Les rapports complexes qu’entretiennent les dynamiques sociospatiales, les discours épilinguistiques et topologiques, les normes urbanisées, la migrance, les marquages linguistiques et/ou langagiers et les identités ne sont certes plus à démontrer dès lors que l’on investit un terrain relatif aux situations urbaines d’un point de vue sociolinguistique ; il n’est évidemment pas davantage nouveau de constater la pluralité des espaces de ville – dans l’acception qu’en fait pour le moins la sociolinguistique urbaine – tant sur les plans culturels que plus largement structurels ; après quelques premiers travaux sur tout d’abord la discrimination des espaces comme processus complémentaire de celui de la ségrégation puis, plus nettement, sur la discrimination sociolinguistique comme vecteur/acteur de l’exclusion sociale, le volume tente d’élargir une conceptualisation émergente dans le champ de ladite discrimination. Il constitue un des deux volumes rassemblant certaines des contributions présentées lors des septièmes Journées Internationales de Sociolinguistique Urbaine qui ont eu lieu à l’université de La Réunion.
Mylène LEBON-EYQUEM est Maître de conférences à l’Université de La Réunion (UMR CNRS LCF 8143). Ses travaux portent sur le développement langagier, sur les pratiques et usages langagiers dans une perspective dynamique du contact. Elle s’intéresse également à la sociolinguistique urbaine et notamment à la construction des processus identitaires urbains. Thierry BULOT est professeur des universités à l’Université Rennes 2 (EA PREFics 3207). Ses recherches portent sur la théorisation de la sociolinguistique urbaine, sur la mise en place d’une sociolinguistique prioritaire prenant en compte les discours topologiques. Il travaille également sur les situations de minoration sociolinguistique. Gudrun LEDEGEN est maître de conférences à l’Université de Rennes 2 (EA PREFics 3207). Ses recherches portent sur la sociolinguistique, l’analyse de discours, la syntaxe du français parlé et les langues en contact (français-créole réunionnais) dans les corpus oraux et de SMS.
Les rapports complexes qu’entretiennent les dynamiques sociospatiales, les discours épilinguistiques et topologiques, les normes urbanisées, la migrance, les marquages linguistiques et/ou langagiers et les identités ne sont certes plus à démontrer dès lors que l’on investit un terrain relatif aux situations urbaines d’un point de vue sociolinguistique ; il n’est évidemment pas davantage nouveau de constater la pluralité des espaces de ville – dans l’acception qu’en fait pour le moins la sociolinguistique urbaine – tant sur les plans culturels que plus largement structurels ; après quelques premiers travaux sur tout d’abord la discrimination des espaces comme processus complémentaire de celui de la ségrégation puis, plus nettement, sur la discrimination sociolinguistique comme vecteur/acteur de l’exclusion sociale, le volume tente d’élargir une conceptualisation émergente dans le champ de ladite discrimination. Il constitue un des deux volumes rassemblant certaines des contributions présentées lors des septièmes Journées Internationales de Sociolinguistique Urbaine qui ont eu lieu à l’université de La Réunion.
Mylène LEBON-EYQUEM est Maître de conférences à l’Université de La Réunion (UMR CNRS LCF 8143). Ses travaux portent sur le développement langagier, sur les pratiques et usages langagiers dans une perspective dynamique du contact. Elle s’intéresse également à la sociolinguistique urbaine et notamment à la construction des processus identitaires urbains. Thierry BULOT est professeur des universités à l’Université Rennes 2 (EA PREFics 3207). Ses recherches portent sur la théorisation de la sociolinguistique urbaine, sur la mise en place d’une sociolinguistique prioritaire prenant en compte les discours topologiques. Il travaille également sur les situations de minoration sociolinguistique. Gudrun LEDEGEN est maître de conférences à l’Université de Rennes 2 (EA PREFics 3207). Ses recherches portent sur la sociolinguistique, l’analyse de discours, la syntaxe du français parlé et les langues en contact (français-créole réunionnais) dans les corpus oraux et de SMS.