Les Industrialisations du tiers-monde
Nonfiction, Social & Cultural Studies, Political Science, Business & Finance
| Author: | Claude Courlet | ISBN: | 9782402007535 |
| Publisher: | FeniXX réédition numérique | Publication: | January 1, 1990 |
| Imprint: | FeniXX réédition numérique (Syros) | Language: | French |
| Author: | Claude Courlet |
| ISBN: | 9782402007535 |
| Publisher: | FeniXX réédition numérique |
| Publication: | January 1, 1990 |
| Imprint: | FeniXX réédition numérique (Syros) |
| Language: | French |
L’économie mondiale est en plein bouleversement. On ne peut plus parler comme avant ni d’Est-Ouest, ni de Nord-Sud. Dans ce contexte de mutations profondes, on voit émerger de véritables économies industrielles provoquant ainsi un éclatement du tiers monde. Il n’y a plus de tiers monde, mais des tiers mondes. Cette différenciation entre pays en développement n’est pas le simple résultat mécanique de ces grandes transformations globales. Elle provient d’un décalage entre les pays qui ont basé leur industrialisation sur les ressources humaines, les enracinements socioculturels et la formation intensive - privilégiant ainsi une logique de « création » et de développement par évolution - et les pays qui ont voulu jouer sur l’abondance des ressources naturelles - privilégiant ainsi une logique d’« exploitation » de rentes de situation et de technologies externes.
L’économie mondiale est en plein bouleversement. On ne peut plus parler comme avant ni d’Est-Ouest, ni de Nord-Sud. Dans ce contexte de mutations profondes, on voit émerger de véritables économies industrielles provoquant ainsi un éclatement du tiers monde. Il n’y a plus de tiers monde, mais des tiers mondes. Cette différenciation entre pays en développement n’est pas le simple résultat mécanique de ces grandes transformations globales. Elle provient d’un décalage entre les pays qui ont basé leur industrialisation sur les ressources humaines, les enracinements socioculturels et la formation intensive - privilégiant ainsi une logique de « création » et de développement par évolution - et les pays qui ont voulu jouer sur l’abondance des ressources naturelles - privilégiant ainsi une logique d’« exploitation » de rentes de situation et de technologies externes.
