Author: | Leonid Andreïev | ISBN: | 1230003306208 |
Publisher: | La Revue” (1905) 1903 - 1913 | Publication: | July 3, 2019 |
Imprint: | Language: | French |
Author: | Leonid Andreïev |
ISBN: | 1230003306208 |
Publisher: | La Revue” (1905) 1903 - 1913 |
Publication: | July 3, 2019 |
Imprint: | |
Language: | French |
Le Rire rouge ... Le Rire rouge (Krasnyj Smekh, 1904) est une protestation pacifiste contre les atrocités de la guerre russo-japonaise.
Résumé: C’Etait
Léonid Andreïev (1871-1919), célèbre en Russie jusqu’en 1909, a connu ensuite le déclin et l’oubli. Son indéfinissable mélancolie, due à la hantise de la mort, a été soulignée par Baudelaire et ses nouvelles ont inspiré le cinéaste Ingmar Bergman…
C’était… se passe dans une chambre d’hôpital occupée par un marchand, un étudiant et un vieux diacre.
« Toute ma vie, il l’a racontée. Comme quoi j’ai été chantre, et n’ai pas mangé à ma faim. De ma femme aussi, il en a parlé ! Tout cela était si affreux ! si affreux ! On aurait dit que j’étais mort, et qu’on parlait sur mon cercueil ! C’était, qu’on disait, c’était un diacre. […] »
Résumé: La victoire des ténèbres
Le chaste héros de La Victoire des ténèbres, révolutionnaire-terroriste, recherché par la police, se réfugie et passe la nuit dans une maison close. Il y choisit Liouba, jeune prostituée boudeuse avec laquelle il passe sa première nuit d’amour ; elle le provoque par ses mots violents mais justes ainsi que par son attitude d’adolescente dont le métier sordide révèle la tragédie sociale. À cette époque (1907), le terrorisme russe était synonyme de sacrifice, de liberté, d’action désespérée dont la cause était entièrement dévouée au peuple.
Résumé: À la fenêtre
André Nicolaiévitch enleva un pot placé sur le rebord de la fenêtre et contenant un pied de géranium desséché, puis il se mit à regarder ce qui se passait dans la rue. Pendant la nuit et toute la matinée, une fine pluie d’automne était tombée ; les petites maisons de bois im-prégnées d’humidité se dressaient, grises et tristes. Des arbres isolés pliaient sous le vent.
Résumé: Le mur
Le Mur, fable symbolique, fait frissonner : un mur inébranlable se dresse avec cruauté devant des lépreux et des affamés se pressant à ses pieds et leur interdit l’accès à une vie heureuse. Ils représentent l’humanité dans sa lutte pour le bonheur et la liberté.
Résumé: Dans le sous-sol
La même atmosphère que dans C’était… Comme cet écrivain a dû souffrir d’être habité sans cesse par la hantise de la mort ! Seul un petit rayon de soleil, incarné par un bébé, illumine ce récit…
Le Rire rouge ... Le Rire rouge (Krasnyj Smekh, 1904) est une protestation pacifiste contre les atrocités de la guerre russo-japonaise.
Résumé: C’Etait
Léonid Andreïev (1871-1919), célèbre en Russie jusqu’en 1909, a connu ensuite le déclin et l’oubli. Son indéfinissable mélancolie, due à la hantise de la mort, a été soulignée par Baudelaire et ses nouvelles ont inspiré le cinéaste Ingmar Bergman…
C’était… se passe dans une chambre d’hôpital occupée par un marchand, un étudiant et un vieux diacre.
« Toute ma vie, il l’a racontée. Comme quoi j’ai été chantre, et n’ai pas mangé à ma faim. De ma femme aussi, il en a parlé ! Tout cela était si affreux ! si affreux ! On aurait dit que j’étais mort, et qu’on parlait sur mon cercueil ! C’était, qu’on disait, c’était un diacre. […] »
Résumé: La victoire des ténèbres
Le chaste héros de La Victoire des ténèbres, révolutionnaire-terroriste, recherché par la police, se réfugie et passe la nuit dans une maison close. Il y choisit Liouba, jeune prostituée boudeuse avec laquelle il passe sa première nuit d’amour ; elle le provoque par ses mots violents mais justes ainsi que par son attitude d’adolescente dont le métier sordide révèle la tragédie sociale. À cette époque (1907), le terrorisme russe était synonyme de sacrifice, de liberté, d’action désespérée dont la cause était entièrement dévouée au peuple.
Résumé: À la fenêtre
André Nicolaiévitch enleva un pot placé sur le rebord de la fenêtre et contenant un pied de géranium desséché, puis il se mit à regarder ce qui se passait dans la rue. Pendant la nuit et toute la matinée, une fine pluie d’automne était tombée ; les petites maisons de bois im-prégnées d’humidité se dressaient, grises et tristes. Des arbres isolés pliaient sous le vent.
Résumé: Le mur
Le Mur, fable symbolique, fait frissonner : un mur inébranlable se dresse avec cruauté devant des lépreux et des affamés se pressant à ses pieds et leur interdit l’accès à une vie heureuse. Ils représentent l’humanité dans sa lutte pour le bonheur et la liberté.
Résumé: Dans le sous-sol
La même atmosphère que dans C’était… Comme cet écrivain a dû souffrir d’être habité sans cesse par la hantise de la mort ! Seul un petit rayon de soleil, incarné par un bébé, illumine ce récit…