Author: | Paul d’Ivoi | ISBN: | 1230000984157 |
Publisher: | PRB | Publication: | March 8, 2016 |
Imprint: | Language: | French |
Author: | Paul d’Ivoi |
ISBN: | 1230000984157 |
Publisher: | PRB |
Publication: | March 8, 2016 |
Imprint: | |
Language: | French |
Les Cinq Sous de Lavarède, est un roman d'aventure du romancier français Paul d’Ivoi (1856 – 1915).
Ce livre numérique présente l'édition intégrale et comporte une table des matières dynamique. Il est parfaitement mise en page pour une lecture sur liseuse électronique.
Résumé :
L'histoire commence en France vers la fin du XIXe siècle. Armand Lavarède est un jeune journaliste sans le sou et harcelé par ses créanciers, dont le plus féroce est un nommé Bouvreuil. Bouvreuil vient un jour trouver Lavarède avec en main une lettre surprenante : Lavarède est l'héritier potentiel de Monsieur Richard, un riche cousin prêt à lui léguer toute sa fortune. Mais le legs comporte une condition excessivement étrange : pour obtenir l'héritage, Lavarède doit d'abord réussir à faire le tour du monde en ne partant qu'avec cinq sous en poche, le tout en moins de 100 jours ! Lavarède finit par relever le défi. Les deux arbitres du défi sont sir Murlyton et Bouvreuil, qui pourront se partager la fortune de Richard de Marseille si Lavarède échoue. Lavarède bénéficie en revanche du soutien d'une jeune femme, Aurett, la fille de sir Murlyton.
Extrait :
— Alors, votre réponse ?
— Je vous l’ai déjà dite, monsieur Bouvreuil, jamais !
— Réfléchissez encore, monsieur Lavarède.
— C’est tout réfléchi. Jamais, jamais !
— Mais vous ne comprenez donc pas que vous êtes dans ma main ; que, si vous me poussez à bout, demain je ferai vendre vos meubles, et vous serez sans abri, sans asile.
— Vous pouvez même ajouter : sans argent…
— Tandis que, si vous consentez, c’est un beau mariage, la fortune, l’indépendance…
— Et vous croyez que je m’estimerais à mes propres yeux si je devenais le gendre de M. Bouvreuil, ancien agent d’affaires véreuses, ancien indicateur de la police…
— Un pauvre diable de journaliste comme vous êtes, doit être très honoré de devenir le gendre d’un gros propriétaire, d’un riche financier… Sans compter que ma fille Pénélope vous aime, et que je lui donne deux cent mille francs de dot, plus de fort belles espérances…
— Mademoiselle votre fille est hors de cause, monsieur ; ce n’est pas le mariage qui me répugne, ni, la demoiselle que je refuse, c’est le beau-père.
— Savez-vous que vous n’êtes pas poli, monsieur Lavarède ?
— Savez-vous que je m’en moque absolument, monsieur Bouvreuil ?
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Les Cinq Sous de Lavarède, est un roman d'aventure du romancier français Paul d’Ivoi (1856 – 1915).
Ce livre numérique présente l'édition intégrale et comporte une table des matières dynamique. Il est parfaitement mise en page pour une lecture sur liseuse électronique.
Résumé :
L'histoire commence en France vers la fin du XIXe siècle. Armand Lavarède est un jeune journaliste sans le sou et harcelé par ses créanciers, dont le plus féroce est un nommé Bouvreuil. Bouvreuil vient un jour trouver Lavarède avec en main une lettre surprenante : Lavarède est l'héritier potentiel de Monsieur Richard, un riche cousin prêt à lui léguer toute sa fortune. Mais le legs comporte une condition excessivement étrange : pour obtenir l'héritage, Lavarède doit d'abord réussir à faire le tour du monde en ne partant qu'avec cinq sous en poche, le tout en moins de 100 jours ! Lavarède finit par relever le défi. Les deux arbitres du défi sont sir Murlyton et Bouvreuil, qui pourront se partager la fortune de Richard de Marseille si Lavarède échoue. Lavarède bénéficie en revanche du soutien d'une jeune femme, Aurett, la fille de sir Murlyton.
Extrait :
— Alors, votre réponse ?
— Je vous l’ai déjà dite, monsieur Bouvreuil, jamais !
— Réfléchissez encore, monsieur Lavarède.
— C’est tout réfléchi. Jamais, jamais !
— Mais vous ne comprenez donc pas que vous êtes dans ma main ; que, si vous me poussez à bout, demain je ferai vendre vos meubles, et vous serez sans abri, sans asile.
— Vous pouvez même ajouter : sans argent…
— Tandis que, si vous consentez, c’est un beau mariage, la fortune, l’indépendance…
— Et vous croyez que je m’estimerais à mes propres yeux si je devenais le gendre de M. Bouvreuil, ancien agent d’affaires véreuses, ancien indicateur de la police…
— Un pauvre diable de journaliste comme vous êtes, doit être très honoré de devenir le gendre d’un gros propriétaire, d’un riche financier… Sans compter que ma fille Pénélope vous aime, et que je lui donne deux cent mille francs de dot, plus de fort belles espérances…
— Mademoiselle votre fille est hors de cause, monsieur ; ce n’est pas le mariage qui me répugne, ni, la demoiselle que je refuse, c’est le beau-père.
— Savez-vous que vous n’êtes pas poli, monsieur Lavarède ?
— Savez-vous que je m’en moque absolument, monsieur Bouvreuil ?
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