Témoignage de l'histoire sociale africaine
Mémoire d’une colline est une fenêtre ouverte sur la savane africaine d’où l’on observe les migrations des populations à l’intérieur de l’Afrique…
C’est aussi le monologue d’une vieille dame solitaire qui déambule au milieu de la savane. Elle raconte son histoire, le parcours des réfugiés, l’imposture de la guerre au Cabinda, une guerre sans issue dans laquelle s’est enfermé son fils, guérilléro du FLEC.
Virginie Mouanda Kibinde dépeint un tableau saisissant des conséquences de la guerre méconnue de sa région d'origine, le Cabinda. Un ouvrage saisissant !
EXTRAIT
Dans ma case, j’ai reçu un grand nombre de personnes fuyant la guerre, en route pour l’exil, en route pour nulle part.
Au début, ils arrivaient par petits groupes. Plus tard, ils sont venus par vagues de dizaines voire de centaines d’hommes, de femmes et d’enfants. Où vont-ils, et d’où partent-ils ?
Des créatures frêles et fugitives. Anonymes et affamées. Je leur ouvre la porte de ma case, elles mangent, se désaltèrent, puis poursuivent leur route. D’autres s’arrêtent pour se reconstruire une vie.
CE QU’EN PENSE LA CRITIQUE
[Virginie Mouanda] se révèle une fois de plus dans un témoignage intime raconté parfois avec humour sur une réalité tragique. On y découvre l’empreinte de la conteuse. Un récit bouleversant… - François Durpaire, historien
À PROPOS DE L’AUTEUR
Romancière et conteuse, Virginie Mouanda est originaire du Congo et du Cabinda. De sa terre natale, elle a gardé l’art de la narration, que ce soit oralement ou par écrit. Son dernier ouvrage, Façon Aphrodite, un recueil de nouvelles, est paru en 2016 chez le même éditeur.
Témoignage de l'histoire sociale africaine
Mémoire d’une colline est une fenêtre ouverte sur la savane africaine d’où l’on observe les migrations des populations à l’intérieur de l’Afrique…
C’est aussi le monologue d’une vieille dame solitaire qui déambule au milieu de la savane. Elle raconte son histoire, le parcours des réfugiés, l’imposture de la guerre au Cabinda, une guerre sans issue dans laquelle s’est enfermé son fils, guérilléro du FLEC.
Virginie Mouanda Kibinde dépeint un tableau saisissant des conséquences de la guerre méconnue de sa région d'origine, le Cabinda. Un ouvrage saisissant !
EXTRAIT
Dans ma case, j’ai reçu un grand nombre de personnes fuyant la guerre, en route pour l’exil, en route pour nulle part.
Au début, ils arrivaient par petits groupes. Plus tard, ils sont venus par vagues de dizaines voire de centaines d’hommes, de femmes et d’enfants. Où vont-ils, et d’où partent-ils ?
Des créatures frêles et fugitives. Anonymes et affamées. Je leur ouvre la porte de ma case, elles mangent, se désaltèrent, puis poursuivent leur route. D’autres s’arrêtent pour se reconstruire une vie.
CE QU’EN PENSE LA CRITIQUE
[Virginie Mouanda] se révèle une fois de plus dans un témoignage intime raconté parfois avec humour sur une réalité tragique. On y découvre l’empreinte de la conteuse. Un récit bouleversant… - François Durpaire, historien
À PROPOS DE L’AUTEUR
Romancière et conteuse, Virginie Mouanda est originaire du Congo et du Cabinda. De sa terre natale, elle a gardé l’art de la narration, que ce soit oralement ou par écrit. Son dernier ouvrage, Façon Aphrodite, un recueil de nouvelles, est paru en 2016 chez le même éditeur.