Les Peaux-Rouges de Paris

Fiction & Literature, Literary Theory & Criticism, French, European
Cover of the book Les Peaux-Rouges de Paris by Gustave Aimard, KKS
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Author: Gustave Aimard ISBN: 1230001587098
Publisher: KKS Publication: March 10, 2017
Imprint: Language: French
Author: Gustave Aimard
ISBN: 1230001587098
Publisher: KKS
Publication: March 10, 2017
Imprint:
Language: French

PREMIÈRE PARTIE: LE TRANSPORTÉ
I. — De quelle étrange façon le lecteur fait connaissance avec les principaux personnage de cette véridique histoire
II. — Où il est prouvé que c’est souvent un tort de pousser trop loin une vengeance
III. — Comment le beau Felitz Oyandi perdit deux fois la partie qu’il s’était vanté de gagner
IV. — De quelle façon la marquise de Garmandia rentra dans son hôtel, grâce au docteur d’Hirigoyen
V. — Du conseil que le docteur donna à la marquise et ce qu’il advint
VI. — Suite et complément du précédent chapitre
VII. — Comment il fut prouvé que le marquis de Garmandia avait tué sa femme, et pourquoi il ne fut pas arrêté
VIII. — Où l’on voit le père guérir les blessures faites par le fils, et ce qui s’ensuivit
IX. — Dans lequel le docteur reconnaît qu’il a eu tort de vouloir marier son fils à sa guise
X. — Dans lequel il est prouvé qu’il ne faut jamais compter sur l’avenir
XI. — Dans lequel l’auteur démontre clairement qu’il est très dangereux de voyager pour ses affaires particulières quand un gouvernement éprouve le besoin de faire un coup d’état
XII. — Comment Julian et son ami quittèrent la Bellone sans prendre congé

DEUXIÈME PARTIE: LES FAUVES DES SAVANES
I. — Ce que c’était que l’hôtel de la Providence et maître Laframboise, son propriétaire
II. — Comment Cœur-Sombre et le Mayor se trouvèrent en présence et de ce qu’il advint
III. — Dans lequel Felitz Oyandi joue une partie décisive et la perd
IV. — Comment Armand de Valenfleurs partit en chasse avec son chien Dardar, et quelle découverte il fit dans la savane, au pied d’un rocher
V. — Comment Armand présenta sa dernière trouvaille à sa mère et ce qui s’ensuivit
VI. — Où Charbonneau, le chasseur canadien, se dessine
VII. — Comment le Mayor fut, une seconde fois, fait échec et mat non seulement par ses alliés, mais encore par ses ennemis
VIII. — Où la nuit se fait de plus en plus épaisse autour de la gentille protégée de la comtesse de Valenfleurs
IX. — Comment le Cœur-Sombre résolut tout à coup de pousser une pointe dans le désert, afin de ne pas accompagner plus longtemps la comtesse
X. — Où le Cœur-Sombre trouve à l’improviste le prétexte qu’il cherchait pour retourner au plus vite à la Florida
XI. — Dans lequel le Mayor et Felitz Oyandi causent de leurs petites affaires
XII. — Dans lequel bien des choses intéressantes sont racontées, qui sont indispensables pour l’intelligence de cette véridique histoire
XIII. — De la grande joie qu’éprouvent quatre de nos principaux personnages, grâce à la comtesse de Valenfleurs

