Author: | Alfred JARRY | ISBN: | 1230001410716 |
Publisher: | Editions MARQUES | Publication: | November 2, 2016 |
Imprint: | Language: | French |
Author: | Alfred JARRY |
ISBN: | 1230001410716 |
Publisher: | Editions MARQUES |
Publication: | November 2, 2016 |
Imprint: | |
Language: | French |
Jarry Alfred – Ubu Cocu (ou l’Archéoptéryx) : Ubu Cocu a été écrit en 1897-8. Deuxième pièce de Jarry ayant Ubu comme personnage principal, elle n’a pas été bien reçue par la critique et fut un peu oubliée, malgré d’évidentes qualités. Nous sommes heureux de vous la faire redécouvrir.
Inutile de tenter de résumer cette pièce, tant elle pulvérise les barrières des causalités et de la raison, au point que le cocufiage d’Ubu par l’Égyptien Memnon n’est même qu’à peine évoqué. Laissez-vous plutôt emporter par les mots (sauts périgiglyeux, respectacle, etc.), les répétitions de phrases (ô mais c’est qué, voyez-vous bien), les chansons, les dialogues absurdes à relents shakespeariens entre Ubu et ses personnages, entre Ubu et sa conscience.
Plus musicale que les autres grâce aux nombreuses chansons des Palotins, qui rythment les dialogues et font un peu office de chœur antique, cette œuvre vous ravira à condition d’oublier tout esprit cartésien pour devenir un peu pataphysicien…
Alfred Jarry (1873-1907), né à Laval dans une famille de la petite bourgeoisie, fréquente les lycées de cette ville puis de Saint-Brieuc. Un de ses professeurs incarne aux yeux de ses élèves « tout le grotesque qui est au monde ». L’enseignant devient le héros d’une littérature scolaire, dont un texte intitulé Les Polonais que Jarry, en classe de première, va mettre en forme de comédie et représenter sur un théâtre d’ombres puis au « Théâtre des Phynances », théâtre de marionnettes installé au domicile des Jarry.
Jarry Alfred – Ubu Cocu (ou l’Archéoptéryx) : Ubu Cocu a été écrit en 1897-8. Deuxième pièce de Jarry ayant Ubu comme personnage principal, elle n’a pas été bien reçue par la critique et fut un peu oubliée, malgré d’évidentes qualités. Nous sommes heureux de vous la faire redécouvrir.
Inutile de tenter de résumer cette pièce, tant elle pulvérise les barrières des causalités et de la raison, au point que le cocufiage d’Ubu par l’Égyptien Memnon n’est même qu’à peine évoqué. Laissez-vous plutôt emporter par les mots (sauts périgiglyeux, respectacle, etc.), les répétitions de phrases (ô mais c’est qué, voyez-vous bien), les chansons, les dialogues absurdes à relents shakespeariens entre Ubu et ses personnages, entre Ubu et sa conscience.
Plus musicale que les autres grâce aux nombreuses chansons des Palotins, qui rythment les dialogues et font un peu office de chœur antique, cette œuvre vous ravira à condition d’oublier tout esprit cartésien pour devenir un peu pataphysicien…
Alfred Jarry (1873-1907), né à Laval dans une famille de la petite bourgeoisie, fréquente les lycées de cette ville puis de Saint-Brieuc. Un de ses professeurs incarne aux yeux de ses élèves « tout le grotesque qui est au monde ». L’enseignant devient le héros d’une littérature scolaire, dont un texte intitulé Les Polonais que Jarry, en classe de première, va mettre en forme de comédie et représenter sur un théâtre d’ombres puis au « Théâtre des Phynances », théâtre de marionnettes installé au domicile des Jarry.