Un programme complet d'actions à mettre en place pour une meilleure société
Retour sur Utopia est un essai qui a pour but la prise de conscience et la sensibilisation à une thèse : la fatalité n’est due qu’à notre indifférence et notre déficit d’implication dans tous les grands domaines de notre société.
L’écologie, la consommation, les OGM, les infrastructures débordantes, l’immigration subie mais organisée par l’État, les délocalisations, la dette, la conciliation impossible de la démographie et l’économie…
L’auteur propose plusieurs étapes pour remédier à ces situations, qui sont développées sous la forme du programme suivant : la mise en place de la Société Civile, la mutation du capitalisme vers quelques nationalisations et la gestion par les départements de quelques secteurs économiques, la protection des agriculteurs, la protection des animaux, la protection de la nature, le travail obligatoire, la justice égalitariste, la recherche du bonheur.
Un essai de sensibilisation sur le fonctionnement de la société actuelle et les changements à envisager.
EXTRAIT
La machine ne doit pas remplacer l’homme (d’autant plus que les valeurs créées par les machines et les logiciels ne sont pas distribuées), c’est l’homme qui doit exécuter le travail fait par la machine et de ce fait tendre vers l’occupation des humains, permettant ainsi leur intégration dans la grande chaîne sociale tout en s’éloignant des processus de pollution ; en ne produisant plus de machines, nous économiserons en prime, l’énergie qu’elles doivent utiliser pour fonctionner ; ça ne sert à rien de produire des machines pendant que des millions d’individus grossissent le camp des chômeurs, des détenteurs du RSA et se sentent à la fois marginalisés et désocialisés.
Par exemple, les robots chargés de cueillir les choux-fleurs en Bretagne seront remplacés par des mains humaines ; d’une façon générale, les robots utilisés en particulier dans l’agriculture, seront remisés et les tâches qu’ils exécutaient seront effectuées par les humains.
À PROPOS DE L'AUTEUR
Originaire du Cantal, Jean-Claude Michel a passé son enfance entre la capitale où ses parents étaient venus s’installer et le monde agricole. Ce parcours est sans doute à l’origine de ses propos sur le monde des agriculteurs et de ses difficultés, mêlés à ses observations de la ville. Issu de la génération des Trente Glorieuses, il a fait carrière dans la métallurgie, en terminant par la création d’une PME rattachée au négoce de produits en acier inoxydable, qu’il a gérée pendant neuf ans.
Vivant à Orléans depuis une trentaine d’années et retraité depuis cinq ans, c’est un joueur d’échecs assidu.
Il avait commencé depuis quelques années à réunir ses impressions et ses ressentis sur le fonctionnement de la société humaine, qu’il estimait chaotique, et c’est le livre de Thomas More (L’Utopie) qui lui a donné l’envie de traduire ses notes et ses observations, sous la forme du livre qu’il propose, un essai de sensibilisation destiné à ce peuple de France qu’il aime particulièrement.
Un programme complet d'actions à mettre en place pour une meilleure société
Retour sur Utopia est un essai qui a pour but la prise de conscience et la sensibilisation à une thèse : la fatalité n’est due qu’à notre indifférence et notre déficit d’implication dans tous les grands domaines de notre société.
L’écologie, la consommation, les OGM, les infrastructures débordantes, l’immigration subie mais organisée par l’État, les délocalisations, la dette, la conciliation impossible de la démographie et l’économie…
L’auteur propose plusieurs étapes pour remédier à ces situations, qui sont développées sous la forme du programme suivant : la mise en place de la Société Civile, la mutation du capitalisme vers quelques nationalisations et la gestion par les départements de quelques secteurs économiques, la protection des agriculteurs, la protection des animaux, la protection de la nature, le travail obligatoire, la justice égalitariste, la recherche du bonheur.
Un essai de sensibilisation sur le fonctionnement de la société actuelle et les changements à envisager.
EXTRAIT
La machine ne doit pas remplacer l’homme (d’autant plus que les valeurs créées par les machines et les logiciels ne sont pas distribuées), c’est l’homme qui doit exécuter le travail fait par la machine et de ce fait tendre vers l’occupation des humains, permettant ainsi leur intégration dans la grande chaîne sociale tout en s’éloignant des processus de pollution ; en ne produisant plus de machines, nous économiserons en prime, l’énergie qu’elles doivent utiliser pour fonctionner ; ça ne sert à rien de produire des machines pendant que des millions d’individus grossissent le camp des chômeurs, des détenteurs du RSA et se sentent à la fois marginalisés et désocialisés.
Par exemple, les robots chargés de cueillir les choux-fleurs en Bretagne seront remplacés par des mains humaines ; d’une façon générale, les robots utilisés en particulier dans l’agriculture, seront remisés et les tâches qu’ils exécutaient seront effectuées par les humains.
À PROPOS DE L'AUTEUR
Originaire du Cantal, Jean-Claude Michel a passé son enfance entre la capitale où ses parents étaient venus s’installer et le monde agricole. Ce parcours est sans doute à l’origine de ses propos sur le monde des agriculteurs et de ses difficultés, mêlés à ses observations de la ville. Issu de la génération des Trente Glorieuses, il a fait carrière dans la métallurgie, en terminant par la création d’une PME rattachée au négoce de produits en acier inoxydable, qu’il a gérée pendant neuf ans.
Vivant à Orléans depuis une trentaine d’années et retraité depuis cinq ans, c’est un joueur d’échecs assidu.
Il avait commencé depuis quelques années à réunir ses impressions et ses ressentis sur le fonctionnement de la société humaine, qu’il estimait chaotique, et c’est le livre de Thomas More (L’Utopie) qui lui a donné l’envie de traduire ses notes et ses observations, sous la forme du livre qu’il propose, un essai de sensibilisation destiné à ce peuple de France qu’il aime particulièrement.