Author: | Arthur Conan Doyle | ISBN: | 1230002995311 |
Publisher: | Paris, France, 1911 | Publication: | December 17, 2018 |
Imprint: | Language: | French |
Author: | Arthur Conan Doyle |
ISBN: | 1230002995311 |
Publisher: | Paris, France, 1911 |
Publication: | December 17, 2018 |
Imprint: | |
Language: | French |
L’aventure de Wisteria Lodge...
John Scott Eccles, un citoyen d’aspect conventionnel et conservateur, se rend au 221B Baker Street pour s’entretenir avec Sherlock Holmes d’une mésaventure qui lui est arrivée au petit matin. Alors que l’homme s’apprête à expliquer la raison de sa présence, l’inspecteur Gregson de Scotland Yard et l’inspecteur Baynes de la gendarmerie du Surrey arrivent dans l’appartement de Holmes à la recherche du nouveau venu. Les deux inspecteurs annoncent la mort d’un dénommé Aloysius Garcia, chez qui Eccles se trouvait la veille, ce qui fait de ce dernier le principal suspect. Eccles entreprend alors son récit : quelques semaines auparavant, il a rencontré Garcia à une soirée organisée par un ami commun. Garcia s’est montré très affable envers Eccles, les deux hommes se sont revus par la suite, puis Garcia a finalement invité Eccles à passer quelques jours chez lui en province dans son domaine de Wisteria Lodge.
La veille, Eccles s’est rendu chez Garcia comme convenu. L’hôte montrait plusieurs signes d’une fébrilité inhabituelle, qui se sont accentués lorsqu’il a reçu une lettre au cours du repas, sans qu’Eccles ne sache ce qui causait cette excitation. Eccles est ensuite allé se coucher à 23 h, mais a été dérangé par Garcia qui a ouvert la porte de l’invité pendant la nuit, croyant avoir entendu sonner, et s’est excusé de ce dérangement à 1 h du matin. À son réveil le lendemain matin, Eccles a trouvé la maison inhabitée : son hôte et ses domestiques n’étaient plus là. Intrigué, il est venu voir Holmes, et se montre catastrophé de voir que Garcia a trouvé la mort pendant la nuit à un ou deux kilomètres de son domicile. Chose étrange : l’heure de la mort a été établie vers une 1 h du matin, alors même que Garcia ouvrait par erreur la porte d’Eccles.
Résumé - Les Plans du Bruce-Partington
Mycroft Holmes, le frère de Sherlock Holmes, vient au 221B Baker Street pour une grave affaire d’État : trois jours plus tôt, les plans du sous-marin Bruce-Partington ont été dérobés à Woolwich, où ils étaient gardés dans un coffre. Ce sous-marin doit conférer un avantage considérable au Royaume-Uni grâce à la technologie de pointe qu’il emploie et qui doit rester secrète. Seules deux personnes de grande confiance possédaient une clé de ce coffre : James Walter et Sidney Johnson, tous deux catastrophés par le vol.
Peu après, Arthur Cadogan West, un employé de l’arsenal de Londres, a été retrouvé sans vie sur le bord d’une voie de chemin de fer. Il portait sur lui 7 des 10 feuillets constituant les plans du sous-marin. Les 3 feuillets manquants sont néanmoins les plus importants car ils contiennent les innovations secrètes du submersible. Mycroft demande à son frère de les retrouver et d’éclaircir la mort de Cadogan West.
Résumé - L’Aventure du pied du Diable
En mars 1897, Sherlock Holmes, épuisé par ses précédentes affaires, part se reposer dans un cottage des Cornouailles sur le conseil de son médecin, le docteur Moore Agar. Watson l’accompagne. Au cours de leurs sorties, ils rencontrent le pasteur de la paroisse, M. Roundhay, ainsi que son locataire, Mortimer Tregennis. Le lecteur apprend aussi que les deux frères de Mortimer, Owen et George, ainsi que sa sœur Brenda, habitent non loin.
