Author: | Paul D'Ivoi, Henri Chabrillat | ISBN: | 1230000278718 |
Publisher: | NA | Publication: | November 7, 2014 |
Imprint: | Language: | French |
Author: | Paul D'Ivoi, Henri Chabrillat |
ISBN: | 1230000278718 |
Publisher: | NA |
Publication: | November 7, 2014 |
Imprint: | |
Language: | French |
Les Cinq Sous de Lavarède est un roman d'aventure français co-écrit par Paul d'Ivoi et Henri Chabrillat et paru en 1894. Le roman fut le premier à faire largement connaître Paul d'Ivoi. Il est aussi le premier roman d'une série d'aventures intitulée Voyages excentriques, dans la lignée des Voyages extraordinaires de Jules Verne qui paraissent à la même période.
Extrait: Armand Lavarède naquit à Paris, d’un père méridional et d’une mère bretonne. Il participait des deux races, empruntant à l’une son entrain primesautier, à l’autre son calme réfléchi. De plus, Parisien, il reçut ce don propre aux enfants de Lutèce, l’esprit débrouillard et gouailleur, aussi difficile à étonner qu’à effrayer.
Orphelin d’assez bonne heure, il fut élevé par son oncle Richard qui, s’il paya toutes les leçons et tous les maîtres nécessaires, ne s’occupa guère d’éduquer aussi le caractère de son neveu.
Il avait bien trop à faire, le pauvre homme, avec son propre fils, Jean Richard, cousin d’Armand Lavarède par conséquent. Celui-là avait le tempérament tout à fait contraire. Autant Armand était bien portant, joyeux et prodigue, autant Jean était maladif, triste et économe.
Jean était un peu plus âgé qu’Armand.
Les Cinq Sous de Lavarède est un roman d'aventure français co-écrit par Paul d'Ivoi et Henri Chabrillat et paru en 1894. Le roman fut le premier à faire largement connaître Paul d'Ivoi. Il est aussi le premier roman d'une série d'aventures intitulée Voyages excentriques, dans la lignée des Voyages extraordinaires de Jules Verne qui paraissent à la même période.
Extrait: Armand Lavarède naquit à Paris, d’un père méridional et d’une mère bretonne. Il participait des deux races, empruntant à l’une son entrain primesautier, à l’autre son calme réfléchi. De plus, Parisien, il reçut ce don propre aux enfants de Lutèce, l’esprit débrouillard et gouailleur, aussi difficile à étonner qu’à effrayer.
Orphelin d’assez bonne heure, il fut élevé par son oncle Richard qui, s’il paya toutes les leçons et tous les maîtres nécessaires, ne s’occupa guère d’éduquer aussi le caractère de son neveu.
Il avait bien trop à faire, le pauvre homme, avec son propre fils, Jean Richard, cousin d’Armand Lavarède par conséquent. Celui-là avait le tempérament tout à fait contraire. Autant Armand était bien portant, joyeux et prodigue, autant Jean était maladif, triste et économe.
Jean était un peu plus âgé qu’Armand.