Author: | Oliver Goldsmith, Charles Nodier | ISBN: | 1230001335262 |
Publisher: | KKS | Publication: | September 6, 2016 |
Imprint: | Language: | French |
Author: | Oliver Goldsmith, Charles Nodier |
ISBN: | 1230001335262 |
Publisher: | KKS |
Publication: | September 6, 2016 |
Imprint: | |
Language: | French |
Notice sur Goldsmith.
Avertissement.
Chapitre Ier. Intérieur de la famille de Wakefield : air de parenté des caractères et des personnes.
Chap. II. Malheurs de famille : la perte de la fortune ne fait qu’augmenter la fierté du juste.
Chap. III. Changement d’habitation. Le bonheur de la vie dépend, en définitive, de nous-mêmes.
Chap. IV. La plus humble fortune peut donner le bonheur qui tient, non à la position, mais au caractère.
Chap. V. Une nouvelle et grande connaissance. Ce dont nous attendons le plus nous devient, généralement, le plus fatal.
Chap. VI. Le bonheur du coin du feu à la campagne.
Chap. VII. L’esprit de la ville. Le plus niais peut amuser une soirée ou deux.
Chap. VIII. Un amour qui promet peu et qui pourtant peut donner beaucoup.
Chap. IX. Deux grandes dames. Une riche toilette fait toujours supposer de bonnes manières.
Chap. X. Efforts de la famille pour aller de pair avec plus riche qu’elle. Misère du pauvre qui veut briller.
Chap. XI. La famille continue de lever la tête.
Chap. XII. La fortune semble décidée à humilier la famille de Wakefield. Des mortifications sont parfois plus pénibles que des malheurs réels.
Chap. XIII. M. Burchell était un ennemi : il a le courage de donner un avis qui déplaît.
Chap. XIV. Nouvelles tribulations : une preuve que ce qui a l’air d’un mal peut être un bien.
Chap. XV. La noirceur de M. Burchell découverte. Trop de sagesse est folie.
Chap. XVI. La famille ruse ; elle trouve plus rusé qu’elle.
Chap. XVII. La vertu ne résiste guère à une longue et douce tentation.
Chap. XVIII. Un père cherchant sa fille pour la rendre à la vertu.
Chap. XIX. Un mécontent qui craint la perte de nos libertés.
Chap. XX. Un philosophe errant qui court après la nouveauté et perd le bonheur.
Chap. XXI. Entre gens vicieux, l’amitié dure tout juste autant que le plaisir.
Chap. XXII. On pardonne aisément quand on aime.
Chap. XXIII. Il n’y a que le méchant qui puisse être longtemps et complètement malheureux.
Chap. XXIV. Nouveaux malheurs.
Chap. XXV. Pas de situation, si misérable qu’elle paraisse, qui n’offre quelque consolation.
Chap. XXVI. Réforme dans la prison. La loi, pour être complète, devrait récompenser comme elle punit.
Chap. XXVII. Même sujet.
Chap. XXVIII. Les joies et les maux d’ici-bas sont, aux yeux de Dieu, choses de peu de valeur et dont la répartition n’est pas digne de ses soins.
Chap. XXIX. Équité de la Providence dans la répartition du bonheur et de la misère. Compensation, dans l’autre vie, des souffrances de ce monde.
Chap. XXX. L’horizon s’éclaircit. Ne cédons pas ; la fortune finira par nous mieux traiter.
Chap. XXXI. Bienfait payé avec usure.
Chap. XXXII. Conclusion
Notice sur Goldsmith.
Avertissement.
Chapitre Ier. Intérieur de la famille de Wakefield : air de parenté des caractères et des personnes.
Chap. II. Malheurs de famille : la perte de la fortune ne fait qu’augmenter la fierté du juste.
Chap. III. Changement d’habitation. Le bonheur de la vie dépend, en définitive, de nous-mêmes.
Chap. IV. La plus humble fortune peut donner le bonheur qui tient, non à la position, mais au caractère.
Chap. V. Une nouvelle et grande connaissance. Ce dont nous attendons le plus nous devient, généralement, le plus fatal.
Chap. VI. Le bonheur du coin du feu à la campagne.
Chap. VII. L’esprit de la ville. Le plus niais peut amuser une soirée ou deux.
Chap. VIII. Un amour qui promet peu et qui pourtant peut donner beaucoup.
Chap. IX. Deux grandes dames. Une riche toilette fait toujours supposer de bonnes manières.
Chap. X. Efforts de la famille pour aller de pair avec plus riche qu’elle. Misère du pauvre qui veut briller.
Chap. XI. La famille continue de lever la tête.
Chap. XII. La fortune semble décidée à humilier la famille de Wakefield. Des mortifications sont parfois plus pénibles que des malheurs réels.
Chap. XIII. M. Burchell était un ennemi : il a le courage de donner un avis qui déplaît.
Chap. XIV. Nouvelles tribulations : une preuve que ce qui a l’air d’un mal peut être un bien.
Chap. XV. La noirceur de M. Burchell découverte. Trop de sagesse est folie.
Chap. XVI. La famille ruse ; elle trouve plus rusé qu’elle.
Chap. XVII. La vertu ne résiste guère à une longue et douce tentation.
Chap. XVIII. Un père cherchant sa fille pour la rendre à la vertu.
Chap. XIX. Un mécontent qui craint la perte de nos libertés.
Chap. XX. Un philosophe errant qui court après la nouveauté et perd le bonheur.
Chap. XXI. Entre gens vicieux, l’amitié dure tout juste autant que le plaisir.
Chap. XXII. On pardonne aisément quand on aime.
Chap. XXIII. Il n’y a que le méchant qui puisse être longtemps et complètement malheureux.
Chap. XXIV. Nouveaux malheurs.
Chap. XXV. Pas de situation, si misérable qu’elle paraisse, qui n’offre quelque consolation.
Chap. XXVI. Réforme dans la prison. La loi, pour être complète, devrait récompenser comme elle punit.
Chap. XXVII. Même sujet.
Chap. XXVIII. Les joies et les maux d’ici-bas sont, aux yeux de Dieu, choses de peu de valeur et dont la répartition n’est pas digne de ses soins.
Chap. XXIX. Équité de la Providence dans la répartition du bonheur et de la misère. Compensation, dans l’autre vie, des souffrances de ce monde.
Chap. XXX. L’horizon s’éclaircit. Ne cédons pas ; la fortune finira par nous mieux traiter.
Chap. XXXI. Bienfait payé avec usure.
Chap. XXXII. Conclusion