Des mots dans le sac des années, en bruits de casseroles. Jean-Marc Buttin ouvre l’infini grimoire du temps, pour y trouver peut-être les recettes de la sauce baba, ou bien la grandeur des appétits. Il croit savoir que les hommes aiment les pommes, eux qui n’ont pas la maîtrise du feu nucléaire, lumière noire de l’impossible. Jean-Marc Buttin nous offre une poésie du réel, telle une planète au cœur de la nuit, une odeur de vase et d’encens pour poète au feu de l’ennui posant l’éternelle question, sublime désarroi des nuits de pleine Lune : quelle heure est-il, pour mourir à dix huit ans ?
Des mots dans le sac des années, en bruits de casseroles. Jean-Marc Buttin ouvre l’infini grimoire du temps, pour y trouver peut-être les recettes de la sauce baba, ou bien la grandeur des appétits. Il croit savoir que les hommes aiment les pommes, eux qui n’ont pas la maîtrise du feu nucléaire, lumière noire de l’impossible. Jean-Marc Buttin nous offre une poésie du réel, telle une planète au cœur de la nuit, une odeur de vase et d’encens pour poète au feu de l’ennui posant l’éternelle question, sublime désarroi des nuits de pleine Lune : quelle heure est-il, pour mourir à dix huit ans ?