Le 16 mars, Roundhay et Mortimer Tregennis arrivent en catastrophe au cottage du détective. Mortimer explique qu’il a passé la soirée précédente avec ses frères et sa sœur et les a quittés alors qu’ils jouaient aux cartes. Mais le matin même, ils ont été retrouvés par leur cuisinière, Mme Porter, dans la même position que la veille au soir, avec une expression d’intense effroi sur le visage ; Brenda était morte, et ses deux frères étaient devenus fous. Rien ne semble expliquer cette situation aussi extraordinaire que tragique.
Résumé - Le Cercle Rouge
Mme Warren, une logeuse londonienne, vient à la rencontre de Holmes pour éclaircir une situation pénible dans laquelle elle se trouve. Dix jours auparavant, elle a reçu un nouveau locataire, qu’elle décrit comme un « parfait gentleman barbu ». Celui-ci a pris une chambre à l’étage et a proposé de payer le double du loyer demandé, en échange de quoi la logeuse et son mari devraient lui laisser une clé de la maison et promettre de ne jamais le déranger. La logeuse a accepté, mais le comportement du locataire est devenu étrange : après être rentré tard le premier soir, alors que tout le monde était déjà couché, il n’est pas ressorti une seule fois de sa chambre. Plus étonnant encore, le locataire a demandé que ses repas soient déposés sur une chaise devant sa porte. Il attend alors que la logeuse soit redescendue pour s’en saisir. La seule communication entre le locataire et la logeuse se fait via quelques messages succincts rédigés sur des morceaux de papier remis avec les restes du repas, qu’il dépose sur la chaise. Il a ainsi déjà demandé des allumettes, du savon et, chaque jour, le quotidien Daily Gazette.
Résumé - La Disparition de Lady Frances Carfax
Sherlock Holmes explique au docteur Watson qu’il a été contacté par Susan Dobney au sujet de la disparition de Lady Frances Carfax, une femme célibataire et aisée. Dobney est une ancienne gouvernante de Lady Carfax, et cette dernière avait pour habitude de lui écrire une fois toutes les deux semaines, mais cela fait cinq semaines que Dobney n’a pas reçu de nouvelles, ce qui est anormal. Lors de l’envoi de sa dernière lettre, Lady Carfax se trouvait dans un hôtel à Lausanne, en Suisse. Depuis, elle a quitté les lieux sans laisser d’adresse. Holmes a cependant appris que depuis son départ, la dame a fait un chèque à son ancienne femme de chambre, Marie Devine, qui réside à Montpellier. Le détective craint qu’un malheur ne soit arrivé à Lady Frances Carfax, et charge Watson d’aller enquêter sur le continent, étant lui-même pris par une autre affaire.
Résumé - Le détective agonisant
Le docteur Watson reçoit chez lui la visite de Mme Hudson, qui l’informe de l’état de santé particulièrement préoccupant de Sherlock Holmes, alité au 221B Baker Street et incapable de manger ou de boire quoi que ce soit. Watson se rend au chevet de son ami. Ce dernier lui affirme être atteint de la « fièvre de Tapuli », une maladie orientale qu’il a attrapée dans les docks de l’East End en compagnie de marins chinois. Cette maladie est mortelle et contagieuse, Holmes refuse que Watson s’approche de lui car il a peur de le contaminer. Watson constate que l’état de son camarade est critique : son teint est rouge, son front couvert de sueur, et Holmes tient un discours parfois incohérent caractéristique des délires de fièvre.
Résumé — Son Dernier Coup d’Archet
Le 2 août 1914, à l’avant-veille de la déclaration de guerre entre le Royaume-Uni et l’Empire allemand, un espion allemand nommé Von Bock passe la soirée à son domicile dans le sud de l’Angleterre en compagnie d’un ami, le baron Von Herling. Von Bock réside en Angleterre depuis quatre ans, ce qui lui a permis de rassembler de nombreux documents stratégiques au sujet de l’armée britannique pour le compte du Kaiser.
