Author: | Jean Féron | ISBN: | 1230001496130 |
Publisher: | SCBJ Diffusion | Publication: | January 6, 2017 |
Imprint: | Language: | French |
Author: | Jean Féron |
ISBN: | 1230001496130 |
Publisher: | SCBJ Diffusion |
Publication: | January 6, 2017 |
Imprint: | |
Language: | French |
Description : Nous retrouvons ici les aventures des personnages de "La besace d'amour" et de "La besace de haine" évoluant durant un évènement historique. Les deux gredins, Pertuluis et Regaudin, n'ont peur de rien pour tenter de soutirer de l'argent à Jean Vaucourt. Extrait : "Et avec tous ces dévouements, ces sacrifices, ces abnégations, la Nouvelle-France réussirait-elle à écarter le danger affreux qui la menaçait ? C’est qu’elle n’était pas menacée uniquement du côté de sa capitale ; trois autres armées anglaises attaquaient ses frontières de l’ouest sur une ligne qui courait du lac Champlain jusqu’au Détroit. De ce côté encore on avait dû envoyer des soldats et des milices. Ah ! si l’on avait eu à faire face qu’à la flotte de Saunders et qu’à l’armée de Wolfe !… C’eût été un jeu d’enfant que de jeter la panique dans l’Armada anglaise, on aurait eu vingt mille hommes à lui opposer ! Ah ! le sait-on que les Anglais avaient, en cette terrible année 1759, mis sur pied soixante mille hommes pour envahir la colonie du roi de France ? Soixante mille hommes !… c’est donc que la conquête de la Nouvelle-France avait été définitivement résolue ! Oui, l’Angleterre avait résolu de jouer son va-tout ! Sachant que la France ne pouvait ou ne voulait envoyer de secours à sa colonie, Albion profitait de l’occasion pour saisir cette terre canadienne qui la rendrait maîtresse absolue dans l’Amérique du Nord."
Description : Nous retrouvons ici les aventures des personnages de "La besace d'amour" et de "La besace de haine" évoluant durant un évènement historique. Les deux gredins, Pertuluis et Regaudin, n'ont peur de rien pour tenter de soutirer de l'argent à Jean Vaucourt. Extrait : "Et avec tous ces dévouements, ces sacrifices, ces abnégations, la Nouvelle-France réussirait-elle à écarter le danger affreux qui la menaçait ? C’est qu’elle n’était pas menacée uniquement du côté de sa capitale ; trois autres armées anglaises attaquaient ses frontières de l’ouest sur une ligne qui courait du lac Champlain jusqu’au Détroit. De ce côté encore on avait dû envoyer des soldats et des milices. Ah ! si l’on avait eu à faire face qu’à la flotte de Saunders et qu’à l’armée de Wolfe !… C’eût été un jeu d’enfant que de jeter la panique dans l’Armada anglaise, on aurait eu vingt mille hommes à lui opposer ! Ah ! le sait-on que les Anglais avaient, en cette terrible année 1759, mis sur pied soixante mille hommes pour envahir la colonie du roi de France ? Soixante mille hommes !… c’est donc que la conquête de la Nouvelle-France avait été définitivement résolue ! Oui, l’Angleterre avait résolu de jouer son va-tout ! Sachant que la France ne pouvait ou ne voulait envoyer de secours à sa colonie, Albion profitait de l’occasion pour saisir cette terre canadienne qui la rendrait maîtresse absolue dans l’Amérique du Nord."