Author: | Jean SÉVILLIA | ISBN: | 9782262038779 |
Publisher: | Place des éditeurs | Publication: | May 30, 2013 |
Imprint: | Tempus Perrin | Language: | French |
Author: | Jean SÉVILLIA |
ISBN: | 9782262038779 |
Publisher: | Place des éditeurs |
Publication: | May 30, 2013 |
Imprint: | Tempus Perrin |
Language: | French |
Les bouleversements survenus dans les années 1960-1980 ont profondément modifié les mentalités. Les principes de la morale traditionnelle ont laissé la place au "moralement correct", les valeurs communes aux intérêts individuels. Se pose alors la question : peut-on encore vivre ensemble ?
Tous les Français, naguère, étaient élevés selon des valeurs identiques. Il existait une France de gauche et une France de droite, une France laïque et une France chrétienne, mais la morale de l'instituteur ressemblait à celle du curé.
A partir des années 1970, sous l'effet d'une double révolution - celle de la société et celle des idées -, chacun a pris l'habitude de définir ses propres critères du bien et du mal. Le résultat, aujourd'hui, c'est que les règles collectives s'effacent, ouvrant la porte à une société éclatée, où le seul guide est l'intérêt personnel. Une tendance encouragée par le moralement correct qui prêche le principe de plaisir, le droit à la différence, le devoir de tolérance, la transgression des traditions, la relativité des conventions.
Mais peut-on vivre sans valeurs partagées ? Pour sortir de la crise qui se manifeste des banlieues à l'école, de l'Etat à la famille, du travail à la culture, il faudra bien réinventer des codes communs.
Jean Sévillia est l'auteur de biographies et d'essais historiques plébiscités par les lecteurs : Zita impératrice courage, Le Terrorisme intellectuel, Historiquement correct, Quand les catholiques étaient hors la loi*.*
"Règne du tout-à-l'égo, déclin de la famille, glorification de la technique, déliquescence de la foi : en un demi-siècle, la société française a changé de visage. Jean Sévillia [..] est un des rares essayistes français à analyser le phénomène en profondeur, à le mettre en perspective historique et politique et à tenter de le dépasser."
Le Figaro Magazine
"Enfin un sociologue au chevet de la société !"
La Manche Libre
Les bouleversements survenus dans les années 1960-1980 ont profondément modifié les mentalités. Les principes de la morale traditionnelle ont laissé la place au "moralement correct", les valeurs communes aux intérêts individuels. Se pose alors la question : peut-on encore vivre ensemble ?
Tous les Français, naguère, étaient élevés selon des valeurs identiques. Il existait une France de gauche et une France de droite, une France laïque et une France chrétienne, mais la morale de l'instituteur ressemblait à celle du curé.
A partir des années 1970, sous l'effet d'une double révolution - celle de la société et celle des idées -, chacun a pris l'habitude de définir ses propres critères du bien et du mal. Le résultat, aujourd'hui, c'est que les règles collectives s'effacent, ouvrant la porte à une société éclatée, où le seul guide est l'intérêt personnel. Une tendance encouragée par le moralement correct qui prêche le principe de plaisir, le droit à la différence, le devoir de tolérance, la transgression des traditions, la relativité des conventions.
Mais peut-on vivre sans valeurs partagées ? Pour sortir de la crise qui se manifeste des banlieues à l'école, de l'Etat à la famille, du travail à la culture, il faudra bien réinventer des codes communs.
Jean Sévillia est l'auteur de biographies et d'essais historiques plébiscités par les lecteurs : Zita impératrice courage, Le Terrorisme intellectuel, Historiquement correct, Quand les catholiques étaient hors la loi*.*
"Règne du tout-à-l'égo, déclin de la famille, glorification de la technique, déliquescence de la foi : en un demi-siècle, la société française a changé de visage. Jean Sévillia [..] est un des rares essayistes français à analyser le phénomène en profondeur, à le mettre en perspective historique et politique et à tenter de le dépasser."
Le Figaro Magazine
"Enfin un sociologue au chevet de la société !"
La Manche Libre