Author: | Mihail Sebastian | ISBN: | 9782851975737 |
Publisher: | Editions de L'Herne | Publication: | May 3, 2011 |
Imprint: | Smashwords Edition | Language: | French |
Author: | Mihail Sebastian |
ISBN: | 9782851975737 |
Publisher: | Editions de L'Herne |
Publication: | May 3, 2011 |
Imprint: | Smashwords Edition |
Language: | French |
Mieux qu’un livre d’images ou de photographies le livre de Mihail Sebastian brosse un portrait de la France des années 1930. Sebastian fait surgir la permanence de la ville Lumière, par la description tour à tour passionnée, lucide, attendrie et ironique de ses écrivains, de ses peintres, de ses galeries, de ses ruelles, de la cité universitaire ou du Quartier latin…
L’évocation d’un trajet dans le métro devient sous sa plume une véritable expédition ethnographique ou le thème d’une rêverie espiègle : « Les amours se nouent aisément dans le métro. Pourquoi ? Deux sourires, deux mots échangés se prolongeront dehors, dans la rue, jusqu’à l’amitié, jusqu’à l’amour. Les brèves, les simples, les pathétiques amours parisiennes ! Elles ont un goût d’éternité, et elles durent si peu ! »
D’une frappante modernité – on retiendra sa réflexion à propos de la colonisation alors qu’il visite l’Exposition coloniale de 1931-, son récit n’est en rien entamé par la fracture du temps, son regard sur la France, sur les Alpes, résonne comme une belle confidence.
Mieux qu’un livre d’images ou de photographies le livre de Mihail Sebastian brosse un portrait de la France des années 1930. Sebastian fait surgir la permanence de la ville Lumière, par la description tour à tour passionnée, lucide, attendrie et ironique de ses écrivains, de ses peintres, de ses galeries, de ses ruelles, de la cité universitaire ou du Quartier latin…
L’évocation d’un trajet dans le métro devient sous sa plume une véritable expédition ethnographique ou le thème d’une rêverie espiègle : « Les amours se nouent aisément dans le métro. Pourquoi ? Deux sourires, deux mots échangés se prolongeront dehors, dans la rue, jusqu’à l’amitié, jusqu’à l’amour. Les brèves, les simples, les pathétiques amours parisiennes ! Elles ont un goût d’éternité, et elles durent si peu ! »
D’une frappante modernité – on retiendra sa réflexion à propos de la colonisation alors qu’il visite l’Exposition coloniale de 1931-, son récit n’est en rien entamé par la fracture du temps, son regard sur la France, sur les Alpes, résonne comme une belle confidence.