Author: | Jean Luc Goubet | ISBN: | 1230000145342 |
Publisher: | Jean Luc Goubet | Publication: | June 16, 2013 |
Imprint: | Language: | French |
Author: | Jean Luc Goubet |
ISBN: | 1230000145342 |
Publisher: | Jean Luc Goubet |
Publication: | June 16, 2013 |
Imprint: | |
Language: | French |
Léon Goubet, né à la Verpillière ( Isère), simple fils d’ouvrier, avait une passion : le corps humain.
Les difficiles conditions de vie engendrées par le tumulte de la seconde guerre mondiale ainsi que la pauvreté de la campagne où il grandit, ne lui permirent pas d’entamer des études de médecine.
Poussé à la fois par ses rêves d’enfant et une curiosité hors du commun, très jeune, il décida apprendre de par lui-même ce qu’il ne pouvait étudier sur le banc d’une école. Il observait, les gens, les choses et il observait surtout son corps qui, pour lui, allait devenir son « laboratoire ».
De santé fragile, la douleur était son pire ennemi. Pratiquement encore un enfant, au détour d’une conversation, il entendit parler de prouesses extraordinaires que certains hommes, là-bas, dans le lointain Orient, étaient capables de réaliser avec leur corps : Des fakirs. Ces êtres merveilleux ne craignaient ni la douleur, ni la mort. Était-ce vraiment une réalité ou un simple conte des mille et unes nuits ?
C’est ce que peu à peu, à force de courage, témérité et surtout une force de volonté hors du commun Léon allait découvrir et devenir ainsi, probablement, le plus grand fakir de ce siècle :
Le fakir BEN-GHOU-BEY
Voici le secret d’un fakir
Léon Goubet, né à la Verpillière ( Isère), simple fils d’ouvrier, avait une passion : le corps humain.
Les difficiles conditions de vie engendrées par le tumulte de la seconde guerre mondiale ainsi que la pauvreté de la campagne où il grandit, ne lui permirent pas d’entamer des études de médecine.
Poussé à la fois par ses rêves d’enfant et une curiosité hors du commun, très jeune, il décida apprendre de par lui-même ce qu’il ne pouvait étudier sur le banc d’une école. Il observait, les gens, les choses et il observait surtout son corps qui, pour lui, allait devenir son « laboratoire ».
De santé fragile, la douleur était son pire ennemi. Pratiquement encore un enfant, au détour d’une conversation, il entendit parler de prouesses extraordinaires que certains hommes, là-bas, dans le lointain Orient, étaient capables de réaliser avec leur corps : Des fakirs. Ces êtres merveilleux ne craignaient ni la douleur, ni la mort. Était-ce vraiment une réalité ou un simple conte des mille et unes nuits ?
C’est ce que peu à peu, à force de courage, témérité et surtout une force de volonté hors du commun Léon allait découvrir et devenir ainsi, probablement, le plus grand fakir de ce siècle :
Le fakir BEN-GHOU-BEY
Voici le secret d’un fakir