ce qui les entourait, et préféraient une existence pieuse et utile, loin de Paris, à l'éclat et aux plaisirs qui les attendaient à la cour. Protéger les vassaux et les fermiers, les aider dans les années de mauvaise récolte, soigner leurs pères et leurs femmes malades, faire donner aux enfants une instruction élémentaire qui les instruisait de ce que l'on doit à Dieu et aux hommes, qui n'allumait pas en eux une funeste ambition par la fausse clarté de lumières menteuses; voilà quelles étaient les occupations des grandes familles nobles! voilà les devoirs qu'accomplissait, en chrétien, vers l'année 1658, M. le marquis de Salignac de la Motte de Fénélon. » Mais Mais ce n'est là qu'une perte pour l'art et pour les artistes, tandis que la transformation des habitudes de la province exerce, par malheur, une influence directe sur la morale et sur le bonheur d'une partie du pays. Où trouver maintenant, par exemple, les grandes familles qui vivaient, dans leurs terres, exerçaient une sorte de royauté bienfaisante sur tout ce qui les entourait, et préféraient une existence pieuse et utile, loin de Paris, à l'éclat et aux plaisirs qui les attendaient à la cour. Protéger les vassaux et les fermiers, les aider dans les années de mauvaise récolte, soigner leurs pères et leurs femmes malades, faire donner aux enfants une instruction élémentaire qui les instruisait de ce que l'on doit à Dieu et aux hommes, qui n'allumait pas en eux une funeste ambition par la fausse clarté de lumières menteuses; voilà quelles étaient les occupations des grandes familles nobles! voilà les devoirs qu'accomplissait, en chrétien, vers l'année 1658, M. le marquis de Salignac de la Motte de Fénélon. » Mais

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« Le temps, les progrès de l'industrie et la facilité des rapports, effacent, chaque jour, le peu de physionomie particulière qu'il reste encore à la vie de province. Bientôt, cette grande et noble figure disparaîtra tout-à-fait, sous un aspect banal pour toute la France. Il en sera des habitudes provinciales comme des costumes dont l'originalité pittoresque devient de plus en plus rare, et qui cède la place, même dans les villages les plus reculés, à nos habits mesquins, sans grâce et sans dignité.

Mais ce n'est là qu'une perte pour l'art et pour les artistes, tandis que la transformation des habitudes de la province exerce, par malheur, une influence directe sur la morale et sur le bonheur d'une partie du pays. Où trouver maintenant, par exemple, les grandes familles qui vivaient, dans leurs terres, exerçaient une sorte de royauté bienfaisante sur tout ce qui les entourait, et préféraient une existence pieuse et utile, loin de Paris, à l'éclat et aux plaisirs qui les attendaient à la cour. Protéger les vassaux et les fermiers, les aider dans les années de mauvaise récolte, soigner leurs pères et leurs femmes malades, faire donner aux enfants une instruction élémentaire qui les instruisait de ce que l'on doit à Dieu et aux hommes, qui n'allumait pas en eux une funeste ambition par la fausse clarté de lumières menteuses; voilà quelles étaient les occupations des grandes familles nobles! voilà les devoirs qu'accomplissait, en chrétien, vers l'année 1658, M. le marquis de Salignac de la Motte de Fénélon. » Mais Mais ce n'est là qu'une perte pour l'art et pour les artistes, tandis que la transformation des habitudes de la province exerce, par malheur, une influence directe sur la morale et sur le bonheur d'une partie du pays. Où trouver maintenant, par exemple, les grandes familles qui vivaient, dans leurs terres, exerçaient une sorte de royauté bienfaisante sur tout ce qui les entourait, et préféraient une existence pieuse et utile, loin de Paris, à l'éclat et aux plaisirs qui les attendaient à la cour. Protéger les vassaux et les fermiers, les aider dans les années de mauvaise récolte, soigner leurs pères et leurs femmes malades, faire donner aux enfants une instruction élémentaire qui les instruisait de ce que l'on doit à Dieu et aux hommes, qui n'allumait pas en eux une funeste ambition par la fausse clarté de lumières menteuses; voilà quelles étaient les occupations des grandes familles nobles! voilà les devoirs qu'accomplissait, en chrétien, vers l'année 1658, M. le marquis de Salignac de la Motte de Fénélon. » Mais Mais ce n'est là qu'une perte pour l'art et pour les artistes, tandis que la transformation des habitudes de la province exerce, par malheur, une influence directe sur la morale et sur le bonheur d'une partie du pays. Où trouver maintenant, par exemple, les grandes familles qui vivaient, dans leurs terres, exerçaient une sorte de royauté bienfaisante sur tout ce qui les entourait, et préféraient une existence pieuse et utile, loin de Paris, à l'éclat et aux plaisirs qui les attendaient à la cour. Protéger les vassaux et les fermiers, les aider dans les années de mauvaise récolte, soigner leurs pères et leurs femmes malades, faire donner aux enfants une instruction élémentaire qui les instruisait de ce que l'on doit à Dieu et aux hommes, qui n'allumait pas en eux une funeste ambition par la fausse clarté de lumières menteuses; voilà quelles étaient les occupations des grandes familles nobles! voilà les devoirs qu'accomplissait, en chrétien, vers l'année 1658, M. le marquis de Salignac de la Motte de Fénélon. » Mais Mais ce n'est là qu'une perte pour l'art et pour les artistes, tandis que la transformation des habitudes de la province exerce, par malheur, une influence directe sur la morale et sur le bonheur d'une partie du pays. Où trouver maintenant, par exemple, les grandes familles qui vivaient, dans leurs terres, exerçaient une sorte de royauté bienfaisante sur tout ce qui les entourait, et préféraient une existence pieuse et utile, loin de Paris, à l'éclat et aux plaisirs qui les attendaient à la cour. Protéger les vassaux et les fermiers, les aider dans les années de mauvaise récolte, soigner leurs pères et leurs femmes malades, faire donner aux enfants une instruction élémentaire qui les instruisait de ce que l'on doit à Dieu et aux hommes, qui n'allumait pas en eux une funeste ambition par la fausse clarté de lumières menteuses; voilà quelles étaient les occupations des grandes familles nobles! voilà les devoirs qu'accomplissait, en chrétien, vers l'année 1658, M. le marquis de Salignac de la Motte de Fénélon. » Mais Mais ce n'est là qu'une perte pour l'art et pour les artistes, tandis que la transformation des habitudes de la province exerce, par malheur, une influence directe sur la morale et sur le bonheur d'une partie du pays. 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Où trouver maintenant, par exemple, les grandes familles qui vivaient, dans leurs terres, exerçaient une sorte de royauté bienfaisante sur tout ce qui les entourait, et préféraient une existence pieuse et utile, loin de Paris, à l'éclat et aux plaisirs qui les attendaient à la cour. Protéger les vassaux et les fermiers, les aider dans les années de mauvaise récolte, soigner leurs pères et leurs femmes malades, faire donner aux enfants une instruction élémentaire qui les instruisait de ce que l'on doit à Dieu et aux hommes, qui n'allumait pas en eux une funeste ambition par la fausse clarté de lumières menteuses; voilà quelles étaient les occupations des grandes familles nobles! voilà les devoirs qu'accomplissait, en chrétien, vers l'année 1658, M. le marquis de Salignac de la Motte de Fénélon. » Mais

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