Author: | Imbert de Saint-Amand | ISBN: | 9791092188486 |
Publisher: | Frédérique Patat | Publication: | July 11, 2013 |
Imprint: | Language: | French |
Author: | Imbert de Saint-Amand |
ISBN: | 9791092188486 |
Publisher: | Frédérique Patat |
Publication: | July 11, 2013 |
Imprint: | |
Language: | French |
Marguerite d’Angoulême, reine de Navarre, surnommée la Perle des Valois, est la sœur de François Ier. Plus qu’une sœur, elle fut l’amie, la confidente, la conseillère. Elle adoucit sa nature fougueuse, elle lui donna le goût des lettres et des arts, elle développa en lui des sentiments religieux qui devinrent sincères, et firent que le roi, dont la vie avait été si dissolue, se repentit et mourut comme un bon chrétien. Elle était prête à se sacrifier pour lui, allant jusqu’en Espagne pour tenter une négociation avec Charles-Quint qui retenait son frère prisonnier. Elle lui vouait un tel culte que ses détracteurs n’ont pas hésité à soupçonner que ses rapports avec son frère étaient de nature incestueuse…
D’une grande vertu, Marguerite emploie une grande partie de la journée aux bonnes œuvres. Elle va visiter les malades et les indigents, les console par des exhortations chrétiennes, et, après les avoir quittés, leur envoie secrètement de l'argent et des secours.
Animée d’un sentiment littéraire, elle est non seulement la protectrice éclairée, le Mécène féminin des lettrés, des savants, des artistes, mais également un écrivain remarquable qui, par ses vers comme par sa prose, mérite une place d'honneur dans la littérature du XVIe siècle.
Marguerite d’Angoulême, reine de Navarre, surnommée la Perle des Valois, est la sœur de François Ier. Plus qu’une sœur, elle fut l’amie, la confidente, la conseillère. Elle adoucit sa nature fougueuse, elle lui donna le goût des lettres et des arts, elle développa en lui des sentiments religieux qui devinrent sincères, et firent que le roi, dont la vie avait été si dissolue, se repentit et mourut comme un bon chrétien. Elle était prête à se sacrifier pour lui, allant jusqu’en Espagne pour tenter une négociation avec Charles-Quint qui retenait son frère prisonnier. Elle lui vouait un tel culte que ses détracteurs n’ont pas hésité à soupçonner que ses rapports avec son frère étaient de nature incestueuse…
D’une grande vertu, Marguerite emploie une grande partie de la journée aux bonnes œuvres. Elle va visiter les malades et les indigents, les console par des exhortations chrétiennes, et, après les avoir quittés, leur envoie secrètement de l'argent et des secours.
Animée d’un sentiment littéraire, elle est non seulement la protectrice éclairée, le Mécène féminin des lettrés, des savants, des artistes, mais également un écrivain remarquable qui, par ses vers comme par sa prose, mérite une place d'honneur dans la littérature du XVIe siècle.