Author: | Colette (1873-1954) | ISBN: | 1230001721911 |
Publisher: | Pelletan 1922 | Publication: | June 16, 2017 |
Imprint: | Language: | French |
Author: | Colette (1873-1954) |
ISBN: | 1230001721911 |
Publisher: | Pelletan 1922 |
Publication: | June 16, 2017 |
Imprint: | |
Language: | French |
Chroniques - classique - enfance - textes solitude - jardins - chocolat - chaleur - trésor - oiseaux - critiques - écrivain femme - académie goncourt - souvenirs - amour - france - littérature française - 20ème siècle......
La pluie, la chaleur, l'absence, la fièvre sont le point de départ des textes écrits entre 1912 et 1913 regroupés sous le titre Le Voyage égoïste.
Au dimanche de pluie citadin qui ferait pleurer si on l'osait. Colette oppose ceux de son enfance, fleurant le chocolat, dans la vieille maison parée des magies de son jardin, du fenil, du chat blanc et de l'araignée qui voile de dentelle les miroirs.
Devine t -il, le compagnon de Dimanche qu'elle invite à la suivre sur « la route couleur de fer bleu » menant à son pays, quel trésor lui est donné ?
C'est l'amour encore qui résonne en écho aux proclamations agressives de Répit, éloge de la solitude où chaque mot crie le regret de l'absent. Malade et J'ai chaud sont aussi des cantilènes à l'adresse d'un compagnon auquel est faite l'offrande des choses vues, ressenties, transcrites par une plume hypersensible et prestigieuse.
Sous le titre Quatre-Saisons sont rassemblées des pages écrites en 1925. II faut garder en tête cette date pour le croire tant elles restent actuelles, ces chroniques moqueuses sur la mode ridicule « pour femmes debout », sur les dessous et les fards, les perversions du snobisme, sur les « oiseaux de garage » que sont les jeunes générations, sur les jardins prisonniers d'un Paris victime des constructeurs avides…
Chroniques - classique - enfance - textes solitude - jardins - chocolat - chaleur - trésor - oiseaux - critiques - écrivain femme - académie goncourt - souvenirs - amour - france - littérature française - 20ème siècle......
La pluie, la chaleur, l'absence, la fièvre sont le point de départ des textes écrits entre 1912 et 1913 regroupés sous le titre Le Voyage égoïste.
Au dimanche de pluie citadin qui ferait pleurer si on l'osait. Colette oppose ceux de son enfance, fleurant le chocolat, dans la vieille maison parée des magies de son jardin, du fenil, du chat blanc et de l'araignée qui voile de dentelle les miroirs.
Devine t -il, le compagnon de Dimanche qu'elle invite à la suivre sur « la route couleur de fer bleu » menant à son pays, quel trésor lui est donné ?
C'est l'amour encore qui résonne en écho aux proclamations agressives de Répit, éloge de la solitude où chaque mot crie le regret de l'absent. Malade et J'ai chaud sont aussi des cantilènes à l'adresse d'un compagnon auquel est faite l'offrande des choses vues, ressenties, transcrites par une plume hypersensible et prestigieuse.
Sous le titre Quatre-Saisons sont rassemblées des pages écrites en 1925. II faut garder en tête cette date pour le croire tant elles restent actuelles, ces chroniques moqueuses sur la mode ridicule « pour femmes debout », sur les dessous et les fards, les perversions du snobisme, sur les « oiseaux de garage » que sont les jeunes générations, sur les jardins prisonniers d'un Paris victime des constructeurs avides…