Author: | Julie Dauge | ISBN: | 9791034807079 |
Publisher: | Evidence Editions | Publication: | June 23, 2018 |
Imprint: | Evidence Editions | Language: | French |
Author: | Julie Dauge |
ISBN: | 9791034807079 |
Publisher: | Evidence Editions |
Publication: | June 23, 2018 |
Imprint: | Evidence Editions |
Language: | French |
Depuis longtemps, Laetitia rêve de découvrir l'Écosse. Quand elle entreprend enfin le voyage, cette jeune étudiante orpheline, adepte des sports de combat est loin de se douter qu'il l’emmènera aussi loin ; jusque dans les bras de Darren, ce beau chef guerrier highlander, au XVIème siècle.
Dès qu'il aperçoit cette belle inconnue, Darren, laird du clan MacKintosh, est subjugué. En même temps, il est abasourdi. Comment cette délicieuse créature, aux origines obscures et aux expressions si étranges, peut-elle être si effrontée dans ses manières ? Et que dire de ses tendances à jurer et à se battre aussi bien que ses guerriers ?
***
Extrait :
À ce moment, Darren sentit son cœur s’arrêter, littéralement. Il se noya dans les plus beaux yeux bleus qu’il lui ait été donné de voir. Il y vit tellement de choses, qu’il se demanda comment les émotions faisaient pour rester prisonnières de cet exquis miroir. Colère, haine, combativité, détermination et un brin de peur pouvaient s’y lire. À cet instant, Darren n’entendit rien de ce qui l’entourait. Seule comptait cette déesse – parce que cette perfection ne pouvait pas être humaine – avec ses longs cheveux aussi noirs qu’une nuit sans lune. Un brin de soleil vint éclairer l’exquise créature, comme pour souligner son caractère divin. Il modifia alors son jugement, ses cheveux avaient des reflets bleus rappelant inévitablement ses prunelles. Comme malgré lui, il revint à ses yeux. Un seul mot parvint à franchir le brouillard qu’était devenu son cerveau : enfin !
— Qui...
Il se stoppa pour se racler la gorge, on aurait dit un puceau face à sa première fille !
— Qui êtes-vous ?
Sa voix sembla sortir la jeune femme de sa torpeur également, elle le fixa comme si elle ne comprenait pas ce qu’il lui disait. Elle réussit à recracher le tissu qui la bâillonnait, puis lui répondit, lui crachant quasiment les mots à la figure :
— Salaud, j’aurai ta peau à toi et tous tes potes !
Depuis longtemps, Laetitia rêve de découvrir l'Écosse. Quand elle entreprend enfin le voyage, cette jeune étudiante orpheline, adepte des sports de combat est loin de se douter qu'il l’emmènera aussi loin ; jusque dans les bras de Darren, ce beau chef guerrier highlander, au XVIème siècle.
Dès qu'il aperçoit cette belle inconnue, Darren, laird du clan MacKintosh, est subjugué. En même temps, il est abasourdi. Comment cette délicieuse créature, aux origines obscures et aux expressions si étranges, peut-elle être si effrontée dans ses manières ? Et que dire de ses tendances à jurer et à se battre aussi bien que ses guerriers ?
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Extrait :
À ce moment, Darren sentit son cœur s’arrêter, littéralement. Il se noya dans les plus beaux yeux bleus qu’il lui ait été donné de voir. Il y vit tellement de choses, qu’il se demanda comment les émotions faisaient pour rester prisonnières de cet exquis miroir. Colère, haine, combativité, détermination et un brin de peur pouvaient s’y lire. À cet instant, Darren n’entendit rien de ce qui l’entourait. Seule comptait cette déesse – parce que cette perfection ne pouvait pas être humaine – avec ses longs cheveux aussi noirs qu’une nuit sans lune. Un brin de soleil vint éclairer l’exquise créature, comme pour souligner son caractère divin. Il modifia alors son jugement, ses cheveux avaient des reflets bleus rappelant inévitablement ses prunelles. Comme malgré lui, il revint à ses yeux. Un seul mot parvint à franchir le brouillard qu’était devenu son cerveau : enfin !
— Qui...
Il se stoppa pour se racler la gorge, on aurait dit un puceau face à sa première fille !
— Qui êtes-vous ?
Sa voix sembla sortir la jeune femme de sa torpeur également, elle le fixa comme si elle ne comprenait pas ce qu’il lui disait. Elle réussit à recracher le tissu qui la bâillonnait, puis lui répondit, lui crachant quasiment les mots à la figure :
— Salaud, j’aurai ta peau à toi et tous tes potes !