Les Trois Dames de la Kasbah
Fiction & Literature, Literary Theory & Criticism, French, Classics, Historical
| Author: | Pierre Loti | ISBN: | 1230000584371 |
| Publisher: | PRB | Publication: | July 31, 2015 |
| Imprint: | Language: | French |
| Author: | Pierre Loti |
| ISBN: | 1230000584371 |
| Publisher: | PRB |
| Publication: | July 31, 2015 |
| Imprint: | |
| Language: | French |
Les Trois Dames de la Kasbah est un roman et conte oriental de l'écrivain français Pierre Loti (1850 – 1923).
Ce livre numérique comporte une table des matières dynamique.
Il est parfaitement mise en page pour une lecture sur liseuse électronique.
Extrait :
Il était une fois trois dames qui demeuraient à Alger, dans la Kasbah.
Et ces trois dames s’appelaient Kadidja, Fatmah et Fizah. — Kadidja était la mère ; Fatmah et Fizah étaient les deux filles.
Et ces trois dames s’ennuyaient beaucoup, parce que, tant que durait le jour, elles n’avaient rien à faire. — Quand elles avaient fini de peindre leur visage de blanc et de rose, et leurs grands yeux de noir et de henneh, elles restaient assises par terre, dans une petite cour très profonde, où régnaient un silence mystérieux et une fraîcheur souterraine.
Autour de cette cour, une colonnade de marbre blanc soutenait des ogives mauresques ornées de faïences bleues, et, tout en haut, cette construction antique s’ouvrait en carré sur le ciel...
Les Trois Dames de la Kasbah est un roman et conte oriental de l'écrivain français Pierre Loti (1850 – 1923).
Ce livre numérique comporte une table des matières dynamique.
Il est parfaitement mise en page pour une lecture sur liseuse électronique.
Extrait :
Il était une fois trois dames qui demeuraient à Alger, dans la Kasbah.
Et ces trois dames s’appelaient Kadidja, Fatmah et Fizah. — Kadidja était la mère ; Fatmah et Fizah étaient les deux filles.
Et ces trois dames s’ennuyaient beaucoup, parce que, tant que durait le jour, elles n’avaient rien à faire. — Quand elles avaient fini de peindre leur visage de blanc et de rose, et leurs grands yeux de noir et de henneh, elles restaient assises par terre, dans une petite cour très profonde, où régnaient un silence mystérieux et une fraîcheur souterraine.
Autour de cette cour, une colonnade de marbre blanc soutenait des ogives mauresques ornées de faïences bleues, et, tout en haut, cette construction antique s’ouvrait en carré sur le ciel...