Avant de quitter l’Angleterre pour rejoindre l’Allemagne, l’espion doit recevoir dans la soirée la visite d’un informateur ayant pour mission de lui remettre un document contenant l’ensemble des codes de communication de la marine britannique. Von Herling repart du domicile, laissant Von Bock seul chez lui tandis que Martha, la domestique, vient de se coucher.
L’informateur arrive en voiture et entre chez Von Bock, tandis que le chauffeur attend à la place du conducteur. L’espion allemand est ravi d’apprendre que les précieux documents relatifs à la marine sont tous présents. En ouvrant le paquet qui lui est remis, il découvre cependant un manuel d’apiculture au lieu des documents prévus. Von Bock n’a pas le temps de comprendre la situation, et l’informateur, qui n’est autre que Sherlock Holmes, le neutralise en utilisant une éponge enduite de chloroforme.
Le chauffeur de la voiture se révèle être le Docteur Watson, de même que Martha se révèle être dans le camp de Holmes : c’est elle qui, en éteignant la lumière à sa fenêtre pour faire croire à son coucher, a en fait donné à Holmes et Watson le signal que Von Bock était enfin seul à son domicile et que la voie était libre. Holmes explique qu’il enquêtait sur l’espion allemand depuis deux ans sur demande du Premier Ministre, et qu’il s’est fait passer auprès de Von Bock pour un informateur dans le but d’infiltrer son réseau d’espionnage. Le détective a ainsi fourni de fausses informations, et a pu faire arrêter d’autres agents allemands sans être démasqué. Von Bock est à son tour arrêté malgré de vives protestations.
Holmes sert ainsi l’empire britannique, étant trop âgé pour pouvoir être enrôlé dans l’armée. Le détective avait en effet pris sa retraite en 1897 (annoncée dans La Deuxième Tache) pour se consacrer à l’apiculture, mais le devoir patriotique à l’approche de ces temps troublés était trop important pour ne pas répondre présent dans cette affaire d’espionnage.
L’aventure de Wisteria Lodge...
John Scott Eccles, un citoyen d’aspect conventionnel et conservateur, se rend au 221B Baker Street pour s’entretenir avec Sherlock Holmes d’une mésaventure qui lui est arrivée au petit matin. Alors que l’homme s’apprête à expliquer la raison de sa présence, l’inspecteur Gregson de Scotland Yard et l’inspecteur Baynes de la gendarmerie du Surrey arrivent dans l’appartement de Holmes à la recherche du nouveau venu. Les deux inspecteurs annoncent la mort d’un dénommé Aloysius Garcia, chez qui Eccles se trouvait la veille, ce qui fait de ce dernier le principal suspect. Eccles entreprend alors son récit : quelques semaines auparavant, il a rencontré Garcia à une soirée organisée par un ami commun. Garcia s’est montré très affable envers Eccles, les deux hommes se sont revus par la suite, puis Garcia a finalement invité Eccles à passer quelques jours chez lui en province dans son domaine de Wisteria Lodge.
La veille, Eccles s’est rendu chez Garcia comme convenu. L’hôte montrait plusieurs signes d’une fébrilité inhabituelle, qui se sont accentués lorsqu’il a reçu une lettre au cours du repas, sans qu’Eccles ne sache ce qui causait cette excitation. Eccles est ensuite allé se coucher à 23 h, mais a été dérangé par Garcia qui a ouvert la porte de l’invité pendant la nuit, croyant avoir entendu sonner, et s’est excusé de ce dérangement à 1 h du matin. À son réveil le lendemain matin, Eccles a trouvé la maison inhabitée : son hôte et ses domestiques n’étaient plus là. Intrigué, il est venu voir Holmes, et se montre catastrophé de voir que Garcia a trouvé la mort pendant la nuit à un ou deux kilomètres de son domicile. Chose étrange : l’heure de la mort a été établie vers une 1 h du matin, alors même que Garcia ouvrait par erreur la porte d’Eccles.
