Author: | Edgar Allan Poe | ISBN: | 9782824706610 |
Publisher: | Bibebook | Publication: | June 9, 2015 |
Imprint: | Bibebook | Language: | French |
Author: | Edgar Allan Poe |
ISBN: | 9782824706610 |
Publisher: | Bibebook |
Publication: | June 9, 2015 |
Imprint: | Bibebook |
Language: | French |
Metzengerstein, sous-titré dès la seconde édition « un conte imité de l'allemand » (en anglais, Metzengerstein. A Tale in Imitation of the German) est la première nouvelle de l'écrivain américain Edgar Allan Poe à être publiée. Elle se déroule en Hongrie dans une ambiance gothique et sur fond de haine entre deux familles. Le jeune baron Metzengerstein s'empare d'un cheval de son rival après un incendie, puis la bête cause sa perte. Cette nouvelle est parue le 14 janvier 1832 dans le Philadelphia Saturday Courier, dans le cadre d'un concours. Extrait : dire qu’à l’époque dont je parle existait dans le centre de la Hongrie une croyance secrète, mais bien établie, aux doctrines de la métempsycose. De ces doctrines elles-mêmes, de leur fausseté ou de leur probabilité, – je ne dirai rien. J’affirme, toutefois, qu’une bonne partie de notre crédulité vient, – comme dit La Bruyère, qui attribue tout notre malheur à cette cause unique – de ne pouvoir être seuls[1]. Mais il y avait quelques points dans la superstition hongroise qui tendaient fortement à l’absurde.
Metzengerstein, sous-titré dès la seconde édition « un conte imité de l'allemand » (en anglais, Metzengerstein. A Tale in Imitation of the German) est la première nouvelle de l'écrivain américain Edgar Allan Poe à être publiée. Elle se déroule en Hongrie dans une ambiance gothique et sur fond de haine entre deux familles. Le jeune baron Metzengerstein s'empare d'un cheval de son rival après un incendie, puis la bête cause sa perte. Cette nouvelle est parue le 14 janvier 1832 dans le Philadelphia Saturday Courier, dans le cadre d'un concours. Extrait : dire qu’à l’époque dont je parle existait dans le centre de la Hongrie une croyance secrète, mais bien établie, aux doctrines de la métempsycose. De ces doctrines elles-mêmes, de leur fausseté ou de leur probabilité, – je ne dirai rien. J’affirme, toutefois, qu’une bonne partie de notre crédulité vient, – comme dit La Bruyère, qui attribue tout notre malheur à cette cause unique – de ne pouvoir être seuls[1]. Mais il y avait quelques points dans la superstition hongroise qui tendaient fortement à l’absurde.