Author: | Alexandra Feodorovna, J.W. Bienstock | ISBN: | 1230002466583 |
Publisher: | FB Editions | Publication: | August 7, 2018 |
Imprint: | FB Editions | Language: | French |
Author: | Alexandra Feodorovna, J.W. Bienstock |
ISBN: | 1230002466583 |
Publisher: | FB Editions |
Publication: | August 7, 2018 |
Imprint: | FB Editions |
Language: | French |
Après le meurtre de la famille impériale à Ekatérinenbourg, en juillet 1918, on recueillit, entre autres objets lui ayant appartenu, un coffret de bois noir, aux initiales N. A. (Nicolas Alexandrovitch). Ce coffret contenait des lettres de Guillaume II à Nicolas II, publiées il y a quelques années, et les lettres (quatre cents) que l’impératrice Alexandre Feodorovna lui écrivit du 26 avril 1914, au 4 mars 1917.
On pourrait s’étonner, au premier abord, de cette quantité énorme de lettres écrites par l’Impératrice, à son mari, en moins de trois ans, alors que dans les vingt années précédentes la correspondance du couple impérial est presque nulle, C’est que Nicolas Il se séparait très rarement de l’Impératrice, tandis que, pendant la guerre, il y fut contraint la plupart du temps, et alors Alexandra Feodorovna lui écrivait presque chaque jour, ou, à défaut de lettres, lui adressait de nombreux télégrammes.
Après le meurtre de la famille impériale à Ekatérinenbourg, en juillet 1918, on recueillit, entre autres objets lui ayant appartenu, un coffret de bois noir, aux initiales N. A. (Nicolas Alexandrovitch). Ce coffret contenait des lettres de Guillaume II à Nicolas II, publiées il y a quelques années, et les lettres (quatre cents) que l’impératrice Alexandre Feodorovna lui écrivit du 26 avril 1914, au 4 mars 1917.
On pourrait s’étonner, au premier abord, de cette quantité énorme de lettres écrites par l’Impératrice, à son mari, en moins de trois ans, alors que dans les vingt années précédentes la correspondance du couple impérial est presque nulle, C’est que Nicolas Il se séparait très rarement de l’Impératrice, tandis que, pendant la guerre, il y fut contraint la plupart du temps, et alors Alexandra Feodorovna lui écrivait presque chaque jour, ou, à défaut de lettres, lui adressait de nombreux télégrammes.