Les souvenirs d’une époque.
La Mission archéologique permanente de l’Indochine installée à Saigon, fondée en décembre 1898, a été rebaptisée École française d’Extrême-Orient le 20 janvier 1900. Son siège est alors transféré à Hanoi. Très rapidement, les premiers chercheurs – archéologues, architectes, épigraphistes, historiens, philologues – ont ressenti le besoin de compléter les notes et les croquis par la photographie. Dès le début du XXe siècle, ces images exceptionnelles, rassemblées aujourd’hui dans les photothèques de Paris et de Pondichéry, ont constitué d’abord un formidable outil de travail, proposé ici comme le témoignage d’une époque.
Chef-d'œuvres photographiques.
EXTRAIT
Tout était à faire, depuis le déchiffrement de la jungle jusqu'aux savantes épigraphies, depuis le travail du terrassier jusqu'aux patientes recherches de bibliothécaire. Car il fallait en ces temps désormais historiques, jouer à la fois le rôle de l’explorateur au sein d’une nature à la terrible exubérance et celui de l’archéologue, capable d’identifier les vestiges retrouvés ou de lire les inscriptions lapidaires bientôt recueillies par centaines. (René Grousset)
Les souvenirs d’une époque.
La Mission archéologique permanente de l’Indochine installée à Saigon, fondée en décembre 1898, a été rebaptisée École française d’Extrême-Orient le 20 janvier 1900. Son siège est alors transféré à Hanoi. Très rapidement, les premiers chercheurs – archéologues, architectes, épigraphistes, historiens, philologues – ont ressenti le besoin de compléter les notes et les croquis par la photographie. Dès le début du XXe siècle, ces images exceptionnelles, rassemblées aujourd’hui dans les photothèques de Paris et de Pondichéry, ont constitué d’abord un formidable outil de travail, proposé ici comme le témoignage d’une époque.
Chef-d'œuvres photographiques.
EXTRAIT
Tout était à faire, depuis le déchiffrement de la jungle jusqu'aux savantes épigraphies, depuis le travail du terrassier jusqu'aux patientes recherches de bibliothécaire. Car il fallait en ces temps désormais historiques, jouer à la fois le rôle de l’explorateur au sein d’une nature à la terrible exubérance et celui de l’archéologue, capable d’identifier les vestiges retrouvés ou de lire les inscriptions lapidaires bientôt recueillies par centaines. (René Grousset)