Tome II
XIV. — D’un conseil de guerre qui fut tenu à la Florida et comment il se termina
XV. — Dans lequel il est prouvé qu’en Amérique on peut apprendre bien des choses et faire de singulières rencontres, quand on se promène dans un jardin avant le lever du soleil
XVI. — Comment le docteur d’Hérigoyen et Bernard Zumeta revinrent à l’hacienda, et ce qui s’ensuivit
XVII. — Où il est prouvé que les réceptions se suivent, mais ne se ressemblent pas
XVIII. — Ce qui se passa dans le brûlis de la Hulotte bleue à propos de Sébastian
XIX. — Comment Navaja fit son rapport au Mayor, et ce qui s’ensuivit
XX. — Dans lequel le Mayor tombe de fièvre en chaud mal
XXI. — Comment Navaja soupa avec Sebastian qu’il avait tué, et lui sauva la vie
XXII. — De quels singuliers divertissements sont parfois accompagnés les mariages sur la frontière Indienne
XXIII. — Comment le Mayor perdit sa partie et Navaja gagna la sienne ; ce qui prouve une fois de plus que le malheur des uns fait le bonheur des autres
XXIV. — Comment, sur le point d’arriver à Hermosillo, madame la comtesse de Valenfleurs croisa, sans s’en douter, son plus terrible ennemi
XXV. — Comment Julian et ses amis s’embarquèrent sur la Belle-Adèle, et comment se fit la traversée

TROISIÈME PARTIE: LES MORTS-VIVANTS
I. — Comme quoi, sans quitter Paris, on peut visiter la Cour de Rome
II. — Qui était en réalité ce bon M. Romieux
III. — Dans lequel reparaissent plusieurs de nos anciens personnages
IV. — Comment Armand de Valenfleurs et Vanda s’expliquèrent et ce qui s’ensuivit
V. — Dans lequel Julian commence ses opérations
VI. — Dans lequel le Mayor ne veut croire ni aux sorciers ni aux miracles
VII. — Où les affaires se compliquent de plus en plus pour Felitz Oyandi et son ami le Mayor
VIII. — De l’étrange visite que reçut la comtesse de Valenfleurs et comment elle se termina

Tome III
IX. — Comment le comte Armand de Valenfleurs se trouva mêlé, à l’improviste, à des évènements forts graves
X. — Comment, après avoir fait un excellent souper chez Brébant, le Mayor, M. Romieux et leur ami le vicomte de Carlhias éprouvèrent le besoin de faire une promenade à la campagne
XI. — Ce qui se passa dans la maison des voleurs et de quelle façon généreuse le Mayor et son ami s’acquittèrent envers leurs fidèles associés, et ce qui s’ensuivit
XII. — Dans lequel reparaissent deux de nos personnages fort peu sympathiques, mais qui ont cependant une certaine importance et que nous ne pouvions négliger plus longtemps
XIII. — Comment après avoir été très désagréablement surpris avant son dîner, Bernard apprit une douloureuse nouvelle au dessert
XIV. — Dans lequel notre ami Bernard Zumeta se décide à prendre la responsabilité
XV. — Où l’on voit reparaître un personnage dont on n’a pas parlé depuis très longtemps, mais que peut-être le lecteur n’aura pas oublié
XVI. — Comment M. Pascal Bonhomme, ancien chef de la brigade de sûreté, se trouva seul de son avis, et refusa de donner sa langue aux chiens
XVII. — Dans lequel ont voit réunie chez la Marlouze une fort jolie collection de coquins, appartenant à l’armée roulante parisienne
XVIII. — Où il est prouvé que le Loupeur est un bandit complètement dénué de délicatesse, et que le policier a eu tort d’accuser miss Lucy Gordon
XIX. — Où le lecteur assiste aux premiers tâtonnements de la piste de guerre dans la forêt parisienne et aux ébahissements d’un célèbre policier, complètement dérouté par l’emploi de procédés à lui inconnus
XX. — Dans lequel le lecteur est rassuré sur le sort de Fil-en-Quatre, et assiste à une conversation entre coquins, très intéressante
XXI. — Comment le Loupeur reçut une visite à laquelle il ne s’attendait pas, et de quelle façon il quitta son domicile
XXII. — Pourquoi Williams Fillmore, Alias Navaja, fit une visite à M. Julian d’Hérigoyen, et ce qui s’ensuivit
XXIII. — Dans lequel deux fantômes se retrouvent à l’improviste en présence et ce qui en advient
XXIV. — Comment les coureurs des bois atteignirent enfin le bout de leur double piste, et comment Felitz Oyandi eut une discussion orageuse avec Dardar, et ce qui s’ensuivit
XXV. — Comme quoi le sanglier, forcé dans sa bauge, fit tête à la meute, et fut enfin réduit aux abois