Résumé - Les Plans du Bruce-Partington
Mycroft Holmes, le frère de Sherlock Holmes, vient au 221B Baker Street pour une grave affaire d’État : trois jours plus tôt, les plans du sous-marin Bruce-Partington ont été dérobés à Woolwich, où ils étaient gardés dans un coffre. Ce sous-marin doit conférer un avantage considérable au Royaume-Uni grâce à la technologie de pointe qu’il emploie et qui doit rester secrète. Seules deux personnes de grande confiance possédaient une clé de ce coffre : James Walter et Sidney Johnson, tous deux catastrophés par le vol.
Peu après, Arthur Cadogan West, un employé de l’arsenal de Londres, a été retrouvé sans vie sur le bord d’une voie de chemin de fer. Il portait sur lui 7 des 10 feuillets constituant les plans du sous-marin. Les 3 feuillets manquants sont néanmoins les plus importants car ils contiennent les innovations secrètes du submersible. Mycroft demande à son frère de les retrouver et d’éclaircir la mort de Cadogan West.
Résumé - L’Aventure du pied du Diable
En mars 1897, Sherlock Holmes, épuisé par ses précédentes affaires, part se reposer dans un cottage des Cornouailles sur le conseil de son médecin, le docteur Moore Agar. Watson l’accompagne. Au cours de leurs sorties, ils rencontrent le pasteur de la paroisse, M. Roundhay, ainsi que son locataire, Mortimer Tregennis. Le lecteur apprend aussi que les deux frères de Mortimer, Owen et George, ainsi que sa sœur Brenda, habitent non loin.
Le 16 mars, Roundhay et Mortimer Tregennis arrivent en catastrophe au cottage du détective. Mortimer explique qu’il a passé la soirée précédente avec ses frères et sa sœur et les a quittés alors qu’ils jouaient aux cartes. Mais le matin même, ils ont été retrouvés par leur cuisinière, Mme Porter, dans la même position que la veille au soir, avec une expression d’intense effroi sur le visage ; Brenda était morte, et ses deux frères étaient devenus fous. Rien ne semble expliquer cette situation aussi extraordinaire que tragique.
Résumé - Le Cercle Rouge
Mme Warren, une logeuse londonienne, vient à la rencontre de Holmes pour éclaircir une situation pénible dans laquelle elle se trouve. Dix jours auparavant, elle a reçu un nouveau locataire, qu’elle décrit comme un « parfait gentleman barbu ». Celui-ci a pris une chambre à l’étage et a proposé de payer le double du loyer demandé, en échange de quoi la logeuse et son mari devraient lui laisser une clé de la maison et promettre de ne jamais le déranger. La logeuse a accepté, mais le comportement du locataire est devenu étrange : après être rentré tard le premier soir, alors que tout le monde était déjà couché, il n’est pas ressorti une seule fois de sa chambre. Plus étonnant encore, le locataire a demandé que ses repas soient déposés sur une chaise devant sa porte. Il attend alors que la logeuse soit redescendue pour s’en saisir. La seule communication entre le locataire et la logeuse se fait via quelques messages succincts rédigés sur des morceaux de papier remis avec les restes du repas, qu’il dépose sur la chaise. Il a ainsi déjà demandé des allumettes, du savon et, chaque jour, le quotidien Daily Gazette.
