La journaliste et blogueuse Lise Ravary est tombée amoureuse du judaïsme au point de vouloir se convertir. Élevée dans la religion catholique, éduquée en grande partie par les religieuses, elle a cessé de croire à l'adolescence. Comment était-il alors possible qu'elle ressente l'appel de cette foi millénaire et étrangère ? Cette foi qui refuse plus de candidats à la conversion qu'elle n'en accepte. Comment se faisait-il qu'elle se sente chez elle au pied du mur des Lamentations, à Jérusalem ? Et surtout, pourquoi ça, pourquoi elle et pourquoi à ce moment-là ? Ce récit raconte les cinq années que Lise Ravary a passées au sein de deux communautés hassidiques de Montréal, dans les années 1990. Ce sont des Juifs ultra-orthodoxes de Montréal qui l'ont éduquée. Elle a été reçue, bichonnée, nourrie, admirée par des hommes et des femmes hassidiques, principalement de la communauté Loubavitch. Ses deux filles, qui n'avaient nullement l'intention de se convertir, ont elles aussi été accueillies à bras ouverts dans ces maisons aux portes closes. L'auteure déborde inévitablement sur sa vie mouvementée précédant cette période afin de donner un sens à cette rencontre déterminante et aux années pendant lesquelles elle a été pratiquante. Les hassidim connaissent beaucoup plus de choses sur notre monde que nous sur le leur. Truffé d'anecdotes et dans un style propre à l'auteure, ce livre tente de rétablir l'équilibre.
La journaliste et blogueuse Lise Ravary est tombée amoureuse du judaïsme au point de vouloir se convertir. Élevée dans la religion catholique, éduquée en grande partie par les religieuses, elle a cessé de croire à l'adolescence. Comment était-il alors possible qu'elle ressente l'appel de cette foi millénaire et étrangère ? Cette foi qui refuse plus de candidats à la conversion qu'elle n'en accepte. Comment se faisait-il qu'elle se sente chez elle au pied du mur des Lamentations, à Jérusalem ? Et surtout, pourquoi ça, pourquoi elle et pourquoi à ce moment-là ? Ce récit raconte les cinq années que Lise Ravary a passées au sein de deux communautés hassidiques de Montréal, dans les années 1990. Ce sont des Juifs ultra-orthodoxes de Montréal qui l'ont éduquée. Elle a été reçue, bichonnée, nourrie, admirée par des hommes et des femmes hassidiques, principalement de la communauté Loubavitch. Ses deux filles, qui n'avaient nullement l'intention de se convertir, ont elles aussi été accueillies à bras ouverts dans ces maisons aux portes closes. L'auteure déborde inévitablement sur sa vie mouvementée précédant cette période afin de donner un sens à cette rencontre déterminante et aux années pendant lesquelles elle a été pratiquante. Les hassidim connaissent beaucoup plus de choses sur notre monde que nous sur le leur. Truffé d'anecdotes et dans un style propre à l'auteure, ce livre tente de rétablir l'équilibre.