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PREMIÈRE PARTIE: LE TRANSPORTÉ
I. — De quelle étrange façon le lecteur fait connaissance avec les principaux personnage de cette véridique histoire
II. — Où il est prouvé que c’est souvent un tort de pousser trop loin une vengeance
III. — Comment le beau Felitz Oyandi perdit deux fois la partie qu’il s’était vanté de gagner
IV. — De quelle façon la marquise de Garmandia rentra dans son hôtel, grâce au docteur d’Hirigoyen
V. — Du conseil que le docteur donna à la marquise et ce qu’il advint
VI. — Suite et complément du précédent chapitre
VII. — Comment il fut prouvé que le marquis de Garmandia avait tué sa femme, et pourquoi il ne fut pas arrêté
VIII. — Où l’on voit le père guérir les blessures faites par le fils, et ce qui s’ensuivit
IX. — Dans lequel le docteur reconnaît qu’il a eu tort de vouloir marier son fils à sa guise
X. — Dans lequel il est prouvé qu’il ne faut jamais compter sur l’avenir
XI. — Dans lequel l’auteur démontre clairement qu’il est très dangereux de voyager pour ses affaires particulières quand un gouvernement éprouve le besoin de faire un coup d’état
XII. — Comment Julian et son ami quittèrent la Bellone sans prendre congé

DEUXIÈME PARTIE: LES FAUVES DES SAVANES
I. — Ce que c’était que l’hôtel de la Providence et maître Laframboise, son propriétaire
II. — Comment Cœur-Sombre et le Mayor se trouvèrent en présence et de ce qu’il advint
III. — Dans lequel Felitz Oyandi joue une partie décisive et la perd
IV. — Comment Armand de Valenfleurs partit en chasse avec son chien Dardar, et quelle découverte il fit dans la savane, au pied d’un rocher
V. — Comment Armand présenta sa dernière trouvaille à sa mère et ce qui s’ensuivit
VI. — Où Charbonneau, le chasseur canadien, se dessine
VII. — Comment le Mayor fut, une seconde fois, fait échec et mat non seulement par ses alliés, mais encore par ses ennemis
VIII. — Où la nuit se fait de plus en plus épaisse autour de la gentille protégée de la comtesse de Valenfleurs
IX. — Comment le Cœur-Sombre résolut tout à coup de pousser une pointe dans le désert, afin de ne pas accompagner plus longtemps la comtesse
X. — Où le Cœur-Sombre trouve à l’improviste le prétexte qu’il cherchait pour retourner au plus vite à la Florida
XI. — Dans lequel le Mayor et Felitz Oyandi causent de leurs petites affaires
XII. — Dans lequel bien des choses intéressantes sont racontées, qui sont indispensables pour l’intelligence de cette véridique histoire
XIII. — De la grande joie qu’éprouvent quatre de nos principaux personnages, grâce à la comtesse de Valenfleurs

Tome II
XIV. — D’un conseil de guerre qui fut tenu à la Florida et comment il se termina
XV. — Dans lequel il est prouvé qu’en Amérique on peut apprendre bien des choses et faire de singulières rencontres, quand on se promène dans un jardin avant le lever du soleil
XVI. — Comment le docteur d’Hérigoyen et Bernard Zumeta revinrent à l’hacienda, et ce qui s’ensuivit
XVII. — Où il est prouvé que les réceptions se suivent, mais ne se ressemblent pas
XVIII. — Ce qui se passa dans le brûlis de la Hulotte bleue à propos de Sébastian
XIX. — Comment Navaja fit son rapport au Mayor, et ce qui s’ensuivit
XX. — Dans lequel le Mayor tombe de fièvre en chaud mal
XXI. — Comment Navaja soupa avec Sebastian qu’il avait tué, et lui sauva la vie
XXII. — De quels singuliers divertissements sont parfois accompagnés les mariages sur la frontière Indienne
XXIII. — Comment le Mayor perdit sa partie et Navaja gagna la sienne ; ce qui prouve une fois de plus que le malheur des uns fait le bonheur des autres
XXIV. — Comment, sur le point d’arriver à Hermosillo, madame la comtesse de Valenfleurs croisa, sans s’en douter, son plus terrible ennemi
XXV. — Comment Julian et ses amis s’embarquèrent sur la Belle-Adèle, et comment se fit la traversée