Résumé - La Disparition de Lady Frances Carfax
Sherlock Holmes explique au docteur Watson qu’il a été contacté par Susan Dobney au sujet de la disparition de Lady Frances Carfax, une femme célibataire et aisée. Dobney est une ancienne gouvernante de Lady Carfax, et cette dernière avait pour habitude de lui écrire une fois toutes les deux semaines, mais cela fait cinq semaines que Dobney n’a pas reçu de nouvelles, ce qui est anormal. Lors de l’envoi de sa dernière lettre, Lady Carfax se trouvait dans un hôtel à Lausanne, en Suisse. Depuis, elle a quitté les lieux sans laisser d’adresse. Holmes a cependant appris que depuis son départ, la dame a fait un chèque à son ancienne femme de chambre, Marie Devine, qui réside à Montpellier. Le détective craint qu’un malheur ne soit arrivé à Lady Frances Carfax, et charge Watson d’aller enquêter sur le continent, étant lui-même pris par une autre affaire.
Résumé - Le détective agonisant
Le docteur Watson reçoit chez lui la visite de Mme Hudson, qui l’informe de l’état de santé particulièrement préoccupant de Sherlock Holmes, alité au 221B Baker Street et incapable de manger ou de boire quoi que ce soit. Watson se rend au chevet de son ami. Ce dernier lui affirme être atteint de la « fièvre de Tapuli », une maladie orientale qu’il a attrapée dans les docks de l’East End en compagnie de marins chinois. Cette maladie est mortelle et contagieuse, Holmes refuse que Watson s’approche de lui car il a peur de le contaminer. Watson constate que l’état de son camarade est critique : son teint est rouge, son front couvert de sueur, et Holmes tient un discours parfois incohérent caractéristique des délires de fièvre.
Résumé — Son Dernier Coup d’Archet
Le 2 août 1914, à l’avant-veille de la déclaration de guerre entre le Royaume-Uni et l’Empire allemand, un espion allemand nommé Von Bock passe la soirée à son domicile dans le sud de l’Angleterre en compagnie d’un ami, le baron Von Herling. Von Bock réside en Angleterre depuis quatre ans, ce qui lui a permis de rassembler de nombreux documents stratégiques au sujet de l’armée britannique pour le compte du Kaiser.
Avant de quitter l’Angleterre pour rejoindre l’Allemagne, l’espion doit recevoir dans la soirée la visite d’un informateur ayant pour mission de lui remettre un document contenant l’ensemble des codes de communication de la marine britannique. Von Herling repart du domicile, laissant Von Bock seul chez lui tandis que Martha, la domestique, vient de se coucher.
L’informateur arrive en voiture et entre chez Von Bock, tandis que le chauffeur attend à la place du conducteur. L’espion allemand est ravi d’apprendre que les précieux documents relatifs à la marine sont tous présents. En ouvrant le paquet qui lui est remis, il découvre cependant un manuel d’apiculture au lieu des documents prévus. Von Bock n’a pas le temps de comprendre la situation, et l’informateur, qui n’est autre que Sherlock Holmes, le neutralise en utilisant une éponge enduite de chloroforme.
Le chauffeur de la voiture se révèle être le Docteur Watson, de même que Martha se révèle être dans le camp de Holmes : c’est elle qui, en éteignant la lumière à sa fenêtre pour faire croire à son coucher, a en fait donné à Holmes et Watson le signal que Von Bock était enfin seul à son domicile et que la voie était libre. Holmes explique qu’il enquêtait sur l’espion allemand depuis deux ans sur demande du Premier Ministre, et qu’il s’est fait passer auprès de Von Bock pour un informateur dans le but d’infiltrer son réseau d’espionnage. Le détective a ainsi fourni de fausses informations, et a pu faire arrêter d’autres agents allemands sans être démasqué. Von Bock est à son tour arrêté malgré de vives protestations.
Holmes sert ainsi l’empire britannique, étant trop âgé pour pouvoir être enrôlé dans l’armée. Le détective avait en effet pris sa retraite en 1897 (annoncée dans La Deuxième Tache) pour se consacrer à l’apiculture, mais le devoir patriotique à l’approche de ces temps troublés était trop important pour ne pas répondre présent dans cette affaire d’espionnage.