Un conte pour évoquer l'histoire de la société argentine.
Chiche est différent, souffre d’un léger retard mental. Dans le centre pour handicapés où il est interné, il développe cependant un don : celui d’entendre et de communiquer avec des voix.
Quelles sont-elles ? Que nous racontent-elles ? Que nous disent-elles de l’histoire récente de l’Argentine ?
Pablo Melicchio mêle la tragédie personnelle d’un personnage marqué par la violence et la violence qui traverse la société argentine.
Découvrez ce roman profondément humain à l’écriture tantôt empreinte de naïveté, tantôt poétique et cruelle.
EXTRAIT
D’entre les ténèbres surgit l’image d’Alicia. Une main géante qui l’arrache au repos pour le traîner dans l’histoire. Une voix grave qui lui crie « assassin ». Alicia, c’est l’album des souvenirs avec ses photos qu’on est obligé de voir, comme des flashs d’actualités, rappelant à Roberto ce qu’il veut oublier. La lutte est vaine ; les souvenirs sont de puissantes progénitures qui se détachent de la mémoire pour grandir et défendre ce territoire qu’on aimerait mieux oublier.
Le repos de l’assassin est impossible, comme la résurrection.
CE QU'EN PENSE LA CRITIQUE
Un très joli roman qui tient du conte et de la parabole, porteur d'espoir dans un contexte qui en n'est guère pourvu. - Ellane, Babelio
À PROPOS DE L'AUTEUR
Pablo Melicchio (1969) est écrivain et psychologue. Remarqué dès la publication de son premier roman Letra en la sombra (2008), il est aussi l’auteur de Crónica de los hombres que buscan un lugar (2011), texte issu de travail mené au sein de l’atelier d’écriture de réflexion destiné aux personnes vivant dans la rue qu’il anime depuis plusieurs années.
Il est par ailleurs l’auteur de notes, contes et récits publiés dans différents journaux et revues argentins.
Un conte pour évoquer l'histoire de la société argentine.
Chiche est différent, souffre d’un léger retard mental. Dans le centre pour handicapés où il est interné, il développe cependant un don : celui d’entendre et de communiquer avec des voix.
Quelles sont-elles ? Que nous racontent-elles ? Que nous disent-elles de l’histoire récente de l’Argentine ?
Pablo Melicchio mêle la tragédie personnelle d’un personnage marqué par la violence et la violence qui traverse la société argentine.
Découvrez ce roman profondément humain à l’écriture tantôt empreinte de naïveté, tantôt poétique et cruelle.
EXTRAIT
D’entre les ténèbres surgit l’image d’Alicia. Une main géante qui l’arrache au repos pour le traîner dans l’histoire. Une voix grave qui lui crie « assassin ». Alicia, c’est l’album des souvenirs avec ses photos qu’on est obligé de voir, comme des flashs d’actualités, rappelant à Roberto ce qu’il veut oublier. La lutte est vaine ; les souvenirs sont de puissantes progénitures qui se détachent de la mémoire pour grandir et défendre ce territoire qu’on aimerait mieux oublier.
Le repos de l’assassin est impossible, comme la résurrection.
CE QU'EN PENSE LA CRITIQUE
Un très joli roman qui tient du conte et de la parabole, porteur d'espoir dans un contexte qui en n'est guère pourvu. - Ellane, Babelio
À PROPOS DE L'AUTEUR
Pablo Melicchio (1969) est écrivain et psychologue. Remarqué dès la publication de son premier roman Letra en la sombra (2008), il est aussi l’auteur de Crónica de los hombres que buscan un lugar (2011), texte issu de travail mené au sein de l’atelier d’écriture de réflexion destiné aux personnes vivant dans la rue qu’il anime depuis plusieurs années.
Il est par ailleurs l’auteur de notes, contes et récits publiés dans différents journaux et revues argentins.