TROISIÈME PARTIE: LES MORTS-VIVANTS
I. — Comme quoi, sans quitter Paris, on peut visiter la Cour de Rome
II. — Qui était en réalité ce bon M. Romieux
III. — Dans lequel reparaissent plusieurs de nos anciens personnages
IV. — Comment Armand de Valenfleurs et Vanda s’expliquèrent et ce qui s’ensuivit
V. — Dans lequel Julian commence ses opérations
VI. — Dans lequel le Mayor ne veut croire ni aux sorciers ni aux miracles
VII. — Où les affaires se compliquent de plus en plus pour Felitz Oyandi et son ami le Mayor
VIII. — De l’étrange visite que reçut la comtesse de Valenfleurs et comment elle se termina

Tome III
IX. — Comment le comte Armand de Valenfleurs se trouva mêlé, à l’improviste, à des évènements forts graves
X. — Comment, après avoir fait un excellent souper chez Brébant, le Mayor, M. Romieux et leur ami le vicomte de Carlhias éprouvèrent le besoin de faire une promenade à la campagne
XI. — Ce qui se passa dans la maison des voleurs et de quelle façon généreuse le Mayor et son ami s’acquittèrent envers leurs fidèles associés, et ce qui s’ensuivit
XII. — Dans lequel reparaissent deux de nos personnages fort peu sympathiques, mais qui ont cependant une certaine importance et que nous ne pouvions négliger plus longtemps
XIII. — Comment après avoir été très désagréablement surpris avant son dîner, Bernard apprit une douloureuse nouvelle au dessert
XIV. — Dans lequel notre ami Bernard Zumeta se décide à prendre la responsabilité
XV. — Où l’on voit reparaître un personnage dont on n’a pas parlé depuis très longtemps, mais que peut-être le lecteur n’aura pas oublié
XVI. — Comment M. Pascal Bonhomme, ancien chef de la brigade de sûreté, se trouva seul de son avis, et refusa de donner sa langue aux chiens
XVII. — Dans lequel ont voit réunie chez la Marlouze une fort jolie collection de coquins, appartenant à l’armée roulante parisienne
XVIII. — Où il est prouvé que le Loupeur est un bandit complètement dénué de délicatesse, et que le policier a eu tort d’accuser miss Lucy Gordon
XIX. — Où le lecteur assiste aux premiers tâtonnements de la piste de guerre dans la forêt parisienne et aux ébahissements d’un célèbre policier, complètement dérouté par l’emploi de procédés à lui inconnus
XX. — Dans lequel le lecteur est rassuré sur le sort de Fil-en-Quatre, et assiste à une conversation entre coquins, très intéressante
XXI. — Comment le Loupeur reçut une visite à laquelle il ne s’attendait pas, et de quelle façon il quitta son domicile
XXII. — Pourquoi Williams Fillmore, Alias Navaja, fit une visite à M. Julian d’Hérigoyen, et ce qui s’ensuivit
XXIII. — Dans lequel deux fantômes se retrouvent à l’improviste en présence et ce qui en advient
XXIV. — Comment les coureurs des bois atteignirent enfin le bout de leur double piste, et comment Felitz Oyandi eut une discussion orageuse avec Dardar, et ce qui s’ensuivit
XXV. — Comme quoi le sanglier, forcé dans sa bauge, fit tête à la meute, et fut enfin réduit aux abois

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